le coronavirus...

bigre
un fil à plusieurs vitesses, ouvert aux quatre vents, y compris celui de la polémique, pas vrai, victor (lol) ?
mais il faut de tout pour faire un monde, selon la chanson, l'essentiel est de participer, mon baron !
et il faut pas grand chose pour le défaire, réflexion faite, ce monde qui danse sur un volcan depuis des semaines !
mais on n'a pas trouvé l'héritier d'haroun tazieff, mais en revanche plein de couillons d'apprentis-sorciers, qui soufflent sur les braises, à qui mieux-mieux !
dommage, donc, de constater, hélas, que ceux qui sont payés (avec nos sous) pour réfléchir, n'aient point de cerveau, ou du moins, ne s'en servent que pour servir leurs intérêts !
on est en train d'en vivre la terrible démonstration, et on n'est pas au bout de nos peines !
lamentablement
hub'

addendum
et juste pour en terminer, au-delà des bisbilles que je découvre céans, et qui me font sourire, c'est important de se détendre, juste qques mots avant mon apéro de substitution !
et ça concerne un type bien, au look un peu déjanté, à savoir Raoult, je sais pas si son médoc est la panacée, la fameuse chloroquine de Sanofi, mais il a un autre mérite, ce prof', c'est d'avoir dénoncé depuis longtemps les failles et les tares de notre système de santé, en cas d'épidémie !
le manque d'anticipation flagrant qui va rendre longue et difficile la sortie du confinement !
c'est une honte pour la France, ravalée à un pays de second plan, incapable de faire face, et je tire même pas sur l'ambulance élyséenne, c'est plus nécessaire !
reste à rejoindre rumba sur le fil humour !
santé
apéritivement
hub'

addendum bis
considérations philosophiques survolées, je m'aperçois que, contrairement au coronavirus, lequel ne se déplacerait pas dans l'air, en remerciant mariebé au passage, le "macronvirus", lui, caracole, toutes ailes déployées dans "l'hère du temps", pardon dans l'air !
mais dieu mercy, il n'est plus contagieux, sans doute parce que ses affidés, tout comme Manu ont perdu une grande partie de leur crédibilité, mais pas complètement, cependant, trois fois hélas !
le professeur Raoult, ce vioque qui marche à côté de ses pompes, contrairement à qui de droit, peut aller se rhabiller, c'est vrai, il aura au moins essayé !
inutilement
hub'

452 -

Oui, oui, oui, le Professeur Raoult a 68 ans, le BOF en a 40. Evidemment c'est la faute des jeunes si la France a été imprévoyante. Ces pisseux auraient dû commencer à penser à l'anticipation au berceau. Ce sont à l'évidence des incapables-nés. Heureusement que dans leur grande sagesse les vioques ont attendu leur heure pour pouvoir critiquer les minots qui entrent dans la carrière quand eux en sortent avé suffisance et sans responsabilité tout en laissant la merde derrière eux.

454 -

SylvetteB a écrit:Donc, si j'ai bien compris, ce n'est la faute de personne a moins que ce ne soit la faute a tous?  


Pendant ce temps-la qui est responsable de trouver des solutions au probleme?

Les deux questions sont bien posées Chère Sylvette, elles ont, à mon sens dans le strict contexte francaoui, comme réponses d'abord que la responsabilité est collective et qu'ensuite par voie de conséquence la solution l'est également mais partagée par chacun.

Les soixante-huitards sont en très grande partie responsables de l'échec collectif et de l'archipelisation de la société francaouie qui place les individus côte à côte mais pas ensemble, l'égoïsme personnel (parfois désespéré) s'exprimant dans un cloisonnement corporatisme jaloux, méfiant, ésclusif et susceptible.

Pour les bonnes volontés le choix est de déterminer quelle pierre apporter à quel édifice à construire? A défaut de chercher à surmonter la difficulté la critique est naturellement plus aisée à produire, d'autant que les options ne sont ni uniques ni éternelles.

La solution est devant nous tous, à notre portée, à moins que l'effondrement général n'assure la rédemption malgré nous...

morbleu
une journée calme sur notre conviviale tribune, le bruit du silence résonne en creux, un oxymoron de circonstance !
notre archipel est désorienté today, après le big-bang de l'arrivée du big gang (lol) des progressistes européistes de la macronie triomphante et triomphale, et la farce organisée par franfran le cocufié, le pêché originel de la macronie !
mais revenons au sujet, elle s'appelait Julie, 16 ans à peine, elle est partie dans la nuit de mardi à mercredi en succombant au covid 19 !
le virus n'épargne personne, c'est la première mineure à mourir de cette maladie, laquelle n'épargne personne !
l'Ile de France est quasiment en sous-capacité, dans les hauts de seine, un patient est refusé en réa toutes les heures !
il n'y a plus de respirateurs disponibles !
ce soir, comme tous les jours précédents, mon pharmacien n'a toujours pas reçu de masques, de gants, de gel hydro, pas davantage de chloroquine, ce remède de pacotille, prôné par un "allopathe à caisse" (ptdr), et que l'on ne trouve plus nulle part !
une situation à la Dubout (une référence donc)
hallucinatoirement
hub'

addendum
bonjour, voilà un article que j'ai récupéré
en attendant le pic de cette engeance, toujours à venir !
Si l’on n’observe pas de symptômes, c’est généralement que le système immunitaire (globules blancs, anticorps, macrophages) de la personne est particulièrement efficace. Le phénomène de porteur sain est courant et s’observe aussi bien avec des virus (grippe, VIH, hépatite B), qu’avec des bactéries (tuberculose, maladie de Lyme) ou des parasites.

Le porteur sain est contagieux

Malheureusement, en cas d’épidémie, le fait d’être asymptomatique ne facilite par le travail des médecins. L’absence de symptômes visibles empêche de détecter facilement la maladie et donc le lutter contre la diffusion de l’épidémie. D’où l’intérêt de faire un test diagnostic (recherche de la présence d’acide nucléique du virus) par un long coton-tige dans le nez ou la gorge, doublé d’un scanner des poumons, et suivi d’un strict confinement à domicile de 14 jours en cas de résultat positif.
À lire aussi

Coronavirus : les précieux enseignements des médecins du Grand Est




En effet, le porteur sain peut, sans le savoir, transmettre l’agent infectieux aux personnes qu’il côtoie, notamment par diffusion directe de ses sécrétions orales et nasales (postillons, éternuements, poignée de main) puisque le Covid-19 est une maladie à transmission interhumaine. Selon l’OMS, avec ou sans symptôme, la personne infectée peut, en moyenne, en contaminer trois autres. Les enfants, adolescents et les jeunes adultes semblent particulièrement transmetteurs. C’est notamment pour cette raison que la Direction générale de la santé leur déconseille de rencontrer les personnes âgées, a priori plus vulnérables.

Pendant combien de temps est-on contagieux ?

On estime que la durée d’incubation est comprise entre 2 et 14 jours, voire 24 jours selon une étude chinoise En clair, une personne infectée peut en contaminer d’autres jusqu’à 2 semaines avant de présenter des symptômes. Et un porteur sain peut contaminer d’autres personnes au-delà des deux semaines d’incubation. Avec cette nuance : il sera probablement moins contagieux qu’une personne symptomatique puisqu’il ne tousse ni n’éternue.
Si l’on est détecté porteur sain, les précautions à prendre sont identiques à celles imposées au reste de la population. À savoir confinement quasi total, respect d’un mètre de distance lors de toute interaction avec une tierce personne, limitation des contacts avec toute personne vulnérable (personnes âgées, femmes enceintes, malades chroniques, notamment les greffés du poumon)…

Le virus peut-il rester contagieux dans l’environnement ?

Au-delà d’une contagiosité directe, on peut imaginer aussi une transmission indirecte, via les objets de notre domicile (poignée de porte, rampe), de la vie quotidienne (courrier, colis, sacs alimentaires…) ou du domaine public (rampe et poignées de porte de métro, distributeur d’argent…). « D’une manière générale, à ce jour, on considère que le coronavirus actuel reste infectieux 2 à 3 heures en milieu sec, avec des variantes selon la température, la nature de la surface et la charge virale des gouttelettes excrétées », indique Didier Lepelletier, chef du service de bactériologie et hygiène hospitalière au CHU de Nantes.
Les parades consistent à se laver fréquemment les mains, s’appliquer du gel hydroalcoolique et nettoyer les surfaces lisses avec du savon ou des désinfectants ménagers ! (fin de sic)
allez, je vais aller chercher mon pain, un boulanger courageux, juste à côté de chez moi, originaire de Bejaia, qui hésite à tirer le rideau, comme beaucoup !
bon courage
amicalement
hub'

addendum
j'ai une pensée spéciale pour Aïcha, une caissière de Carrefour dans le neuf cube (le 93 de seine saint denis) !
j'ai pas remis les pattes dans le mien, de Carrefour à la Part Dieu de Lyon, depuis 15 jours !
ces pauvres employées payées avec un lance-pierre (1000 euros pour 30 heures) sont exposées, sans masque, à une clientèle qui ne respecte pas les consignes !
ma p'tite caissière préférée, Karima, elle, a fait jouer son droit de retrait, sur mon conseil !
dans notre douce France, il y a deux mondes qui cohabitent
(bien) difficilement (et le présent inquiétant le révèle un peu plus)
hub'

hier ma petite fille de Toulouse est allée faire ses courses, le magasin où elle va habituellement juste en bas de chez elle était fermé alors elle a continué son chemin et "rencontré" les gendarmes contrôle du laisser-passer, elle a dit qu'elle allait faire ses courses, le policier lui a très aimablement indiqué le magasin ouvert au plus près. Dans le magasin toutes les caissières avaient un masque, du gel il y avait un marquage au sol pour la distance à respecter à la caisse et un message toute les 5 minutes au micro demandant aux clients de respecter les distances.

bigre
saprée rumba, où encore, me vient à l'esprit, un truisme ressassé, qui veut signifie que la présence d'une exception peut confirmer la présence d'une règle générale, et non pas que la présence d'une exception confirme la validité d'une règle !
mais comme aurait dit le baron homo, De Coubertin, le relookeur des JO modernes, l'essentiel est de participer !
cela dit, ça sent pas le réchauffé dans la cité des violettes, putaing-khon (le juron préféré des habitants du coin, pourtant protégés) !
incontestablement
hub'

crévindiou
et pour revenir sur le débat central, ce matin, je me demande, hélas sans rire, s'il y a encore un pilote dans l'avion !
l'affaire de la chloroquine le démontre, selon le professeur Christian Péronne, un type intelligent, l'incroyable khonnerie du duo Macron-Philippe !
tous les soirs, on devrait bien sûr applaudir longuement, le personnel médical, parce qu'il risque sa peau, et en même temps, hurler "macron démission", avec ou sans GJ, d'ailleurs, les fixations ras des pâquerettes étant largement dépassées !
cette gestion honteuse, toujours aucun produit en pharmacie ce matin, chez moi à Lyon, il faut qu'elle trouve un terme, rapidement !
tiens, j'apprends à l'instant que le mari d'une amie de mon épouse, avait été transporté, hier soir, en réanimation victime d'une embolie pulmonaire, il est entre la vie et la mort !
bref, je vais bien, tout va bien !
applaudissements
subséquemment
hub'

461 -

" -  Article LA VDN
Menaces à l’encontre du professeur Raoult, une enquête ouverte


Le professeur Didier Raoult, qui dirige aujourd’hui l’IHU Méditerranée Infection à Marseille, a porté plainte après avoir reçu des appels anonymes menaçants.


F.P. | 26/03/2020
Selon Le Canard enchaîné, le professeur Didier Raoult, un infectiologue qui développe un remède contre l’épidémie de coronavirus, a porté plainte contre X pour « menaces de morts » et « actes d’intimidation envers un chargé de mission de service public » après voir reçu des appels téléphoniques menaçants.


La procureure de la République de Marseille, Dominique Laurens, a confirmé à 20 Minutes qu’une enquête a été ouverte à Marseille avant d’être transférée à Nantes « où se trouve l’auteur présumé des faits ».


Un médecin du CHU de Nantes ?
En effet, toujours selon Le Canard enchaîné, « le téléphone portable à l’origine des appels malveillants fait partie de ceux mis à la disposition des médecins du CHU de Nantes ».


Le professeur Raoult est au cœur de l’actualité. Alors que l’épidémie de Covid-19 continue de se propager dans le monde, il affirme pouvoir mettre un point un remède facile et efficace à base de chloroquine.


Le 16 mars, le Pr Raoult a ainsi affirmé que son effet contre le coronavirus était spectaculaire avec la disparition du virus en six jours auprès des trois quarts des patients.


La chloroquine fait débat
Celui qui est aussi le directeur de l’IHU de Marseille explique que 24 patients atteints par le coronavirus ont pris du Plaquenil, l’un des noms commerciaux de la chloroquine, et que six jours plus tard, seulement 25 % sont encore porteurs du virus alors que 90 % de ceux qui n’ont pas reçu ce traitement sont toujours positifs.


Des résultats prometteurs mais qui demandent encore d’être confirmés sur avec étude plus large. En attendant, le Haut conseil de santé publique recommande de ne pas utiliser la chloroquine, sauf pour des formes graves et sous surveillance médicale stricte."
-----------------------

Ça se giletjaunise chez les hospitaliers !

diantre
applaudissements confirmés !
santé, et champagne, à défaut de triple cask !
idéal pour coincer la bulle !
"haut-conseillement"
hub'

Rumba a écrit:hier ma petite fille de Toulouse est allée faire ses courses, le magasin où elle va habituellement juste en bas de chez elle était fermé alors elle a continué son chemin et "rencontré" les gendarmes  contrôle du laisser-passer, elle a dit qu'elle allait faire ses courses, le policier lui a très aimablement indiqué le magasin ouvert au plus près. Dans le magasin toutes les caissières avaient un masque, du gel  il y avait un marquage au sol pour la distance à respecter à la caisse  et un message toute les 5 minutes au micro demandant aux clients de respecter les distances.

Ici (sud-ouest profond, mais tres profond, hein), les plus dingos sont les tetes chenues.
Des warriors; coude à coude dans les files d'attente des supermarchés, pour entrer comme pour sortir, malgré le vigiles qui s'égosillent pour les empêcher de s'agglomérer et les caissières qui les rappellent à l'ordre. Je suis sûre qu'il y des greffes qui ont pris.
On s'attend plus ou moins à les voir débarquer la prochaine fois avec des T Shirts "Fuck le covid19, con", le majeur en l'air.
Il faut dire que pour eux, l'hypermarché est le lieu de rendez-vous, la balade quotidienne. Pas tout à fait intégré, le principe du confinement...
Par ceux de mes connaissances qui y vont encore, je sais que les caisses sont équipées de plexi et le personnel a du matos de protection. Et au drive, depuis la semaine dernière, c'est gant et masque (ffp2, j'ai pensé aux soignants d'autres regions...), sauf, pour ne pas le nommer, l'hypermarché d'un certain Edouard L. (sources concordantes, dont la mienne), qui semble confondre personnel et objet à usage unique.

Le personnel des epahd est équipé de protections depuis 1 semaine (gant, masque, surchaussures), ainsi que le personnel des assos sanitaires et sociales qui s'occupent des gens à domicile (info première main, ma belle-soeur bosse là-dedans). A voir si les prochaines livraisons seront assurées...


Mab

465 -

Non ce n'est pas qu'une histoire belge !

"Coronavirus : un chat infecté en Belgique, une première


Deux chiens avaient déjà été testés positif au Covid-19 en Corée du Sud. Les scientifiques se veulent toutefois rassurants, indiquant que le risque de transmission à l'Homme est «négligeable».


Par Yohan Blavignat
Publié hier à 20:11, mis à jour hier à 21:41


À chaque jour sa nouveauté. Pour la première fois depuis le début de la pandémie de Covid-19, un chat a été infecté par le nouveau coronavirus en Belgique, ont indiqué vendredi les autorités sanitaires belges. L'animal a été contaminé par son maître qui était malade. Selon les chercheurs, le chat a eu des symptômes respiratoires et digestifs transitoires. Grâce à une méthode de séquençage, les chercheurs ont détecté le génome du virus. Depuis, l'animal a récupéré et se sent mieux."" Piqué sur le Merlan-en-ligne.

Ouf, nous voilà rassurés, le griffu n'a rien !

Bon sang ce n'est pas facile de faire respecter les gestes barrières par son chat, surtout pour qu'il se lave les pattes au gel hydroalcoolique.

morbleu
il m'avait semblé qu'il existait un fil dédié à l'humour, sur ce forum plus convivial que lui tu meurs !
a priori, ce matin, il n'y a pas un chat, ils ont émigré !
mais c'est vrai qu'il faut de tout pour faire un monde, et pas grand chose pour le défaire !
ah oui, au fait, le mari de la copine de mon épouse, que j'ai évoqué un peu plus haut, est dans le coma !
pour rester dans l'humour !
et santé
apéritivement
hub'

Eddie a écrit:

Non ce n'est pas qu'une histoire belge !

"Coronavirus : un chat infecté en Belgique, une première

Bon.
Maintenant on va compter le nombre d'abrutis congénitaux que cette nouvelle va pousser à abandonner son animal ou le jeter par-dessus le balcon...


-------

Hub', j'espère que les choses s'arrangeront pour le conjoint en question,
Bon courage,

Mab

EddieCochran+ a écrit:465 -

Non ce n'est pas qu'une histoire belge !

"Coronavirus : un chat infecté en Belgique, une première


Deux chiens avaient déjà été testés positif au Covid-19 en Corée du Sud. Les scientifiques se veulent toutefois rassurants, indiquant que le risque de transmission à l'Homme est «négligeable».


Par Yohan Blavignat
Publié hier à 20:11, mis à jour hier à 21:41


À chaque jour sa nouveauté. Pour la première fois depuis le début de la pandémie de Covid-19, un chat a été infecté par le nouveau coronavirus en Belgique, ont indiqué vendredi les autorités sanitaires belges. L'animal a été contaminé par son maître qui était malade. Selon les chercheurs, le chat a eu des symptômes respiratoires et digestifs transitoires. Grâce à une méthode de séquençage, les chercheurs ont détecté le génome du virus. Depuis, l'animal a récupéré et se sent mieux."" Piqué sur le Merlan-en-ligne.

Ouf, nous voilà rassurés, le griffu n'a rien !

Bon sang ce n'est pas facile de faire respecter les gestes barrières par son chat, surtout pour qu'il se lave les pattes au gel hydroalcoolique.

Il suffit de chauffer le chat à 65° : le virus n'y résistera pas

diantre
la philosophie, ça mène à tout !
c'est du troisième degré, au moins, 65°, difficile de faire mieux !
sibeth, la jolie, et pas si bête que ça, comme il disent à Calais, les bourges, est battue à coutures plates (où l'inverse) !
et ça fait du bien, c'est sûr, keskon s'marre !
merci, mon quantat à moi que j'ai (lol)
et surtout, change pas (re-lol)
apéritivement (un champ' RM, récoltant manipulateur pour les béotiens, c'est pas de l'humour)
hub'

Et puis il y a les bonnes nouvelles, les vraies,





Mab

Mab-des-bois a écrit:

Eddie a écrit:

Non ce n'est pas qu'une histoire belge !

"Coronavirus : un chat infecté en Belgique, une première

Bon.
Maintenant on va compter le nombre d'abrutis congénitaux que cette nouvelle va pousser à abandonner son animal ou le jeter par-dessus le balcon...


-------

Hub', j'espère que les choses s'arrangeront pour le conjoint en question,
Bon courage,

Mab

fichtre
merci, mariebé, j'apprécie !
on croise les doigts, on a pas le droit d'aller le voir, hélas !
un type bien, sympa, un allemand plein d'humour, avec lequel j'avais plaisir à échanger !
on est sans armes, face à cette pourriture qui s'insinue partout!
je t'aime bien
amicalement
hub'

diantre
l'enfumage s'est poursuivi, avec une heure de retard, pour peaufiner le baratin !
pitoyable, notre barbu victime aussi de la pelade, et presque crédible, après les loupés et mensonges à répétition !
bref, sinistre prestation, je développe pas !
pour changer, je mets un couplet de mon philosophe préféré, Michel Onfray !
attention, ça décoiffe, mais ça fait du bien, cette bande de cloportes en prend pour son grade, haro sur eux !
"A l’heure où j’écris, une loi dite d’urgence permet à l’employeur d’imposer à son salarié de prendre ses congés pendant la durée du confinement. Le sénat a limité la disposition à six jours ouvrables et l’Assemblée nationale a confirmé la chose en commission ! Quel humanisme ! Quelle humanité ! Quelle générosité ! Quelle grandeur d’âme !
Ce sont les mêmes élus du peuple qui, il y a peu, crachaient sur la douleur de parents qui avaient perdu un enfant et auxquels il était refusé l’aumône de quelques jours de congés supplémentaires afin qu’ils puissent tenter de faire face, un peu, au malheur.
Quand les gilets-jaunes se sont dirigés un samedi vers l’Assemblée nationale pour y faire entrer enfin le peuple, même symboliquement, ils visaient juste : car le peuple n’est pas dans cette enceinte dans laquelle on ne trouve plus que des politiciens professionnels qui prétendent le représenter mais qui se contentent de jouir du pouvoir et de ses avantages.
Ce qui veut dire que la facture de cette épidémie, qui va être terriblement salée, va être partagée entre les pauvres et … les pauvres -ne parlons pas des assureurs dont le métier consiste toujours à échapper aux remboursements des dommages par des finasseries contractuelles. Les riches y échapperont car leur argent est déjà ailleurs, inaccessible à ce qui reste d’un pouvoir d’État qui, de toute façon, sous régime maastrichtien, ne leur cherchera pas noise !
Macron et les siens, les maastrichtiens de droite et de gauche, n’ont en effet pas décidé de réquisitionner les fortunes planquées dans les paradis fiscaux. Pas question que les riches paient alors qu’ils ont constitué leurs fortunes en fraudant le fisc, ce qui veut dire : en ne payant pas l’impôt avec lequel on peut, entre mille autres choses, construire des hôpitaux et les maintenir en état de marche… Tout citoyen français qui dispose d’un compte en Suisse ou dans un quelconque paradis fiscal doit être tenu pour responsable de la mort de qui n’aura pas pu bénéficier d’un respirateur hospitalier, responsable et coupable. On lira la liste de quelques-uns de ces assassins en appendice.
Il serait pourtant légitime de dénoncer enfin ce qui a mis la santé publique dans cet état que des soignants se trouvent dans l’obligation de trier les vieux à l’entrée des services d’urgence, une terrible responsabilité qui réactive une pratique de sinistre mémoire : à droite ceux qui vont vivre, à gauche ceux qui vont mourir. Le personnel hospitalier n’a pas fait autant d’années d’études pour sélectionner dans un genre de Jugement Dernier dont ils seraient les dieux des élus à sauver et des damnés à tuer ! Ils n’ont pas vocation à travailler dans un abattoir ! Il en va pour eux d’une insupportable souffrance psychique, mentale et spirituelle qui s’ajoute à leurs fatigues professionnelles, à leur épuisement. Eux ne disposent pas de ces pitoyables cellules psychologiques qui sont envoyées sur place pour toute une classe, comme quand une diarrhée de cantine envoie six enfants d’une école en observation hospitalière pour une demi-journée… 
Car, ceux qui tuent, ce ne sont pas ceux qui, sur le terrain, sont obligés de tourner le pouce vers le bas en présence d’un corps trop atteint, de poumons ravagés comme jamais, ce ne sont pas ceux qui, sans masques, se retrouvent au contact de la mort, ce ne sont pas ceux qui, couverts de sang et de bave, de morve et des postillons des grabataires, touchent et portent ces corps comme la piéta le corps de son enfant mort, mais ceux qui, dans les bureaux, depuis des années, ont rayé des lignes comptables sur des budgets sous prétexte de rentabilité.
Ce genre de criminel tue avec un silencieux : en fermant les hôpitaux après avoir estimé qu’ils perdaient de l’argent ou qu’ils ne dégageaient pas assez de bénéfices ; en donnant l’ordre de privilégier les actes rentables, au risque de les multiplier sans raisons véritables ; en décrétant que, dans les petites villes de province, ces structures de proximité sont trop dangereuses sous prétexte que les chirurgiens n’y effectuent pas assez d’actes pour être professionnels et efficaces ; en incitant les hôpitaux à développer l’activité ambulatoire parce qu’elle réduit la durée des séjours, ce qui expose les malades aux complications faute de suivi ; en traitant par le mépris l’appel au secours des personnels soignants qui manifestent depuis plus d’un an et à qui Macron promet d’agir sans procéder autrement qu’en saupoudrant ici ou là, mais sans jamais entamer la véritable révolution qui consisterait à découpler la santé publique du critère de rentabilité.
Ce qui doit primer dans un hôpital n’est pas qu’il soit rentable, mais qu’on y soigne tout le monde, riches et pauvres. De même, ce qui doit primer dans une école n’est pas qu’elle soit rentable, mais qu’on y fasse triompher l’instruction publique sans distinctions sociales. Mais aussi : ce qui doit primer dans la police ou dans l’armée n’est pas qu’elles soient rentables, mais qu’elles disposent des moyens d’assurer partout l’ordre public et républicain. Et l’on pourrait ajouter à la liste la culture, le renseignement, la justice, etc.
La République, c’est cela : le souci de l’intérêt général et du bien public avant l’intérêt privé de quelques-uns, d’un groupe ou d’une aristocratie de milliardaires. Hélas, le marché a gangrené la totalité du corps social au point qu’il a évincé la politique et qu’il se fait passer pour une politique, pour la seule politique d’ailleurs : or, il n ‘est pas une politique mais le seul intérêt du Capital.
Voilà pourquoi Macron, qui ne connait que ce logiciel, ignore ce qu’est la politique et se retrouve chef de l’État alors qu’il n’a pas quarante ans -c’est d’ailleurs pour cette raison, son innocence, que l’État profond a tout mis en oeuvre pour le placer là où il se trouve, c’est un formidable pantin désarticulé, un pion jadis rutilant, un second couteau ébréché. Voilà aussi pourquoi, dans cette situation exceptionnelle, il décide tout et le contraire de tout, n’importe quoi, c’est le triomphe historique du « en même temps » ! On ne craint pas le virus mais on le craint, on ne confine pas mais on confine, on ne ferme pas les frontières mais on les ferme, on ne sort pas mais on peut sortir pour voter, on ne porte pas de masques, c’est inutile, mais on en fait fabriquer des millions, etc…
Dès lors, quand Ségolène Royal, tout au gonflement de sa propre baudruche, attaque Olivier Veran, l’actuel ministre de la santé, pour sa responsabilité passée, elle oublie juste de dire qu’avant de grossir le rang des macroniens, ce monsieur vient lui aussi, comme tant d’autres, du Parti socialiste, dont elle fut la candidate aux présidentielle, et que ce Parti socialiste n’a plus de socialiste que le nom depuis qu’en 1983 un certain François Mitterrand l’a jeté à la poubelle afin de pouvoir rester au pouvoir -ce qui lui a d’ailleurs plutôt bien réussi puisqu’avec cette forfaiture il a effectué deux septennats qui ont initié la casse de tout ce qui était public, hôpital compris, et qu’on lui doit aussi, comme autre héritage notable, d’avoir a mis la famille Le Pen au-devant de la scène politique…
Nous avions des millions de masques, nous n’en avons plus, où sont-ils passés ? Guéguerre picrocholine pour savoir si c’est à l’impéritie passée de la « gauche » qu’on doit cette pénurie ou à celle de la « droite » : mais c’est au deux, à la droite maastrichtienne et à la gauche maastricthienne qui, l’une et l’autre, en même temps comme dirait l’autre, copines comme cochonnes, ont mis la France dans cet état : merci Mitterrand ! Merci Chirac ! Merci Sarkozy ! Merci Hollande ! Merci Macron ! Car ce sont eux qui ont rendu possible cette incroyable monstruosité que, dans cet hôpital public qu’ils ont tué pour en faire des usines à fric, le résultat soit qu’on trie les gens pour diriger les malades les plus atteints, dont les vieux, vers les pompes funèbres, pour ne soigner que les cas les moins préoccupants. De sorte qu’avec ces hôpitaux libéraux, le plus malade est le plus vite mort.
L’hôpital libéral, c’est un nouveau concept orwellien : on pourrait imaginer des slogans peints sur les murs de ces usines de mort que sont devenus ces hôpitaux-là, nos hôpitaux : « Plus vous serez malade, plus vite on vous expédiera au fond du trou ! ». Ou bien, sur la porte du bureau des personnels soignants : « Aux urgences, évitez ce qui est urgent ». Au bureau des soignants : « Aux mourants, prodiguez la mort ». Au bureau du comptable : « Un bon patient est un client à tondre ». Et puis, à l’entrée du funérarium, ceci : « Aux morts, Maastricht reconnaissant », car l’action des PFG doit se trouver bigrement en hausse.
Un dernier mot : chaque soir, au journal de vingt-heures, les journalistes, qui disposent ainsi de leur séquence « vivre-ensemble » (c’est leur moment homéopathique positif) nous montrent les gens qui, aux fenêtres, applaudissent le personnel soignant en faisant des pitreries, en tapant sur des casseroles, en chantant, en criant. Ils manifestent, nous dit-on, leur solidarité avec ces héros de notre époque qui bravent la mort dans leur métier ! Très bien, très bien… Tout cela est vrai.
Mais combien, parmi ceux-là, postillonnant du haut de leurs balcons, gavés par la propagande maastrichtienne, ont voté pour des candidats qui, droite libérale et gauche libérale confondues, ont justement fabriqué cet hôpital kafkaïen où l’on contraint de pauvres soignants à distribuer la mort ou à conférer la vie en vertus de plans de route décidés depuis un quart de siècle par cette Commission européenne, qui n’est pas élue, et qui impose sa loi, aujourd’hui dans le sang et les larmes, les glaires et les crachats, aux sujets de l’Empire maastrichtien ?
Combien ?
Je n’ai pour ma part pas envie d’aller sur mon balcon pour bêler avec les moutons. Je pense à ces gens formidables, en effet, qui m’ont sauvé d’un infarctus quand j’avais vingt-huit ans, qui ont été près de moi lors de mes deux AVC, qui ont si bien accompagné ma compagne pendant les dix-sept années de son cancer et de ses chimiothérapies avant qu’elle finisse par mourir, et qui, de fait, méritent notre profond salut. Mais pas depuis dix jours…
J’ai plutôt envie de pleurer sur ce qu’est devenue la France tuée par ces assassins qui, eux, se portent bien…
Michel Onfray

addendum
en prime, la photo de famille
on pourrait l'intituler "voici venu les temps des assassins"
une superbe brochette !
il ne manque qu'une ombre au tableau
évidemment
hub'