Maréchal nous voilà !

Kalawasa a écrit:Je suis dans mes petits souliers, et je marche sur des œufs pour aborder ce sujet, afin de ne pas déclencher une émeute comme lors d'une récente discussion sur le pétainisme .

Le "Nationalsozialismus" était, au départ et avant tout, un mouvement obsédé par le bonheur du peuple allemand . Les notions de Nation et de Social me semblent d'ailleurs moins guerrières que la République en Marche ! Je ne reviendrai pas sur les dérives ultérieures causées par une grave crise économique, un esprit de revanche dû à l'humiliation de 1918 ....,qui a entrainé un surarmement permettant des reconquêtes territoriales : la folie hitlérienne !

Ce mouvement était utopique au départ, dans le bon sens du terme , contrairement au système politique français actuel que je qualifierais de "dystopie macronienne" !

Comment la police de Vichy s'est totalement soumise aux nazis
16/09/18
Longtemps passée sous silence, taboue, la police de Vichy a pourtant eu un rôle déterminant dans la collaboration avec les Allemands. Sans elle, ils n'auraient jamais été capables de rafler autant de Juifs de France.
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15 mai 1940 : la rafle des « indésirables »




Le 15 mai 1940 est une date oubliée de notre histoire, ensevelie sans doute par les chars nazis qui déjà, depuis le 10 mai, fonçaient vers la France depuis la Belgique. A Sedan, le front a déjà lâché. La Ligne Maginot n’a servi à rien et le temps où la propagande française promettait d’aller faire sécher le linge de l’armée de la République sur la ligne Siegfried est bien loin.


Pourtant, cette date dit beaucoup de nos fragilités et d’un moment où la République avait déjà cessé d’être fidèle à elle-même. 5000 femmes sont rassemblées au Vélodrome d’hiver. La veille, le général Pierre Héring, gouverneur militaire de Paris a fait placarder dans ce Paris si fébrile un message qui devait rassurer les « Français » : « les ressortissants allemands, sarrois, dantzikois et étrangers de nationalité indéterminée, mais d’origine allemande (c’est-à-dire Juifs déchus de leur nationalité allemande), résidant dans le département de la Seine » devaient se présenter au Stade Buffalo pour les hommes, au Vélodrome d’hiver pour les femmes. En pleine guerre, la coalition de centre-gauche de Paul Reynaud poursuit une hypothétique « 5ème colonne » d’allemands qui saperaient l’effort de guerre.
La rafle des « indésirables » se met en place. A Buffalo, les hommes « allemands ou apparentés » sont regroupés : Walter Benjamin, Lion Feuchtwanger, Heinrich Mann sont internés et pour certains d’entre-eux, envoyés au camp des Milles. Pour les femmes, très nombreuses à avoir répondu à cette convocation, on voit arriver au Vel’d’Hiv Hannah Arendt, Lotte Eisner et Dita Parlo. Direction : le camps de Gurs, dans les Pyrénées Atlantiques.
Si des commissions sont péniblement mises en place pour évaluer la validité de ces internements, le résultat est catastrophique : la majeure partie des réfugiés venus d’Allemagne pour fuir le nazisme est mise aux arrêts, dans des conditions épouvantables, par la République. La peur a fait trembler le gouvernement au point de commettre un immense reniement dont les effet seront irrémédiables. Au moment de l’invasion et de la capitulation de la France, les camps d’internements où étaient enfermés des ennemis de la France putatifs ont été fournis, clés en main, à la politique de Collaboration qui devenait le supplétif de la recherche des « ennemis du Reich ». La situation est affreusement résumée par Hannah Arendt, témoin des faits : nous étions face à  «une nouvelle espèce d’êtres humains engendrés par l’histoire contemporaine, ceux qui sont mis dans des camps de concentration par leurs ennemis et dans des camps d’internement par leurs amis».

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EddieCochran+ a écrit: je découvre toujours plus d'ignominie dans le comportement de la République francouie envers "les provinces perdues".

Après l'épuration ethnique de 1918-1924 et les cartes d'identité discriminatoires, voici l'assassinat programmé de jeunes enfants alsaciens-lotharingiens en 1944-45 !

En avez-vous encore sous le pied des horreurs pareilles ?

Jean Jacques, enfant volé de la Creuse…
Dans les années 1960, Jean-Jacques, 7 ans, est arraché à sa terre et à sa famille sur ordre du gouvernement, comme plus de 2.000 enfants réunionnais. Ils sont envoyés en Métropole, dans la Creuse, sous le prétexte de «repeupler» les campagnes.
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Kalawasa a écrit:Je ne vois pas ce que les petits réunionnais viennent faire dans cette discussion !  On les a "importés" pour les mettre dans un camp de concentration et les laisser crever de faim et de froid ?

Eddie a écrit: les géniteurs de ces petits y trouvaient un intérêt lucratif qui les incitait (en tout bien, tout honneur s'entend bien) à vendre confier pour leur bien-être futur une partie de leur progéniture 

Kalawasa a écrit:Je ne vois pas ce que les petits réunionnais viennent faire dans cette discussion !  On les a "importés" pour les mettre dans un camp de concentration et les laisser crever de faim et de froid ?

EddieCochran+ a écrit:
Et pour autant qu'il faille croire les témoignages officiels de l'époque, les géniteurs de ces petits y trouvaient un intérêt lucratif qui les incitait (en tout bien, tout honneur s'entend bien) à vendre confier pour leur bien-être futur une partie de leur progéniture aux bons soins des (horribles) Marianne de la Métropole...

Mais comme toujours, c'est une fois qu'on a fait des khônneries que viennent les regrets (tardifs). Apaisables par indemnités publiques évidemment.

Kalawasa a écrit:

Eddie a écrit: les géniteurs de ces petits y trouvaient un intérêt lucratif qui les incitait (en tout bien, tout honneur s'entend bien) à vendre confier pour leur bien-être futur une partie de leur progéniture 

Tradition encore vivante dans certaines régions de pays de l'Europe de l'Est...(entre autres )

propagande comuniste :

Younes a écrit:Là je dois avoir bon non ?

Lyon. Les Identitaires « patrouillent » dans les transports pour se substituer à l’autorité publique
Publié le 1 Juin 2020
Le phénomène pourrait sembler anecdotique mais il ne l'est pas. Des militants d'extrême droite ont décidé de patrouiller dans le centre de Lyon pour se substituer aux autorités.



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