" les journalistes, sale engeance ? "

Rappel du premier message :

En guise d'introduction , très bonne synthèse  de la situation.

274 -

Younes Terre a écrit:

EddieCochran+ a écrit:270 -
Il est certain que si l'information des foules était assurée par un régime mélanchoniste les temps d'entenne et de parole des oppositions seraient plus équitablement établies.

Pour info  au cas où vous ne vus en seriez pas rendu compte  l'essentiel de la presse et  des moyens d'information est détenu par des sociétés privées...
Sociétés privées qui ont la prétention de faire du journalisme neutre indépendant  et objectif ...On est pas en théorie dans  du journalisme d'opinion .

Il semblerait tous de même que Boloré  ( Canal + , CNEWS...) est décidé de favoriser l'élection de Marine Le Pen ...Les autre Milliardaires seraient plus Macron
Et donc en moyenne  et bien  voilà le résultat il est représentatif des objectifs des propriétaires des moyens d'information ...

Cher Younes bonsoir,

L’aversion idéologique du mélanchonisme et des estrêmes gauchistes envers le privé a pour corollaire ma défiance viscérale envers le collectivisme étatique et sa bureaucratie lobotomisante.

Je me sens également armé pour ne pas sombrer dans les pièges de la com des media privés comme publics.

Peut-être suis-je présomptueux, mais je ne fais pas de caca nerveux en lisant des statistiques qui tiennent du bullshit.

Maintenant si vous ressentez la nécessité ésistentielle de vous appuyer sur des guides spirituels totalitaristes pour guider votre libre arbitre c'est votre choix et votre liberté que je respecte.

La presse locale agricole est sous le joug de la FNSEA
23 janvier 2021 / Simon Mauvieux (Reporterre)

Dans les Pays-de-la-Loire, « L’Avenir agricole », un journal indépendant créé en 1944, a fermé ses portes. Si sa disparition reflète les difficultés de toute la presse écrite, elle témoigne aussi du sort de la presse agricole locale, dominée par les journaux de la FNSEA, le syndicat majoritaire.

« L’Avenir agricole va s’arrêter. L’édition du 18 décembre 2020 sera la dernière. C’est avec une émotion toute particulière que nous nous adressons directement à vous cette semaine. C’est la première fois. Ce sera la dernière. »

C’est par ces mots que le journal agricole indépendant a annoncé à ses lecteurs la fin de son aventure, qui aura duré 76 ans. L’Avenir agricole a été la victime de deux crises majeures, celles de la presse et de l’agriculture. Désormais, dans les Pays de la Loire, l’unique canal d’information pour les agriculteurs est contrôlé par la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), quand L’Avenir pouvait se targuer de fournir une information journalistique pluraliste. « On n’était pas au service d’un syndicat, on n’était pas là pour faire de la communication », disait Antoine Humeau, journaliste à L’Avenir agricole, quelques jours avant sa fermeture.
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Voilà qui va mettre tous le monde d'accord ...un robot c'est neutre cela ne vote pas , c'est asexué...Enfin une information de qualité et objective

Microsoft licencie des journalistes pour les remplacer par des robots
Chloé Woitier
01-06-20


Une intelligence artificielle peut-elle faire un aussi bon travail de curation et de hiérarchisation de l’information qu’un journaliste? C’est ce que semble penser Microsoft. Les équipes éditoriales américaine et britannique de ses portails d’actualité, soit près de 80 journalistes, viennent d’apprendre leur licenciement, rapportent Business Insider et le Guardian. Elles seront remplacées par des algorithmes. «Cette décision n’est pas liée à la pandémie de Covid-19», a précisé un porte-parole de Microsoft. Elle pourrait avoir une portée mondiale: les portails de Microsoft News sont présents dans une cinquantaine de pays.

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277 -

Dans quel monde vivrons-nous ? D'un côté l'on lobotomise les masse pour transformer les humains en robots répondant à des stimulations, de l'aitre l'on stimule l'intelligence artificielle des robots pour en faire des humains responsables.

Vite qu'un vilain robot-machine fabrique une cyber-Covid pour confiner ses confrères et les envoyer en réa.

« Nous ne sommes ni en Pologne ni en Hongrie » : la mise en garde de plusieurs syndicats de journalistes
4 mars 2021



Nous ne sommes ni en Pologne ni en Hongrie. Nous sommes en France. Mais en France aussi le pouvoir s’arroge le droit de rappeler à l’ordre la télévision de service public.

Généralement, les reproches et les injonctions s’opèrent de manière feutrée, sans heurts, avec la persuasion de la communication « positive ». Pas en Haute-Saône, où l’on a préféré travailler, pourrait-on dire, à l’ancienne.

Ce qui s’est passé le 19 février en Franche-Comté fleure bon les années 60 et l’époque où les conducteurs de JT était validés par la préfecture. Ce jour-là, le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire devait notamment visiter l’entreprise Crossject d’Arc-lès-Gray. Un déplacement express, décidé au dernier moment, et dont la préfecture de Haute-Saône ne veut pas révéler le contenu aux rédactions.

Impossible d’obtenir des précisions, mais le ministère et son relais préfectoral ont décidé que Bruno le Maire serait en direct dans l’édition de la mi-journée de France 3 Franche-Comté.

Devant le peu d’empressement de la station de Besançon à répondre, la préfecture change de ton la veille de la visite ministérielle. Elle avertit cette fois des journalistes du bureau de Vesoul qu’elle pourrait bien s’opposer au tournage en cours d’un magazine avec les gendarmes du département, si une équipe n’était pas dépêchée le lendemain.

Le 19 février, les spectateurs découvrent donc Bruno Lemaire en direct dans le journal. Un choix éditorial, selon la rédaction en chef. Nous ne contestons pas cette décision, mais cela n’excuse en rien le chantage exercé par la préfecture de Haute-Saône.

Demander un reportage est une chose, menacer d’interrompre un tournage pour l’obtenir, c’est grave.

Les syndicats CGT, SUD, SNJ de France 3 entendent rappeler que nous ne sommes pas des valets de la préfecture. La pression exercée sur la rédaction de France 3 Franche-Comté relève d’une autre époque, celle où stagnent visiblement les responsables de cette affaire, qui ont si peu conscience de la notion de liberté de la presse qu’ils en ont même oublié d’être discrets.

Nous attendons également de notre direction régionale qu’elle rappelle à la préfecture de Haute-Saône le respect dû au travail des journalistes et à leur indépendance.

Communiqué CGT, SNJ, Sud France Télévisions

279 -

Les syndicats et les journaleux sont de sacrées chochottes doublées de faux-culs.

Si le préfet a pu faire du chantage en utilisant la menace d'interrompre un tournage avé la Gendarmerie c'est une conséquence directe de la décision du Marmouset Ier d'avoir détaché l'institution régalienne vieille de 800 ans des Armées pour la livrer pieds et menottes liés au Sinistère de l'Intérieur. Rien que pour ce crime contre l'Histoire notre Baul Pismuth méritait la Haute Cour de Justice de la République !

Tout ce cirque en Hte-Saône pour se faire bien voir par le Coquito à Pauline, notre Ogre de Taxemanie alpha.

Affaire du restaurant : un journaliste de Capital viré de BFM

La direction du groupe Altice (BFM, RMC, 01Net) n'a pas fait dans la dentelle. Furieuse d'un article du mensuel Capital sur "l'affaire du restaurant" du campus Altice ouvert malgré la pandémie, Altice a imposé à BFM Business d'interrompre une collaboration avec un journaliste de Capital. Il était à l'antenne chaque semaine pour informer sur les cryptomonnaies.

Huit semaines et puis s'en va : vi-ré ! L'affaire du restaurant dans lequel les hiérarques de BFM mangeaient malgré la pandémie, révélée par le Canard enchaîné, n'en finit pas de faire des remous. Le journaliste de Capital Grégory Raymond l'a appris à ses dépens jeudi 4 mars, lorsque BFM Business a brutalement interrompu sa collaboration tous les vendredis dans l'émission BFM Bourse, suite à la parution d'un article de son magazine économique reprenant et enrichissant les informations du Canard enchaîné. Selon nos informations, même la chaîne n'a pas eu son mot à dire, car la décision est venue de très haut, plus précisément du directeur général d'Altice Media, Arthur Dreyfuss – ce proche de Patrick Drahi est également secrétaire général de SFR et directeur de la communication d'Altice Europe. L'entourage de Drahi a en effet une dent contre Capital, dont les enquêtes économiques sur les sociétés du magnat des médias déplaisent fortement.
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Le journaliste Cyril Graziani a quitté France Inter pour devenir chef du service politique à France Télévisions, révèle Le Figaro en évoquant sa proximité avec le président de la République.

Le leitmotiv de Pascal Praud : « Qu'on parle de toi en bien ou en mal, ce n'est pas grave : l'important c'est qu'on parle de toi. »
Le niveau zéro du journalisme.

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Affaire Ménès : les étudiants en journalisme se rebiffent contre Canal+
Julia Vergely
Publié le 24/03/21

Plus de 200 élèves en école de journalisme appellent au boycott des bourses proposées par la chaîne privée. En protégeant Pierre Ménès, accusé d’agissements sexistes, le groupe ne fait plus rêver les futurs journalistes. Un acte courageux quand on sait que ces bourses représentent un tremplin vers l’emploi.
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Younes Terre a écrit:

Affaire Ménès : les étudiants en journalisme se rebiffent contre Canal+
Julia Vergely
Publié le 24/03/21

Plus de 200 élèves en école de journalisme appellent au boycott des bourses proposées par la chaîne privée. En protégeant Pierre Ménès, accusé d’agissements sexistes, le groupe ne fait plus rêver les futurs journalistes. Un acte courageux quand on sait que ces bourses représentent un tremplin vers l’emploi.
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Je pense que pour le coup de pouce financier aux étudiants journaleux il fallait éviter en plein affaire d'agissements sexistes d'appeler cela bourses !

EddieCochran+ a écrit:
Je pense que pour le coup de pouce financier aux étudiants journaleux il fallait éviter en plein affaire d'agissements sexistes d'appeler cela bourses !

C'est pas ton candidat préféré à la présidentielle qui a dit qu'il était au dessus des parties, maintenant que tu en parles je comprend de quelle parties  il voulait sans doute parler !

Younes Terre a écrit:

EddieCochran+ a écrit:
Je pense que pour le coup de pouce financier aux étudiants journaleux il fallait éviter en plein affaire d'agissements sexistes d'appeler cela bourses !

C'est pas ton candidat préféré à la présidentielle qui a dit qu'il était au dessus des parties, maintenant que tu en parles je comprend de quelle parties  il voulait sans doute parler !

Je ne suis pas le mieux placé pour répondre à votre raisonnement par la bande. Notre essellent camarade Hubert est le plus introduit dans le domaine de la pensée sous ventrière du personnage en question, il saura en tirer la substantifique moelle. En une giclée et avé brio.

Journaliste menacée en Bretagne : appel à la grève et rassemblement à venir
par LIBERATION et AFP
publié le 2 avril 2021

Morgan Large, journaliste spécialiste de l’industrie agro-alimentaire, qui travaille pour la Radio Kreiz Breizh (RKB), a retrouvé sa voiture avec les boulons des roues arrière dévissés. Une manifestation sera organisée mardi à Rostrenen, dans les Côtes-d’Armor.

Un appel à la grève et à un rassemblement a été lancé vendredi, deux jours après la «mise en danger» de la journaliste Morgan Large, spécialiste de l’industrie agro-alimentaire en Bretagne. De son côté, l’association Reporters sans frontières (RSF) a dit envisager une «suite judiciaire».

Une autre journaliste, qui devait réaliser une interview de Morgan Large, «a été insultée, bousculée et suivie jusqu’à chez elle par un agriculteur» cette semaine à Glomel (Côtes-d’Armor), expliquent dans un communiqué les journalistes du réseau de radios associatives en langue bretonne Radio Kreiz Breizh (RKB). «C’est toute la profession qui est attaquée, ainsi que la liberté d’informer […] Il est inacceptable que des journalistes soient prises pour cible et que notre travail soit entravé», écrivent-ils, en appelant à la grève mardi 6 avril et à un rassemblement à midi à Rostrenen (Côtes-d’Armor) en soutien aux deux journalistes et pour la liberté d’informer.

Depuis l’apparition de Morgan Large dans le documentaire diffusé en novembre sur France 5 Bretagne, une terre sacrifiée, qui questionne le modèle agricole de la région, la journaliste avait déjà fait l’objet d’intimidations et les portes de la radio RKB ont été forcées.

289 -

Pauvre Julie, je crains beaucoup qu'elle ne franchisse jamais les tests de pré-sélection de Mensa...  

Journaliste menacée en Bretagne : appel à la grève et rassemblement à venir
par LIBERATION et AFP
publié le 2 avril 2021

Morgan Large, journaliste spécialiste de l’industrie agro-alimentaire, qui travaille pour la Radio Kreiz Breizh (RKB), a retrouvé sa voiture avec les boulons des roues arrière dévissés. Une manifestation sera organisée mardi à Rostrenen, dans les Côtes-d’Armor.

Et sinon, des nouvelles du dîner d'amoureux Duhamel/Hortefeux ?

Mab, pas invitée

Martin Blachier ne manque pas d'air.
L'épidémiologiste télégénique, patron d'une entreprise privée de conseil en santé publique, prospère sur les plateaux télé malgré ses errements (il a sous-estimé la 2è vague de la pandémie, affirmé qu'il serait possible de tout réouvrir début février, minore l'importance des variants, etc).
Pourquoi ce succès ?
Il l'a expliqué, tout de candeur cynique, à Loris Guémart : c'est simple, il assène des certitudes ("Le scénario le plus probable à 65 %, je le présente comme si j'en étais sûr, comme ça, les gens retiennent ce que j'ai dit"), dont il peut éventuellement s'excuser si nécessaire ; et il dénigre nommément des collègues. La télé aime, et notamment les chaînes d'info. Un accord win-win : il offre aux plateaux une grosse dose de polémiques, il en tire une grosse dose de notoriété pour sa société. Qui dit mieux ?  

Lexique et Désintox capital
« 58% des Français soutiennent la tribune des militaires » : itinéraire d’une fausse information médiatique


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294 -

Younes Terre a écrit:

Lexique et Désintox capital
« 58% des Français soutiennent la tribune des militaires » : itinéraire d’une fausse information médiatique


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J'ai apprécié la démarche de décorticage du bricolage des sondages incorrectement ésplicités pour des motifs mercantiles ou résultant du manque d'esprit critique ou des lacunes culturelles de certains représentants de média moutonniers.

J'ai lu la tribune et j'avoue pour avoir connu certains des signataires lorsqu'ils étaient en activité que pas une seconde l'idée m'était venue que cette  initiative puisse de près ou de loin constituer un appel au putsch. Frustrations insiste sur la date du 21 avril 1960 pour conforter son analyse. Qui dans le bon peuple peut au dépoté dire que cette date lui évoque le déclenchement du pronunciamento des généraux  de la fin de la guerre d'Algérie . ( D'ailleurs, rien que ce midi ayant entendu un candidat à un jeu de questions donner le XVI° siècle comme étant celui de la naissance de Napoléon Bonaparte, je suis convaincu que 11 Francaouis nés après 1970 sur 10 sont incapables de dire à quel événement historique de l'Histoire de France correspond cette date-là.)

J'émets une très grande circonspection gendarmique en ce qui concerne le fond de la tribune en question. Je m'interroge quant au but qu'elle était censée atteindre dans l'esprit de ses rédacteurs et celui visé par la rédaction de Vapeurs Actuelles.

Néanmoins, hors toute polémique, l'initiative pose la question de la prise de parole du citoyen militaire dans l'espace public et civique. Comparativement aux possibilités de s'ésprimer en activité sur la chose publique des militaires allemands, britanniques, néerlandais, états-uniens pour ne citer qu'eux, nos militaires à nous sont cantonnés dans la rubrique : meurs et tais-toi ! Ce n'est plus possible à l'ère où l'on a une tendance hystérique parfois à vouloir mettre de la démocratie partout.

Une réflection citoyenne et politique devrait être engagée sur cette question. Il n'y a ni égalité ni fraternité si la liberté de parole est interdite à certains... La Grande Muette est un concept dépassé et surtout aujourd'hui mal compris en ces temps d'ignarerie institutionnelle, cette appellation date de la période d'avant la 2° GM pour illustrer le fait que les militaires étaient interdits de voter. Ils ont récupéré ce droit en 1944 et devinez quand ? Le 21 avril 1944 quand le gouvernement provisoire du Général De Gaulle à Alger accorda le droit de vote aux femmes françaises (et par éstention aux militaires) ! Quel hasard que cette date, non ?

Enfin, n'oublions pas de dire d'où parle le magazine en ligne Frustrations en consultant la rubrique "Qui sommes-nous" dont je colle un éstrait :

" - Si vous souffrez à votre travail, détestez votre patron, doutez des bons sermons sur votre potentiel à fonder une boîte et « innover dans le secteur du digital », on est entre amis. Si vous vous sentez discriminées, jugés sur ce que vous êtes, infériorisées pour ce qu’on vous attribue, mais que la seule chose qu’on vous répond c’est « République et Universalité », vous pourriez trouver ici de quoi vous réchauffer. Pas d’antiracisme moral à la sauce SOS racisme chez nous : il est politique et vise essentiellement nos institutions et le système capitaliste dans son ensemble. Nous ne défendons pas “les minorités” mais la majorité des gens qu’on infériorise parce qu’il ne correspondent pas au canon bourgeois.


 - Si vous voulez changer le monde, ou du moins inverser le cours capitaliste des choses, mais vous ne croyez pas au potentiel salvateur des petits gestes individuels écolos du quotidien transposé dans des tribunes superficielles et dépolitisantes, pas plus que vous ne faites une confiance aveugle dans les partis politiques et en notre chère Ve République monarcho-gaulliste, ne bougez surtout plus : vous êtes au bon endroit."

Je vous laisse juges.

Si la haute hiérarchie militaire voulait donner du poids à la tribune en question, ils ne pourraient s'y prendre autrement...

Journalistes sont parfois vraiment une sale engeance

"Arrête Esther avec tes conneries"" : la peu courtoise apostrophe de Jean-Luc Mélenchon à la sénatrice EELV Esther Benbassa au cours du défilé du 1er mai à Lille, citée dans une dépêche AFP, a fait le tour des médias (et a notamment été publiée par "Libération"). De même que l'apostrophe mélenchonienne à la candidate commune de la gauche aux régionales, Karima Delli ""Vous êtes des faux culs, et voilà tout"". De quoi justifier un récit du 1er Mai lillois sur le mode "Mélenchon fait bande à part".

"Mélenchon d'un côté..."

Capture Paris-Match de la reprise AFP, 1er mai 2021

Mais ô surprise, sur Twitter, voici qu'apparaît une photo de Mélenchon et Benbassa démentant cette impression d'hostilité. ""C'est pas beau de mentir, "Libé""" tweete Istaruss, qui poste la photo et se présente comme ""monteur des best of Mélenchon et des Insoumis"". Qu'en est-il ?

Mélenchon et Benbassa (et la moitié supérieure du visage de Karima Delli, candidate union de la gauche aux régionales)

Twitter, Istaruss, 1er mai 2021

D'abord, la phrase à Benbassa est tronquée dans la dépêche AFP. En version longue citée dans "Le Monde", ça donne : "Qu’est-ce que je suis content de vous voir !, lance avec ironie Jean-Luc Mélenchon à Karima Delli et Esther Benbassa. On vous soutient aux régionales et vous nous envoyez balader aux départementales. Vous êtes des faux jetons, les autres n’oseront pas vous le dire, moi, je vous le dis ! Esther, je t'aime bien toi, t’es une courageuse, mais tous ceux-là, c’est tous les mêmes. Ils te disent une chose, ils en font une autre. C’est bon ? Vous avez fait la photo ? Au revoir, et merci." Le ton est amical.

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EddieCochran+ a écrit:294 -

Younes Terre a écrit:

Lexique et Désintox capital
« 58% des Français soutiennent la tribune des militaires » : itinéraire d’une fausse information médiatique


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J'ai apprécié la démarche de décorticage du bricolage des sondages incorrectement ésplicités pour des motifs mercantiles ou résultant du manque d'esprit critique ou des lacunes culturelles de certains représentants de média moutonniers.


Enfin, n'oublions pas de dire d'où parle le magazine en ligne Frustrations en consultant la rubrique "Qui sommes-nous" dont je colle un éstrait :

" - Si vous souffrez à votre travail, détestez votre patron, doutez des bons sermons sur votre potentiel à fonder une boîte et « innover dans le secteur du digital », on est entre amis. Si vous vous sentez discriminées, jugés sur ce que vous êtes, infériorisées pour ce qu’on vous attribue, mais que la seule chose qu’on vous répond c’est « République et Universalité », vous pourriez trouver ici de quoi vous réchauffer. Pas d’antiracisme moral à la sauce SOS racisme chez nous : il est politique et vise essentiellement nos institutions et le système capitaliste dans son ensemble. Nous ne défendons pas “les minorités” mais la majorité des gens qu’on infériorise parce qu’il ne correspondent pas au canon bourgeois.


 - Si vous voulez changer le monde, ou du moins inverser le cours capitaliste des choses, mais vous ne croyez pas au potentiel salvateur des petits gestes individuels écolos du quotidien transposé dans des tribunes superficielles et dépolitisantes, pas plus que vous ne faites une confiance aveugle dans les partis politiques et en notre chère Ve République monarcho-gaulliste, ne bougez surtout plus : vous êtes au bon endroit."

Je vous laisse juges.

Le dépouillement du sondage , la démarche de réinformation est honnête ou biaisé?
Si les journaliste Mainstream ne font pas leur travail honnêtement pouvons-nous reprocher à un journal d'opinion ayant une certaine ligne éditoriale de le faire à leur place ?

Quand au fond de la tribune , c'est un autre sujet ...Mais comment une majorité de Français pourrait soutenir une tribune quand une majorité de Français ne sais pas exactement ce qu'il y a dedans ou n'en a même pas entendu parler?

Younes Terre a écrit:

EddieCochran+ a écrit:294 -

(...)
J'ai apprécié la démarche de décorticage du bricolage des sondages incorrectement ésplicités pour des motifs mercantiles ou résultant du manque d'esprit critique ou des lacunes culturelles de certains représentants de média moutonniers.


Enfin, n'oublions pas de dire d'où parle le magazine en ligne Frustrations en consultant la rubrique "Qui sommes-nous" dont je colle un éstrait ...)
Je vous laisse juges.

Le dépouillement du sondage , la démarche de réinformation est honnête ou biaisé?
(...)

La démarche est simplement normale et elle devrait être la règle et l'exigence pour tout media d'information : vérifier et analyser l'authenticité des faits et des sources. Ensuite, en connaissance de cause, que l'ont donne son opinion est également normal.

Au lecteur correctement informé de se forger ses propres convictions.