La Pensée du Jour

Dans la vie, il existe deux types de voleurs :

 1. Le voleur ordinaire : c’est celui qui vous vole votre argent, votre portefeuille, votre vélo, votre parapluie, etc...

 2. Le voleur politique : c’est celui qui vous vole votre avenir, vos rêves, votre savoir, votre salaire, votre éducation, votre santé, votre force, votre sourire, etc...

 La grande différence entre ces deux types de voleurs,

 1. c'est que le voleur ordinaire vous choisit pour vous voler votre bien, 

2. tandis que le voleur politique, c’est vous qui le choisissez pour qu’il vous vole.

 Et l’autre grande différence, qui n’est pas des moindres,

 1. c'est que le voleur ordinaire est traqué par la police,

 2. tandis que le voleur politique est le plus souvent protégé par une escorte de police...

Belle oraison funèbre...

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Le décès tragi-comique à l'Elysée du Président de la République Félix Faure (1841-1899) succombant à une épectase survenue pendant que sa blonde maîtresse Madame Marguerite Steinheil lui fourbissait le candélabre précéda la répartie du Tigre citée plus haut.

Dans le Wiki en anglais voici ce qui est dit de cet épisode qui fit les gorges chaudes de la classe politique française et de l'opinion publique  à l'époque :

"Death

Faure died suddenly from apoplexy in the Élysée Palace on 16 February 1899, while engaged in sexual activities in his office with 30-year-old Marguerite Steinheil.

It has been widely reported that Felix Faure had his fatal seizure while Steinheil was fellating him, but the exact nature of their sexual intercourse is unknown and such reports may have stemmed from various jeux de mots (puns) made up afterward by his political opponents. One such pun was to nickname  (l'on ne saurait mieux dire) Mme Steinheil "la pompe funèbre" (wordplay in French: "pompes funèbres" means "death care business" and "pompe funèbre" could be translated, literally, as "funeral pump"). George Clemenceau's epitaph of Faure, in the same trend, was "Il voulait être César, il ne fut que Pompée" (another wordplay in French; could mean both "he wished to be Caesar, but ended up as Pompey", or "he wished to be Caesar and ended up being blown": the verb "pomper" in French is also slang for performing oral sex on a man); Clemenceau, who was also editor of the newspaper L'Aurore, wrote that "upon entering the void, he [Faure] must have felt at home".[4] After his death, some alleged extracts from his private journals, dealing with French policy, were published in the Paris press.""
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Ça au moins c'est une mort à la française, toujours raide à la vie et à la mort ! (au vit et à l'amor)

Au moins nous ne risquons pas ce genre d'aventure avec not' président actuel...
Pour ce qui est de pomper les Français, Bercy s'en charge !

PS : si, par hasard), cette "accident" se passait aujourd'hui, aurions-nous droit comme d'habitude au silence assourdissant des médias ?
Je pense que oui, car on classerait ça dans la catégorie "vie privée" ...

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Kalawasa a écrit:Au moins nous ne risquons pas ce genre d'aventure avec not' président actuel...
Pour ce qui est de pomper les Français, Bercy s'en charge !

PS : si, par hasard), cette "accident" se passait aujourd'hui, aurions-nous droit comme d'habitude au silence assourdissant des médias ?
Je pense que oui, car on classerait ça dans la catégorie "vie privée" ...

Normal, privé de vie implique privé de vit.

Kalawasa a écrit:Au moins nous ne risquons pas ce genre d'aventure avec not' président actuel...

Heureusement.
Mais après tout, kestenssé ?


Mab

Kalawasa a écrit:

Ca c'est encore pour Eichmann .... rahhh : la nazismophobie a encore frappé (tu pourras me prêter ton avocat Kala ? Je crois que je vais en avoir besoin )

Quantat a écrit:tu pourras me prêter ton avocat Kala ?

Ne me parle pas d'avocat , Quantat ...Aux chi cabinets, les avocats ! 

Quand j'entends parler d'avocats, je pense avant tout au Mexique, à la monoculture de ce fruit, au crime organisé, à l'appauvrissement de la population, aux incendies volontaires par les mafias pour récupérer des terres, aux insecticides, à la corruption des politiques....


1,6 million de tonnes
C’est la quantité d’avocats que le Mexique a produit en 2015, une hausse de 6,6 % en un an. En 30 ans, les plantations sont passées de 31 000 à 118 000 hectares.
Un succès économique lié à une stratégie marketing agressive : en 2013, les 19 000 producteurs mexicains et les 46 entreprises exportatrices d’avocats se sont rassemblés au sein d’Avocados from Mexico. Deux ans plus tard, l’organisation déboursait 1 million de dollars pour un spot publicitaire diffusé durant le Super Bowl, l’événement sportif phare aux États-Unis.
Depuis, la demande fait bondir les prix. En juin, aux États-Unis, l’avocat se vendait 1,10 dollar pièce, contre 86 ¢ en janvier. De l’autre côté de la frontière, les Mexicains, qui l’achètent au kilo, ne sont pas épargnés par la hausse. En juillet, l’avocat pouvait atteindre 60 à 80 pesos le kilo.
Incendies criminels
Devenu plus cher que certains métaux, le fruit suscite la convoitise du crime organisé. En 2013, les habitants de plusieurs villages du Michoacan ont pris les armes, exaspérés par les rackets d’un cartel de la drogue, qui tentait de s’emparer de leur or vert. « Au début, ils nous demandaient 1000 pesos par hectare, puis ils ont voulu prendre une partie de nos terres », raconte un producteur sous le sceau de l’anonymat.

Un confessionnal, c'est une cabane de pécheurs ....

Quand on est jeune, l'adultère est un péché
Après 70 ans, l'adultère est un miracle...