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EddieCochran+
Younes Terre
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Younes Terre- Messages : 4510
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Police partout : actualité des FDO
Lun 1 Juil - 20:45
Rappel du premier message :
De nouveaux détails sur la corruption d’agents de la BAC devenus trafiquants de drogue
En marge de son enquête, la police des polices est allée jusqu’à poser des micros dans les voitures de patrouille. Sur les enregistrements, les agents sont entendus alors qu’ils parlent d’enveloppes et un policier évoque la saisie de «deux galettes de crack à un trafiquant pour mieux les glisser, le lendemain, dans les poches d’un autre homme», note la radio. Ce dernier a été condamné à 18 mois de prison.
Europe1 a dévoilé de nouveaux détails dans l’enquête sur les pratiques suspectes d’agents de la BAC dans le XVIIIe arrondissement de Paris, mis en examen pour trafic de stupéfiants. Notamment, un homme a été incarcéré après qu’un policier lui a glissé de la drogue dans les poches.
La police des polices (IGPN) a été saisie pour enquêter sur les pratiques de plusieurs policiers de la BAC du XVIIIe arrondissement de Paris, soupçonnés d’avoir racketté des trafiquants qu’ils étaient supposés interpeller, annonce Europe1.
Après la BAC et un prof, des brancardiers: le trafic de drogue s’installe dans le service public
La radio raconte qu’un policier a contacté sa hiérarchie pour l’alerter sur des pratiques suspectes de ses collègues datant de l’année dernière. Lors du contrôle d’une voiture, un équipage de la BAC y a découvert un kilogramme de drogue. Toutefois, l’expertise a constaté qu’il s’agissait de pâte de datte.
Cinq agents issus de la BAC ont été mis en examen. L’IGPN examinera le cas de cette brigade, conduite par un policier expérimenté, présent au commissariat depuis plus de 20 ans. Il est soupçonné de racketter les dealers du XVIIIe arrondissement en leur prélevant sa dîme, relate le média, soulignant qu’il aurait fait des allers-retours en Algérie pour y déposer l’argent.
En marge de son enquête, la police des polices est allée jusqu’à poser des micros dans les voitures de patrouille. Sur les enregistrements, les agents sont entendus alors qu’ils parlent d’enveloppes et un policier évoque la saisie de «deux galettes de crack à un trafiquant pour mieux les glisser, le lendemain, dans les poches d’un autre homme», note la radio. Ce dernier a été condamné à 18 mois de prison.
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- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Dim 15 Mar - 11:11
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Dim 15 Mar - 13:57
Younes Terre a écrit:
Nicolas Gh a écrit:Petite anecdote : je suis street medic et avec mon équipe à un moment donné nous avons suivi une mini- manif sauvage dispersée. Puis nous avons cherché à retrouver le cortège principal. Quand nous l'avons enfin retrouvé, nassé à la toute fin, les CRS ont refusé de nous laisser passer. Ils nous ont dit "Vous contribuez à créer des troubles publics, vous les médics".
On a attendu un peu, on a fait le tour, et on a fini par tomber sur un barrage tenu par les Gendarmes mobiles. Quand ils nous ont vu, on n'a même pas eu à se justifier ou à argumenter, ils nous ont immédiatement laissé passer et nous souhaitant "bon courage". Quand on leur a évoqué le refus des CRS de nous laisser passer, un GM nous a clairement dit qu'ils étaient idiots.
Alors pas d'idéalisme : les gendarmes aussi ont commis des violences (NDDL, Adama,...) mais, pour ce qui est des manifs à Paris, c'est le jour et la nuit entre la Gendarmerie et la Police.
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 20 Mar - 19:27
Les policiers « tombent comme des mouches », contaminés « à une vitesse folle » par le coronavirus
Publié le 20 Mars
INFO ACTU PARIS.
Christophe Castaner a affirmé jeudi 19 mars que les policiers "ne sont pas en risque" face au coronavirus. En même temps, deux unités étaient confinées.
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EddieCochran+- Messages : 7134
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 20 Mar - 20:10
127 -
Et toujours ces titres à l'emporte pièces qui induisent toutes les digressions fantasques de l'imaginaire.
Une question combien de mouches sont tombées et combien vont être collées dans le papier tue-mouches ? Et à quelle vitesse sont elles contaminées et dans quelle unité de mesure la relève-t-on? Mouches collées/heure/service ?
Dans un groupe humain de 140 000 fonctionnaires, auquel l'on peut additionner celui des "réserves" soit 7000 personnels en plus, il est inéluctable qu'un certain nombre de membres du groupe sera touché par la contamination et ce en-dehors de tout contact avé le public puisque les policiers vivent dans la population civile, qu'ils ont des proches et qu'ils empruntent les moyens de transport collectifs pour se rendre à leur poste, dans lequel ils rencontrent des collègues qui partagent le même mode de vie et qui participent à l'insu de leur plein gré à la probabilité réelle de contamination du coronavirus. Masques ou gants pour l'accomplissement du service éstérieur ne changent pas la donne sauf que leur port constituerait une barrière protectrice pour le public contrôlé et en retour pour les policiers qui manipulent les attestations de déplacement dérogatoire excipées par les badauds.
D'autre part, et je l'ai déjà évoqué par ailleurs, la Police nationale est un archipel d'une dizaines de directions qui s'ignorent farouchement entre elles et qui elles-mêmes comportent comme les basiliques une carole de chapelles indépendantes et autonomes, le tout agité par une myriade de syndicats statutaires qui se détestent cordialement. Dans une telle configuration complexe comment voulez-vous assurer un commandement efficace et faire marcher la boutique comme un seul homme?
Et dire que Marmouset Ier a livré et bradé la Gendarmerie à ce panier de crabes !
Et toujours ces titres à l'emporte pièces qui induisent toutes les digressions fantasques de l'imaginaire.
Une question combien de mouches sont tombées et combien vont être collées dans le papier tue-mouches ? Et à quelle vitesse sont elles contaminées et dans quelle unité de mesure la relève-t-on? Mouches collées/heure/service ?
Dans un groupe humain de 140 000 fonctionnaires, auquel l'on peut additionner celui des "réserves" soit 7000 personnels en plus, il est inéluctable qu'un certain nombre de membres du groupe sera touché par la contamination et ce en-dehors de tout contact avé le public puisque les policiers vivent dans la population civile, qu'ils ont des proches et qu'ils empruntent les moyens de transport collectifs pour se rendre à leur poste, dans lequel ils rencontrent des collègues qui partagent le même mode de vie et qui participent à l'insu de leur plein gré à la probabilité réelle de contamination du coronavirus. Masques ou gants pour l'accomplissement du service éstérieur ne changent pas la donne sauf que leur port constituerait une barrière protectrice pour le public contrôlé et en retour pour les policiers qui manipulent les attestations de déplacement dérogatoire excipées par les badauds.
D'autre part, et je l'ai déjà évoqué par ailleurs, la Police nationale est un archipel d'une dizaines de directions qui s'ignorent farouchement entre elles et qui elles-mêmes comportent comme les basiliques une carole de chapelles indépendantes et autonomes, le tout agité par une myriade de syndicats statutaires qui se détestent cordialement. Dans une telle configuration complexe comment voulez-vous assurer un commandement efficace et faire marcher la boutique comme un seul homme?
Et dire que Marmouset Ier a livré et bradé la Gendarmerie à ce panier de crabes !
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 20 Mar - 21:04
AurOre Aurore a écrit:AurOre Aurore
1 h
Je suis infirmière, travaille, je ne suis pas confinée, je me fais arrêter par la police, je montre le caducée, il m arrête quand même, je lui montre mon attestation, il cherche plus loin me demande mon permis/assurance, tout est en règle je l informé gentiment que j ai des patients à voir en urgence, qu ils sont diabétique et qu’ils m’attendent, « ce n’est pas son problème », mes papiers étant en règle il me demande ma carte grise et la je lui présente (comme je l ai tj fait depuis 6ans sans aucun soucis voiture de fonction oblige) une photocopie de ma carte de grise, il me dit qu il va me verbaliser et prend tout son temps.... je tel a mon patron qui lui explique toute la situation ce policier daigne l écouter résultat je suis verbalisée pour défaut de carte grise!!!!
Des gens se baladent, un mec passent sans casque, c est la fête Champigny Sur Marne et toi tu travaille tu te fais aligner merci de faire tourner c est vraiment écœurant et son collègue qui m arrête à nouveau un peu plus loin me rétorque « ça va on ne vous a pas aligné pour le covid » ... j’ai pas les mots par tant de conneries et méchanceté
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 20 Mar - 22:28
EddieCochran+ a écrit:
Une question combien de mouches sont tombées et combien vont être collées dans le papier tue-mouches ? Et à quelle vitesse sont elles contaminées et dans quelle unité de mesure la relève-t-on? Mouches collées/heure/service ?
Lens : des dizaines de policiers confinés, plusieurs cas de Covid-19 avérés
Vincent Danet | 20/03/2020
Un premier cas de policier infecté par le virus daterait du 6 mars et a concerné un fonctionnaire du commissariat de Liévin, qui aurait participé au rassemblement évangélique de Mulhouse.
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- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Dim 22 Mar - 17:43
Un moment de fraîcheur. Un policier a été filmé dans le 18e arrondissement de Paris pendant qu’il effectuait quelques pas de danse pour divertir les personnes confinées en raison de l'épidémie de coronavirus.
Sur une vidéo postée ce jeudi sur Twitter, deux agents de police étaient dans la rue, sans doute pour veiller à ce que le confinement soit bien respecté.
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- EddieCochran+
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Re: Police partout : actualité des FDO
Mer 25 Mar - 11:16
131 -
Le Gendarme sait avoir de la hauteur de vue pour apprécier avé précision la température ambiante :
"CENTRE-VAL DE LOIRELOIR-ET-CHER
Coronavirus : un drone pourrait bientôt prendre votre température à distance
Par Léa Bouquet Publié le 21/03/2020 à 11:30 Mis à jour le 21/03/2020 à 16:39
Ce drone pourrait prendre votre température à 3 mètres de distance. / :copyright: Facebook "Les Ailes de la Gendarmerie"
Equipé d'une caméra thermique, ce nouveau prototype réalisé à partir d'un drone pourrait, à terme, diagnostiquer les cas de fièvre à 3 mètres de distance. Un outil technologique qui pourrait s'avérer utile en ces temps d'épidémie et de confinement.
Ces derniers jours, Cédric Chadoutaud, un droniste et sous-officier de réserve de la gendarmerie qui réside dans l'Indre-et-Loire, a réussi à mettre au point un prototype innovant.
Grâce à un drone équipé d'une caméra thermique, la température corporelle pourrait désormais être prise à distance. Cette prouesse technique a pu être réalisée grâce à l'impression d'un adapteur par imprimante 3D.
Sur la page Facebook de l'association Les Ailes de la Gendarmerie, dont il est membre, Cédric Chadoutaud décrit ce vendredi 20 mars ses premiers résultats, très encourageants.
J’ai pu procéder à l’étalonnage puis aux tests de la technique de prise de température corporelle d’une personne à distance. Et le résultat est finalement très probant. La température prise à de nombreuses reprises fut très fiable et correspondit systématiquement à celle du thermomètre IR médical. La marge d'erreur est de 0,5°C à une distance moyenne de 3 mètres. Je crois qu’on peut dire que ce drone peut dorénavant prendre de manière fiable la température de personnes à distance sans réelles difficultés. En cette période de crise sanitaire, ça pourrait avoir son intérêt.
Pour l'heure, le projet n'a pas été officiellement validé par la Gendarmerie nationale. Difficile de dire par qui, quand et sur quel périmètre ce drone pourrait donc être utilisé.""
Le Gendarme sait avoir de la hauteur de vue pour apprécier avé précision la température ambiante :
"CENTRE-VAL DE LOIRELOIR-ET-CHER
Coronavirus : un drone pourrait bientôt prendre votre température à distance
Par Léa Bouquet Publié le 21/03/2020 à 11:30 Mis à jour le 21/03/2020 à 16:39
Ce drone pourrait prendre votre température à 3 mètres de distance. / :copyright: Facebook "Les Ailes de la Gendarmerie"
Equipé d'une caméra thermique, ce nouveau prototype réalisé à partir d'un drone pourrait, à terme, diagnostiquer les cas de fièvre à 3 mètres de distance. Un outil technologique qui pourrait s'avérer utile en ces temps d'épidémie et de confinement.
Ces derniers jours, Cédric Chadoutaud, un droniste et sous-officier de réserve de la gendarmerie qui réside dans l'Indre-et-Loire, a réussi à mettre au point un prototype innovant.
Grâce à un drone équipé d'une caméra thermique, la température corporelle pourrait désormais être prise à distance. Cette prouesse technique a pu être réalisée grâce à l'impression d'un adapteur par imprimante 3D.
Sur la page Facebook de l'association Les Ailes de la Gendarmerie, dont il est membre, Cédric Chadoutaud décrit ce vendredi 20 mars ses premiers résultats, très encourageants.
J’ai pu procéder à l’étalonnage puis aux tests de la technique de prise de température corporelle d’une personne à distance. Et le résultat est finalement très probant. La température prise à de nombreuses reprises fut très fiable et correspondit systématiquement à celle du thermomètre IR médical. La marge d'erreur est de 0,5°C à une distance moyenne de 3 mètres. Je crois qu’on peut dire que ce drone peut dorénavant prendre de manière fiable la température de personnes à distance sans réelles difficultés. En cette période de crise sanitaire, ça pourrait avoir son intérêt.
Pour l'heure, le projet n'a pas été officiellement validé par la Gendarmerie nationale. Difficile de dire par qui, quand et sur quel périmètre ce drone pourrait donc être utilisé.""
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Jeu 26 Mar - 14:33
- EddieCochran+
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Re: Police partout : actualité des FDO
Jeu 26 Mar - 19:56
131 -
Je m'associe à la peine de la famille et des camarades de ce sous-officier de gendarmerie.
La photo d'illustration de l'article m'a également bouleversé, l'immatriculation militaire du véhicule de Gendarmerie date de 2009 (ou d'avant) la date fatidique à laquelle le Marmouset Ier a bradé la plus vieille institution de France au Sinistère de l'Intérieur :
Je sais, je sais, je radote, mais je voue une haine inextinguible à cette trahison digne d'un LR.
Je m'associe à la peine de la famille et des camarades de ce sous-officier de gendarmerie.
La photo d'illustration de l'article m'a également bouleversé, l'immatriculation militaire du véhicule de Gendarmerie date de 2009 (ou d'avant) la date fatidique à laquelle le Marmouset Ier a bradé la plus vieille institution de France au Sinistère de l'Intérieur :
Je sais, je sais, je radote, mais je voue une haine inextinguible à cette trahison digne d'un LR.
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Sam 18 Avr - 10:42
Seine-Saint-Denis : le policier se met en scène sur Snapchat avant et après avoir tiré sur son voisin
Ce policier en poste dans le XIIe arrondissement de Paris a blessé par balle son voisin trop bruyant. Il a été mis en examen pour tentative d’homicide volontaire. Les photos qu’il a lui même diffusées sur les réseaux sociaux sont accablantes.
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- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Mar 21 Avr - 14:20
Saint-Brieuc. Deux jeunes policiers réalisent un sauvetage courageux sur le viaduc du Gouët
Dimanche dernier, vers 16 h 20, deux adjoints de sécurité sont montés sur les filets, suspendus à 70 m au-dessus du port du Légué, pour empêcher une femme désespérée de sauter.
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- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Mar 21 Avr - 18:20
Chose promise, chose dû voici mon droit de réponse.
La garde à vue a commencé à 7h00 du matin, le mardi 14 avril, à la gendarmerie de Lézignan-Corbières (11).
J’étais un peu en avance, je n'avais pas dormi de la nuit. Entre le stress de ne pas savoir pourquoi je suis
convoquée à la gendarmerie et, la veille au soir, Macron qui a annoncé que nous reprendrons sûrement l'école le
11 mai ( je suis AVESH en collège), ajouté à cela, le fait que mon conjoint est intermittent du spectacle et que
nous sommes très inquiets car tous les spectacles sont annulés jusque début août, rien n’a contribué à alléger le
poids de mes inquiétudes .
Dès que vous m'avez expliqué pourquoi j’étais en garde à vue, je vous ai prouvé que je n'étais pas « anti-flic »
et j’ai même précisé que j’avais publiquement milité, aux mois de janvier et février 2020, pour une police
républicaine aimée des Français et aux cotés d'Alexandre Langlois et Noam Anouar ( VIGI police ). Or, à ces
dires, vous avez signifié que ne connaissiez pas l'existence du syndicat auquel ces deux policiers adhèrent, ni
même qui ils étaient. Mais peut-être était-ce déjà un stratagème de votre part, comme vous en avez usé tout au
long de cette garde à vue ?
Par ailleurs, alors que mes droits le permettaient, vous m'avez dissuadée de contacter un avocat et ce, dés la
première heure de garde à vue, en prétextant qu’elle n'en serait que plus longue. Pour ma part, souhaitant au plus
vite quitter vos locaux, de peur d'attraper le COVID19, j'ai donc décliné ce droit. Or, maintenant que j’y repense,
votre incitation à y renoncer s’apparente bel et bien à une forme d’intimidation.
Ensuite, nous sommes partis chez moi, pour la perquisition de mon domicile. Or, vous n'y avez rien trouvé
d'illicite, malgré l'insistance d'un de vos brigadiers qui s’est obstiné à vouloir dénicher de la drogue à tout prix :
cette présomption de culpabilité n’était pourtant en rien à l’origine de ma grade à vue.
Bredouilles, car n’ayant rien pu suspecter sinon quelques photos, des affiches de la France Insoumise, ou
encore quelques gilets jaunes customisés, vous vous êtes ensuite intéressés à mon ordinateur. Je vous ai alors
suppliés de ne pas embarquer mon ordinateur fixe, car mes filles, l’une collégienne, l’autre lycéenne en ont besoin
pour suivre leurs cours à distance, du fait du confinement actuel. Sur ce même ordinateur, je vous ai donc aidé à
fouiller, surtout à visualiser ma page Facebook, car vous ne sembliez pas bien maîtriser l’utilisation de ce réseau
social.
Quand nous sommes revenus à la gendarmerie, j'étais très fatiguée, très éprouvée. Aussi, vous ai-je proposé que
l'on supprime ensemble, tout de suite, les deux publications sur lesquelles portent les griefs qui me sont reprochés
et qui sont à l’origine de ma garde à vue. Mais vous avez refusé.
Quand je vous ai demandé qui avait dénoncé ces publications, vous n’avez pas voulu me répondre et j’ai
compris, au fur et à mesure que nous échangions, que la plainte venait de vous.
J’ai stipulé dans mon rapport que j'aurais préféré que la personne offensée par ces propos me contacte
directement pour que je les enlève.
Je précise que ces publications n’ont jamais été censurées ni même signalées par Facebook, étant donné que
j'ai respecté la politique et les standards du réseau ; j’ajoute que ces publications sont restées sur mon « mur »
plusieurs semaines et qu’elles n’ont entraîné que trois ou quatre « like » et commentaires, autant dire qu’elles
n’ont pas vraiment déclenché de buzz ! Enfin, je déclare avoir imprimé ces publications, puis les avoir
supprimées trois jours après ma garde à vue : mon conjoint m'a filmée en train de les supprimer de mon
Facebook.
Concernant la suite de ma garde à vue, vous m'avez fait signer une montagne de papiers, alors que je tombais
de fatigue... Et j'ai signé, sans même lire ce que je signais, car vous me disiez que c'était la procédure habituelle et
que plus vite je signerais et plus je coopérerais, plus vite je serais chez moi, où mon conjoint et mes filles
m’attendaient très inquiets. J’ajoute que vous détenez mon téléphone depuis une semaine, pour " l'exploiter" dans
votre langage, pour fouiner, dans mon jargon à moi.
Ce récit de ma garde à vue ne détaille pas les situations et questions aussi tristement drôles qu’ahurissantes, qui
jalonnent cette bien piètre tentative de rappel à l’ordre : je prendrai le temps d’écrire minutieusement cette histoire
et de la médiatiser ultérieurement.
Depuis trois ans et surtout depuis le mouvement des « Gilets jaunes », j'ai plus d’une fois pris la défense des
forces de l'ordre, que ce soit publiquement, sur facebook ou ailleurs...
Je ne mérite vraiment pas votre acharnement que je perçois comme une injustice. Aussi, je n’ai pas l’intention
de me laisser faire, sans rien dire. Je peux éventuellement comprendre que vous m'ayez convoquée, car sur l’une
des deux publications qui me sont reprochées, je n'ai pas été d’une correction absolue et j’admets ne pas être
parfaite ou bien parfois m’emporter un peu vite, mais cela aurait pu être réglé sans que vous en profitiez pour me
nuire autant.
Jusqu’à présent, j’ai toujours pris votre défense. Or, aujourd’hui, j’éprouve un sentiment de défiance à votre
égard : vous avez perdu mon soutien, je ne vous défendrai plus aussi spontanément. Désormais, je ferai la part
entre les « bons gendarmes », ceux qui traquent les vrais délinquants (les auteurs d’infractions routières graves, de
violences, de viols, de vols) et les autres...
Croyez-moi, cette histoire est loin d’être terminée !
Figuro Té.
La garde à vue a commencé à 7h00 du matin, le mardi 14 avril, à la gendarmerie de Lézignan-Corbières (11).
J’étais un peu en avance, je n'avais pas dormi de la nuit. Entre le stress de ne pas savoir pourquoi je suis
convoquée à la gendarmerie et, la veille au soir, Macron qui a annoncé que nous reprendrons sûrement l'école le
11 mai ( je suis AVESH en collège), ajouté à cela, le fait que mon conjoint est intermittent du spectacle et que
nous sommes très inquiets car tous les spectacles sont annulés jusque début août, rien n’a contribué à alléger le
poids de mes inquiétudes .
Dès que vous m'avez expliqué pourquoi j’étais en garde à vue, je vous ai prouvé que je n'étais pas « anti-flic »
et j’ai même précisé que j’avais publiquement milité, aux mois de janvier et février 2020, pour une police
républicaine aimée des Français et aux cotés d'Alexandre Langlois et Noam Anouar ( VIGI police ). Or, à ces
dires, vous avez signifié que ne connaissiez pas l'existence du syndicat auquel ces deux policiers adhèrent, ni
même qui ils étaient. Mais peut-être était-ce déjà un stratagème de votre part, comme vous en avez usé tout au
long de cette garde à vue ?
Par ailleurs, alors que mes droits le permettaient, vous m'avez dissuadée de contacter un avocat et ce, dés la
première heure de garde à vue, en prétextant qu’elle n'en serait que plus longue. Pour ma part, souhaitant au plus
vite quitter vos locaux, de peur d'attraper le COVID19, j'ai donc décliné ce droit. Or, maintenant que j’y repense,
votre incitation à y renoncer s’apparente bel et bien à une forme d’intimidation.
Ensuite, nous sommes partis chez moi, pour la perquisition de mon domicile. Or, vous n'y avez rien trouvé
d'illicite, malgré l'insistance d'un de vos brigadiers qui s’est obstiné à vouloir dénicher de la drogue à tout prix :
cette présomption de culpabilité n’était pourtant en rien à l’origine de ma grade à vue.
Bredouilles, car n’ayant rien pu suspecter sinon quelques photos, des affiches de la France Insoumise, ou
encore quelques gilets jaunes customisés, vous vous êtes ensuite intéressés à mon ordinateur. Je vous ai alors
suppliés de ne pas embarquer mon ordinateur fixe, car mes filles, l’une collégienne, l’autre lycéenne en ont besoin
pour suivre leurs cours à distance, du fait du confinement actuel. Sur ce même ordinateur, je vous ai donc aidé à
fouiller, surtout à visualiser ma page Facebook, car vous ne sembliez pas bien maîtriser l’utilisation de ce réseau
social.
Quand nous sommes revenus à la gendarmerie, j'étais très fatiguée, très éprouvée. Aussi, vous ai-je proposé que
l'on supprime ensemble, tout de suite, les deux publications sur lesquelles portent les griefs qui me sont reprochés
et qui sont à l’origine de ma garde à vue. Mais vous avez refusé.
Quand je vous ai demandé qui avait dénoncé ces publications, vous n’avez pas voulu me répondre et j’ai
compris, au fur et à mesure que nous échangions, que la plainte venait de vous.
J’ai stipulé dans mon rapport que j'aurais préféré que la personne offensée par ces propos me contacte
directement pour que je les enlève.
Je précise que ces publications n’ont jamais été censurées ni même signalées par Facebook, étant donné que
j'ai respecté la politique et les standards du réseau ; j’ajoute que ces publications sont restées sur mon « mur »
plusieurs semaines et qu’elles n’ont entraîné que trois ou quatre « like » et commentaires, autant dire qu’elles
n’ont pas vraiment déclenché de buzz ! Enfin, je déclare avoir imprimé ces publications, puis les avoir
supprimées trois jours après ma garde à vue : mon conjoint m'a filmée en train de les supprimer de mon
Facebook.
Concernant la suite de ma garde à vue, vous m'avez fait signer une montagne de papiers, alors que je tombais
de fatigue... Et j'ai signé, sans même lire ce que je signais, car vous me disiez que c'était la procédure habituelle et
que plus vite je signerais et plus je coopérerais, plus vite je serais chez moi, où mon conjoint et mes filles
m’attendaient très inquiets. J’ajoute que vous détenez mon téléphone depuis une semaine, pour " l'exploiter" dans
votre langage, pour fouiner, dans mon jargon à moi.
Ce récit de ma garde à vue ne détaille pas les situations et questions aussi tristement drôles qu’ahurissantes, qui
jalonnent cette bien piètre tentative de rappel à l’ordre : je prendrai le temps d’écrire minutieusement cette histoire
et de la médiatiser ultérieurement.
Depuis trois ans et surtout depuis le mouvement des « Gilets jaunes », j'ai plus d’une fois pris la défense des
forces de l'ordre, que ce soit publiquement, sur facebook ou ailleurs...
Je ne mérite vraiment pas votre acharnement que je perçois comme une injustice. Aussi, je n’ai pas l’intention
de me laisser faire, sans rien dire. Je peux éventuellement comprendre que vous m'ayez convoquée, car sur l’une
des deux publications qui me sont reprochées, je n'ai pas été d’une correction absolue et j’admets ne pas être
parfaite ou bien parfois m’emporter un peu vite, mais cela aurait pu être réglé sans que vous en profitiez pour me
nuire autant.
Jusqu’à présent, j’ai toujours pris votre défense. Or, aujourd’hui, j’éprouve un sentiment de défiance à votre
égard : vous avez perdu mon soutien, je ne vous défendrai plus aussi spontanément. Désormais, je ferai la part
entre les « bons gendarmes », ceux qui traquent les vrais délinquants (les auteurs d’infractions routières graves, de
violences, de viols, de vols) et les autres...
Croyez-moi, cette histoire est loin d’être terminée !
Figuro Té.
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Mar 26 Mai - 20:20
Quand l’extrême droite prolifère dans la police
23 mai 2020 Par Ricardo Parreira Blog : Le blog de Ricardo Parreira
C’est au travers d’une large panoplie de signes, insignes, symboles, slogans, etc, que des policiers visiblement sans honte ni crainte de leur hiérarchie, affichent publiquement, leur amour de la violence, du thème de la vengeance, et parfois, du racisme, de la mort, voire des idéologies nazie ou fasciste.
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- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Jeu 4 Juin - 14:11
Jean Trancène- Messages : 1505
Date d'inscription : 14/01/2019
Age : 82
Localisation : AHP
Re: Police partout : actualité des FDO
Jeu 4 Juin - 19:34
Bof, balle au centre, la même chose existe chez les policiers noirs, mais chuuuttt, faut pas le dire !!!!
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Dim 14 Juin - 0:22
Nice : un policier soupçonné de renseigner des dealers placé en détention
le 13 juin 2020
Ce fonctionnaire est soupçonné d'avoir "donné des renseignements à un réseau de trafiquants de stupéfiants", a précisé le procureur Xavier Bonhomme, samedi. Le policier a reconnu les faits lors de sa garde à vue, selon la même source.
Un policier en poste à Nice a été mis en examen et écroué vendredi soir dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour des faits de corruption, a-t-on appris samedi auprès du parquet de la ville.
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- EddieCochran+
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Re: Police partout : actualité des FDO
Dim 14 Juin - 6:45
142 -
C'est triste cette affaire d'un gentil gardien de la paix en poste dans le quartier de la diversité comme "là-bas dis" de l'Ariane, qui en donnant des signes objectifs qu'il n'était pas raciste et qu'il était d'un bon commerce avé les Colored Lives Matter du quartier difficile se retrouve dans les rets de la suspicieuse justice républicaine qui ne tolère pas que l'on fasse copain-copain avé les indigènes de la République qui ont des difficultés d'assimilation...
Younes Terre a écrit:Nice : un policier soupçonné de renseigner des dealers placé en détention
le 13 juin 2020
Ce fonctionnaire est soupçonné d'avoir "donné des renseignements à un réseau de trafiquants de stupéfiants", a précisé le procureur Xavier Bonhomme, samedi. Le policier a reconnu les faits lors de sa garde à vue, selon la même source.
Un policier en poste à Nice a été mis en examen et écroué vendredi soir dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour des faits de corruption, a-t-on appris samedi auprès du parquet de la ville.
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C'est triste cette affaire d'un gentil gardien de la paix en poste dans le quartier de la diversité comme "là-bas dis" de l'Ariane, qui en donnant des signes objectifs qu'il n'était pas raciste et qu'il était d'un bon commerce avé les Colored Lives Matter du quartier difficile se retrouve dans les rets de la suspicieuse justice républicaine qui ne tolère pas que l'on fasse copain-copain avé les indigènes de la République qui ont des difficultés d'assimilation...
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Jeu 25 Juin - 21:36
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 26 Juin - 8:47
Younes Terre a écrit:
Sur un coup de tête la dame de 62 ans avait apostrophé le brave policier de manière provocatrice : "Jeune homme, je tiens à avoir une conversation à bâtons rompus avec vous !". Evidemment, étant donné la baisse du niveau de recrutement, Mister Casquette a pris cela au premier degré en deux temps trois mouvements..
Charly aime ce message
Kalawasa- Messages : 6064
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 26 Juin - 10:20
P'tite info, en passant, mais qui ne va rien changer....
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 26 Juin - 20:33
Un policier blesse une collègue par une clé d’étranglement
Ce fonctionnaire de la police aux frontières a immobilisé sa collègue en lui serrant le cou alors qu’ils effectuaient une patrouille dans un train. Blessée aux cervicales, elle a porté plainte selon nos informations. L’enquête a été confiée à l’IGPN.
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- EddieCochran+
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 26 Juin - 20:37
146 -
Ben oui, voilà ce qui arrive dès lors qu'on pénalise la "main au panier" (même passées au GHA)!
Ben oui, voilà ce qui arrive dès lors qu'on pénalise la "main au panier" (même passées au GHA)!
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Ven 26 Juin - 21:26
Comment appellerait-on un régime qui laisse sa police en arme et en uniforme faire le siège d’une radio nationale pour intimider des journalistes qui dénoncent les #ViolencesPolicières ?
Environ 70 voitures de police et une vingtaine de motards devant la Maison de la radio à Paris, radiofrance ce jeudi soir.
Plusieurs dizaines de policiers ont manifesté devant la Maison de la radio jeudi 25 juin, entre 23h et minuit, ont constaté des journalistes de franceinfo. Une soixantaine de voitures de fonction et une quinzaine de motos étaient stationnées, gyrophares allumés, devant l’entrée du siège de Radio France, avenue du Président Kennedy (16e arrondissement).
- Younes Terre
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Re: Police partout : actualité des FDO
Dim 28 Juin - 0:10
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