Concours de conneries
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- Kalawasa
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Concours de conneries
Lun 20 Nov - 23:41
Rappel du premier message :
Une sénatrice (socialo) , en mal de notoriété, veut faire interdire tous les films comportant le moindre mégot !
Par contre, pas touche aux meurtres, viols, vols, sexe, drogue, escroquerie, torture.....
Depuis que Lucky Luke a remplacé la clope par un brin d'herbe, cette sénatrice ne fume plus, mais broute, d'où l'expression "con à bouffer du foin" !
Une sénatrice (socialo) , en mal de notoriété, veut faire interdire tous les films comportant le moindre mégot !
Par contre, pas touche aux meurtres, viols, vols, sexe, drogue, escroquerie, torture.....
Depuis que Lucky Luke a remplacé la clope par un brin d'herbe, cette sénatrice ne fume plus, mais broute, d'où l'expression "con à bouffer du foin" !
- Rumba
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Re: Concours de conneries
Dim 26 Nov - 14:11
Shamrocky a écrit:Il fut un temps où not' Ségolène avait droit à un fil dédié, mais je pense que celui-ci lui convient amplement ...
c'est comme le rattrapage du gel de l'électricité, c'est qu'elle a fait de belle chose la dame !
elle le mange des yeux
- InvitéInvité
Re: Concours de conneries
Mar 19 Déc - 20:09
Affaire des grenouilles de Grignols : le couple définitivement condamné à reboucher la mare
lundi 18 décembre 2017 Par Antoine Balandra, France Bleu Périgord
Le pourvoi d'Annie et Michel Pecheras, le couple propriétaire de la mare de Grignols a été rejeté jeudi par la cour de cassation. Du coup, ils sont définitivement condamnés à reboucher leur mare. Or, le code de l'environnement interdit de toucher au point d'eau car il abrite des espèces protégées.
L'énorme coup de massue pour un couple de Grignols, près de Saint Astier en Dordogne, traîné devant les tribunaux parce que leurs voisins ne supportent pas le bruit des grenouilles de leur mare.
Et bien la cour de cassation vient de les débouter. Autrement dit, elle valide la décision de la cour d'appel de Bordeaux qui leur imposait de reboucher la mare.
Le problème, c'est que le code de l'environnement, lui, interdit de toucher à ce point d'eau. Car il abrite 8 espèces protégées d'amphibiens. Voilà donc le couple dans une situation inédite, et absolument inextricable. Quoi qu'il fassent, ils seront condamnés.
Ils vont aussi devoir payer tous les frais de justice engagés par leurs voisins, et 150 euros d'astreinte par jour où la mare n'a pas été bouchée. Soit au total, près de 30.000 euros !Annie et Michel Pecheras devant leur mare à Grignols © Radio France - Benjamin Fontaine
Après près de 6 ans de procédure, le coup est rude pour le couple qui ne comprend toujours pas ce qu'il estime être de l'acharnement contre lui, lui qui possède la mare de cette maison familiale depuis plus de 100 ans.
"On vit en bord de forêt, on entend plein de bruits, de sangliers, de chevreuils, et les grenouilles pourquoi elles chanteraient pas ? Nous condamner pour cela, je pense qu'on aurait fait un gros cambriolage ou un meurtre, on serait moins pénalisés", déplore Michel Pecheras
Saisine de Nicolas Hulot et de la justice européenne ?
Car aujourd'hui la situation est insoluble. La justice demande de reboucher la mare sous peine d'une lourde astreinte financière. Mais le code de l'environnement lui menace de deux ans de prison et 150.000 euros d'amende si le couple touche aux espèces protégées. Une situation kafkaïenne qui donne le vertige à Michel.
"C'est une mare qui existe depuis plus de 100 ans, les grand-parents faisaient boire les vaches dedans, il y a toujours eu des mares à la campagne alors on est condamnés si on la détruit, et on est condamnés si on la détruit pas" explique-t-il
Pour Michel et Annie, pas question de détruire ce havre de paix pour les amphibiens, d'autant que plus de huit espèces protégées y ont été recensées. C'est presque une question de principe pour eux.
"On va se débrouiller pour que la mare reste mare, la terre c'est la terre, on y touche pas" clame Annie
Le couple remercie pour l'occasion les associations écologistes ou de protection de la nature qui les soutiennent. Mais aussi les instances de protection de l'eau de Périgueux. Mais pour l'instant, aucune solution à la situation inextricable n'est trouvée.
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- EddieCochran+
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Re: Concours de conneries
Mar 19 Déc - 21:13
C'est ubuesque : la cour de Cass vient de jeter un sacré pavé dans la mare du Code de l'Environnement !
La place de ce billet est 1000 pour cent justifiée dans ce fil élevé à la gloire de la khônnerie !
La place de ce billet est 1000 pour cent justifiée dans ce fil élevé à la gloire de la khônnerie !
- Kalawasa
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Re: Concours de conneries
Mer 27 Déc - 19:56
Le phare français commence à illuminer toute la planète...
« Nous voulons que le droit des femmes existe dans les faits », explique Enrique Peñalosa, le maire de Bogota
« Pour moi et mon équipe, le droit des femmes n’est pas affaire de langage ou de sémantique. Nous voulons qu’il existe dans les faits », a déclaré M. Peñalosa, en rappelant que plus de la moitié de ses collaborateurs sont des collaboratrices. Le maire a par ailleurs indiqué que la modification du slogan contesté coûterait cher. Si la décision judiciaire était confirmée, la mairie devra jeter à la poubelle des tonnes de papier à en-tête, réimprimer des milliers d’affiches, changer les uniformes de centaines de fonctionnaires.
« Bogota, mejor para todos » (« Bogota, meilleure pour tous »), le slogan de l’équipe municipale, a fait tiquer les partisans – et partisanes – de l’écriture inclusive en Colombie. Le tribunal administratif de la capitale leur a donné raison, en obligeant la mairie à le remplacer par un plus correct « Bogota, meilleure pour tous et pour toutes ». Le maire, Enrique Peñalosa (droite), a fait appel de la décision. Cette dernière a beau être suspendue, le débat reste vif.
C’est un sénateur de gauche, défenseur des droits humains, Alirio Uribe, qui a saisi la justice, en considérant que le slogan de la mairie excluait les femmes et qu’il enfreignait l’accord 381 de 2009 du conseil municipal. Ce texte ordonne aux autorités de la ville d’utiliser l’écriture inclusive dans tous les actes publics et documents officiels, tels que les décrets, les arrêtés, les avis, les journaux, les affiches, les brochures, le site Internet, les blogs.« Nous voulons que le droit des femmes existe dans les faits », explique Enrique Peñalosa, le maire de Bogota
« Pour moi et mon équipe, le droit des femmes n’est pas affaire de langage ou de sémantique. Nous voulons qu’il existe dans les faits », a déclaré M. Peñalosa, en rappelant que plus de la moitié de ses collaborateurs sont des collaboratrices. Le maire a par ailleurs indiqué que la modification du slogan contesté coûterait cher. Si la décision judiciaire était confirmée, la mairie devra jeter à la poubelle des tonnes de papier à en-tête, réimprimer des milliers d’affiches, changer les uniformes de centaines de fonctionnaires.
- EddieCochran+
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Re: Concours de conneries
Jeu 28 Déc - 2:26
Les Colombiens n'ont qu'à créer une Académie Colombienne qui statuera.
Notre Académie Française l'a fait et voici ce qu'elle recommande :
"Féminisation (des noms de métier, de titres, etc.)
En 1984, le gouvernement a institué une commission « chargée d’étudier la féminisation des titres et des fonctions et, d’une manière générale, le vocabulaire concernant les activités des femmes ». Dans une circulaire datée du 11 mars 1986, le Premier ministre, M. Laurent Fabius, conseille l’application des règles de féminisation recommandées par cette commission.
L’Académie française, qui n’a pas été associée aux travaux de cette commission, n’approuve pas les conclusions que celle-ci a rendues. Dès le 14 juin 1984, elle publie une déclaration, préparée par MM. Georges Dumézil et Claude Lévi-Strauss, qui fait part de ses réserves et met en garde contre une féminisation autoritaire et abusive.
En 1998, le Premier ministre, M. Lionel Jospin, a demandé à la Commission générale de terminologie et de néologie de rédiger un rapport qui évaluerait les besoins en matière de féminisation des titres et des noms de métier, et qui envisagerait les champs d’action et les limites juridiques en la matière. Parallèlement, l’Institut national de la langue française (INALF), dirigé par M. Bernard Cerquiglini, était chargé d’étudier les possibilités morphologiques offertes par la langue pour procéder à cette féminisation et les problèmes que celle-ci soulevait d’un point de vue linguistique. Le rapport remis par la Commission générale, sans déconseiller formellement le principe de la féminisation, en particulier pour les noms de métier dont le féminin découle de l’usage même, souhaitait que fût préservée la neutralité liée aux titres, aux grades et aux fonctions et montrait les limites d’une féminisation arbitraire et systématique. En dépit de ces recommandations, un inventaire de formes féminisées établi par l’INALF et publié par la Documentation française fut mis à la disposition des administrations.
Le 21 mars 2002, l’Académie française publie une nouvelle déclaration pour rappeler sa position à ce sujet et, en particulier, le contresens linguistique sur lequel repose l’entreprise d’une féminisation systématique. Si, en effet, le français connaît deux genres, appelés masculin et féminin, il serait plus juste de les nommer genre marqué et genre non marqué. Seul le genre masculin, non marqué, peut représenter aussi bien les éléments masculins que féminins. En effet, le genre féminin ou marqué est privatif : un « groupe d’étudiantes » ne pourra contenir d’élèves de sexe masculin, tandis qu’un « groupe d’étudiants » pourra contenir des élèves des deux sexes, indifféremment. On se gardera également de dire les électeurs et les électrices, les informaticiennes et les informaticiens, expressions qui sont non seulement lourdes mais aussi redondantes, les informaticiennes étant comprises dans les informaticiens. De la même manière, l’usage du symbole « / » ou des parenthèses pour indiquer les formes masculine et féminine (Les électeurs/électrices du boulevard Voltaire sont appelé(e)s à voter dans le bureau 14) doit être proscrit dans la mesure où il contrevient à la règle traditionnelle de l’accord au pluriel. C’est donc le féminin qui est le genre de la discrimination, et non, comme on peut parfois l’entendre, le genre masculin.
L’Académie française ne s’oppose pas au principe de la féminisation en tant que tel : ainsi la huitième édition de son Dictionnaire avait-elle donné place à de nombreuses formes féminines correspondant à des noms de métier. Mais elle l’avait fait avec prudence et dans le respect de la morphologie de la langue. Or, si certains noms de métier possèdent une forme féminine bien ancrée dans l’usage et correctement formée, comme c’est le cas pour institutrice, laborantine, écuyère ou chercheuse, certaines formes imposées par la circulaire sur la féminisation, parfois contre le vœu des intéressées, sont contraires aux règles ordinaires de dérivation. Les termes chercheure, professeure, auteure, par exemple, ne sont aucunement justifiés linguistiquement car les masculins en -eur font, en français, leur féminin en -euse ou en -trice (les rares exceptions comme prieure ou supérieure proviennent de comparatifs latins dont les formes féminines et masculines sont semblables).
En revanche, en ce qui concerne les titres, les grades et les fonctions, au nom de la neutralité institutionnelle et juridique qui leur est attachée, l’Académie française recommande d’éviter, dans tous les cas non consacrés par l’usage, les termes du genre dit « féminin » et de préférer les dénominations de genre non marqué.
Une féminisation autoritaire et systématique pourrait aboutir à de nombreuses incohérences linguistiques. Brusquer et forcer l’usage reviendrait à porter atteinte au génie de la langue française et à ouvrir une période d’incertitude linguistique. C’est ce que l’Académie française a toujours voulu éviter et c’est pourquoi, au nom de l’usage, elle se réserve la possibilité d’enregistrer de nouveaux termes pourvu qu’ils soient bien formés et que leur emploi se soit imposé.
Vous pouvez également consulter sur le site de la D.G.L.F., le rapport de la Commission générale de terminologie et de néologie sur ce sujet.""
****
Merci Richelieu !
Notre Académie Française l'a fait et voici ce qu'elle recommande :
"Féminisation (des noms de métier, de titres, etc.)
En 1984, le gouvernement a institué une commission « chargée d’étudier la féminisation des titres et des fonctions et, d’une manière générale, le vocabulaire concernant les activités des femmes ». Dans une circulaire datée du 11 mars 1986, le Premier ministre, M. Laurent Fabius, conseille l’application des règles de féminisation recommandées par cette commission.
L’Académie française, qui n’a pas été associée aux travaux de cette commission, n’approuve pas les conclusions que celle-ci a rendues. Dès le 14 juin 1984, elle publie une déclaration, préparée par MM. Georges Dumézil et Claude Lévi-Strauss, qui fait part de ses réserves et met en garde contre une féminisation autoritaire et abusive.
En 1998, le Premier ministre, M. Lionel Jospin, a demandé à la Commission générale de terminologie et de néologie de rédiger un rapport qui évaluerait les besoins en matière de féminisation des titres et des noms de métier, et qui envisagerait les champs d’action et les limites juridiques en la matière. Parallèlement, l’Institut national de la langue française (INALF), dirigé par M. Bernard Cerquiglini, était chargé d’étudier les possibilités morphologiques offertes par la langue pour procéder à cette féminisation et les problèmes que celle-ci soulevait d’un point de vue linguistique. Le rapport remis par la Commission générale, sans déconseiller formellement le principe de la féminisation, en particulier pour les noms de métier dont le féminin découle de l’usage même, souhaitait que fût préservée la neutralité liée aux titres, aux grades et aux fonctions et montrait les limites d’une féminisation arbitraire et systématique. En dépit de ces recommandations, un inventaire de formes féminisées établi par l’INALF et publié par la Documentation française fut mis à la disposition des administrations.
Le 21 mars 2002, l’Académie française publie une nouvelle déclaration pour rappeler sa position à ce sujet et, en particulier, le contresens linguistique sur lequel repose l’entreprise d’une féminisation systématique. Si, en effet, le français connaît deux genres, appelés masculin et féminin, il serait plus juste de les nommer genre marqué et genre non marqué. Seul le genre masculin, non marqué, peut représenter aussi bien les éléments masculins que féminins. En effet, le genre féminin ou marqué est privatif : un « groupe d’étudiantes » ne pourra contenir d’élèves de sexe masculin, tandis qu’un « groupe d’étudiants » pourra contenir des élèves des deux sexes, indifféremment. On se gardera également de dire les électeurs et les électrices, les informaticiennes et les informaticiens, expressions qui sont non seulement lourdes mais aussi redondantes, les informaticiennes étant comprises dans les informaticiens. De la même manière, l’usage du symbole « / » ou des parenthèses pour indiquer les formes masculine et féminine (Les électeurs/électrices du boulevard Voltaire sont appelé(e)s à voter dans le bureau 14) doit être proscrit dans la mesure où il contrevient à la règle traditionnelle de l’accord au pluriel. C’est donc le féminin qui est le genre de la discrimination, et non, comme on peut parfois l’entendre, le genre masculin.
L’Académie française ne s’oppose pas au principe de la féminisation en tant que tel : ainsi la huitième édition de son Dictionnaire avait-elle donné place à de nombreuses formes féminines correspondant à des noms de métier. Mais elle l’avait fait avec prudence et dans le respect de la morphologie de la langue. Or, si certains noms de métier possèdent une forme féminine bien ancrée dans l’usage et correctement formée, comme c’est le cas pour institutrice, laborantine, écuyère ou chercheuse, certaines formes imposées par la circulaire sur la féminisation, parfois contre le vœu des intéressées, sont contraires aux règles ordinaires de dérivation. Les termes chercheure, professeure, auteure, par exemple, ne sont aucunement justifiés linguistiquement car les masculins en -eur font, en français, leur féminin en -euse ou en -trice (les rares exceptions comme prieure ou supérieure proviennent de comparatifs latins dont les formes féminines et masculines sont semblables).
En revanche, en ce qui concerne les titres, les grades et les fonctions, au nom de la neutralité institutionnelle et juridique qui leur est attachée, l’Académie française recommande d’éviter, dans tous les cas non consacrés par l’usage, les termes du genre dit « féminin » et de préférer les dénominations de genre non marqué.
Une féminisation autoritaire et systématique pourrait aboutir à de nombreuses incohérences linguistiques. Brusquer et forcer l’usage reviendrait à porter atteinte au génie de la langue française et à ouvrir une période d’incertitude linguistique. C’est ce que l’Académie française a toujours voulu éviter et c’est pourquoi, au nom de l’usage, elle se réserve la possibilité d’enregistrer de nouveaux termes pourvu qu’ils soient bien formés et que leur emploi se soit imposé.
Vous pouvez également consulter sur le site de la D.G.L.F., le rapport de la Commission générale de terminologie et de néologie sur ce sujet.""
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Merci Richelieu !
- Kalawasa
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Re: Concours de conneries
Jeu 28 Déc - 9:41
On arrive à des situations absolument grotesques, débiles, courtelinesques, ubuesques....
Prenons l'exemple de "franc-tireur" .
Masculin-Singulier : franc-tireur
Masculin-Pluriel : francs-tireurs
Féminin-Singulier : franc-tireuse
Féminin-Pluriel : franc-tireuses
Où est la logique ?
Inutile de souhaiter longue vie à nos féministes outranciers·ères : le ridicule ne tue pas !
Un jour (peut-être pas si lointain ), on arrivera de nouveau à devoir satisfaire les besoins primaires (manger, s'abriter, se chauffer), et on ne parlera plus de toutes cette branlette intello !
Prenons l'exemple de "franc-tireur" .
Masculin-Singulier : franc-tireur
Masculin-Pluriel : francs-tireurs
Féminin-Singulier : franc-tireuse
Féminin-Pluriel : franc-tireuses
Où est la logique ?
Inutile de souhaiter longue vie à nos féministes outranciers·ères : le ridicule ne tue pas !
Un jour (peut-être pas si lointain ), on arrivera de nouveau à devoir satisfaire les besoins primaires (manger, s'abriter, se chauffer), et on ne parlera plus de toutes cette branlette intello !
- EddieCochran+
- Messages : 7134
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Re: Concours de conneries
Jeu 28 Déc - 10:05
30 -
Qu'elle soit à bière ou à vin, pourvu qu'elle pompe bien, une franche tireuse me convient parfaitement.
Comme l'emploi de l'anglais en glosant franglais est actuellement très branché, franc-tireur en anglais se traduit par sniper. Nos intello khmers épicènes vont user pour faire chic et choc la féminisation hardie de snipeuse je présume. Et tous les germanopratins d'éprouver un orgasme linguistique.
A tout prendre, même dans des moments khôns, y a de quoi se bidonner !
Qu'elle soit à bière ou à vin, pourvu qu'elle pompe bien, une franche tireuse me convient parfaitement.
Comme l'emploi de l'anglais en glosant franglais est actuellement très branché, franc-tireur en anglais se traduit par sniper. Nos intello khmers épicènes vont user pour faire chic et choc la féminisation hardie de snipeuse je présume. Et tous les germanopratins d'éprouver un orgasme linguistique.
A tout prendre, même dans des moments khôns, y a de quoi se bidonner !
- EddieCochran+
- Messages : 7134
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Re: Concours de conneries
Lun 1 Jan - 20:05
31 -
Dans le billet initiateur de ce fil l'on mégote sur les cigarettes qui ne devraient plus faire un tabac dans les films, ici dans l'esprit (si l'on peut dire) de cet esposé de khônnerie, voici qu'un comte souhaite des mécomptes à une jeune femme bien en vue qui montre le cul d'une Champenoise standard !
"Agence France-Presse Reims
La cuvée du champagne Charles de Cazanove, en collaboration avec l'ancienne star du X Clara Morgane, a suscité l'ire d'un descendant de la famille qui a saisi la justice, a-t-on appris mercredi auprès de son avocat.
«Ce n'est pas la marque qui pose problème, c'est que le nom «de Cazanove» soit associé à une activité pornographique», a déclaré Me Emmanuel Ludot, l'avocat d'un descendant de la famille de Cazanove, «choqué» par cette nouvelle cuvée dévoilée à Paris le 29 novembre.
«Une bouche fruitée, généreuse et puissante pour vous accompagner pendant les fêtes», avait commenté Clara Morgane sur son compte Instagram, posant avec une bouteille rosée sertie d'un bandeau de dentelle noire.
Mais «ça fait un peu "sexy sexe"... Pour mes ancêtres je ne peux pas accepter ça», a réagi le comte Loïc Chiroussot de Bigault de Cazanove, 67 ans, descendant direct du fondateur de la maison de champagne Charles de Cazanove créée en 1811.
Pour ce membre «d'une famille illustre» engagée dans la Résistance, et issue «de la vieille noblesse française», il ne s'agit pas, explique-t-il, de «juger» l'ancienne actrice, désormais mannequin, animatrice et chanteuse, mais de «protéger» son nom à travers son «droit patrimonial».
«Ce qu'on demande c'est que les étiquettes soient modifiées pour que le nom «de Cazanove» ne soit plus associé à celui de cette personne», a expliqué Me Ludot, qui a assigné en référé la marque désormais propriété de la SAS Charles de Cazanove, au titre de «la protection du nom» et du «droit au respect de la personne».
De son côté, «la maison Charles de Cazanove assume avec fierté sa collaboration avec Madame Clara Morgane, au service de ce produit emblématique du terroir, de la tradition et de l'excellence française, qu'est le vin de Champagne», a déclaré Me Thierry Pelletier, conseil de la marque rémoise, «surprise» des propos du comte éponyme.
L'audience est fixée au 9 janvier devant le tribunal de grande instance de Lille.""
************************************************
Y serait pas un peu trop bigot Monsieur le comte ? Et avide de sousous ?
Dans le billet initiateur de ce fil l'on mégote sur les cigarettes qui ne devraient plus faire un tabac dans les films, ici dans l'esprit (si l'on peut dire) de cet esposé de khônnerie, voici qu'un comte souhaite des mécomptes à une jeune femme bien en vue qui montre le cul d'une Champenoise standard !
"Agence France-Presse Reims
La cuvée du champagne Charles de Cazanove, en collaboration avec l'ancienne star du X Clara Morgane, a suscité l'ire d'un descendant de la famille qui a saisi la justice, a-t-on appris mercredi auprès de son avocat.
«Ce n'est pas la marque qui pose problème, c'est que le nom «de Cazanove» soit associé à une activité pornographique», a déclaré Me Emmanuel Ludot, l'avocat d'un descendant de la famille de Cazanove, «choqué» par cette nouvelle cuvée dévoilée à Paris le 29 novembre.
«Une bouche fruitée, généreuse et puissante pour vous accompagner pendant les fêtes», avait commenté Clara Morgane sur son compte Instagram, posant avec une bouteille rosée sertie d'un bandeau de dentelle noire.
Mais «ça fait un peu "sexy sexe"... Pour mes ancêtres je ne peux pas accepter ça», a réagi le comte Loïc Chiroussot de Bigault de Cazanove, 67 ans, descendant direct du fondateur de la maison de champagne Charles de Cazanove créée en 1811.
Pour ce membre «d'une famille illustre» engagée dans la Résistance, et issue «de la vieille noblesse française», il ne s'agit pas, explique-t-il, de «juger» l'ancienne actrice, désormais mannequin, animatrice et chanteuse, mais de «protéger» son nom à travers son «droit patrimonial».
«Ce qu'on demande c'est que les étiquettes soient modifiées pour que le nom «de Cazanove» ne soit plus associé à celui de cette personne», a expliqué Me Ludot, qui a assigné en référé la marque désormais propriété de la SAS Charles de Cazanove, au titre de «la protection du nom» et du «droit au respect de la personne».
De son côté, «la maison Charles de Cazanove assume avec fierté sa collaboration avec Madame Clara Morgane, au service de ce produit emblématique du terroir, de la tradition et de l'excellence française, qu'est le vin de Champagne», a déclaré Me Thierry Pelletier, conseil de la marque rémoise, «surprise» des propos du comte éponyme.
L'audience est fixée au 9 janvier devant le tribunal de grande instance de Lille.""
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Y serait pas un peu trop bigot Monsieur le comte ? Et avide de sousous ?
- InvitéInvité
Re: Concours de conneries
Mar 2 Jan - 8:31
Eddie, citant le Bigault qui descend directement en ratant les marches, a écrit:Mais «ça fait un peu "sexy sexe"... Pour mes ancêtres je ne peux pas accepter ça», a réagi le comte Loïc Chiroussot de Bigault de Cazanove, 67 ans, descendant direct du fondateur de la maison de champagne Charles de Cazanove créée en 1811.
Est-ce à dire que ne s'etre que donné la peine de naitre justifie son mepris de classe ?
Il ne l'aurait pas dejà un peu vendu, son nom ? Allez quoi, m'sieur Chiroussot, le beurre, l'argent du beurre, et pas le cul de la cremiere, ce serait une premiere...
Mb
- Charly
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Localisation : Ardenne Belge
Re: Concours de conneries
Mar 2 Jan - 9:34
Mab,olé olé a écrit:le beurre, l'argent du beurre, et pas le cul de la cremiere
On voit que c'est Dédé qui a fait ton éducation sentimentale
- InvitéInvité
Re: Concours de conneries
Mar 2 Jan - 14:15
Charly2 a écrit:Mab,olé olé a écrit:le beurre, l'argent du beurre, et pas le cul de la cremiere
On voit que c'est Dédé qui a fait ton éducation sentimentale
Non, juste les adages franco-français
Je suis sure qu'il y en a des beges pas piqués des hannetons...
Mab
- Charly
- Messages : 5844
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Localisation : Ardenne Belge
Re: Concours de conneries
Mar 2 Jan - 17:38
MabOrbria a écrit:Charly2 a écrit:Mab,olé olé a écrit:le beurre, l'argent du beurre, et pas le cul de la cremiere
On voit que c'est Dédé qui a fait ton éducation sentimentale
Non, juste les adages franco-français
Je suis sure qu'il y en a des beges pas piqués des hannetons...
Mab
Chez les flamands certainement,mais chez nous c'est poli, "" le sourire de la crèmière""
- Charly
- Messages : 5844
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Localisation : Ardenne Belge
Re: Concours de conneries
Mar 9 Jan - 11:43
- Rumba
- Messages : 3135
Date d'inscription : 28/10/2017
Localisation : ça dépend :)
Re: Concours de conneries
Mar 9 Jan - 12:23
Re: Concours de conneries
Lun 15 Jan - 11:54
Johnny Hallyday : le voyage-hommage a Saint Barth à 2.100 euros tout compris
Plusieurs tour-opérateurs proposent des formules aux fans de Johnny Hallyday, qui voudraient s'envoler à Saint Barth pour se recueillir sur la tombe de la star.
Pour aller se recueillir sur la tombe de Johnny Hallyday, il faudra mettre le prix. Depuis l'enterrement de la star à Saint Barthélémy, l'Office du tourisme de l'île croule sous les demandes. "On en reçoit chaque jour", explique Nils Dufau, président du comité territorial du tourisme, à l'AFP. Pour rendre hommage à Johnny Hallyday, il conseille "de venir pendant l'été, période moins chère et plus calme, plus propice au recueillement, et qui serait comme un prolongement de la saison touristique sur l'île". L'AFP explique que les voyagistes installés en Métropole doivent aussi faire face à des demandes accrues.
"J'ai facilement une demande par jour qui se concrétise pour aller se recueillir à Saint-Barthélemy, confie un responsable de l'agence Mojito Spirit à l'AFP. Je pense que c'est un phénomène qui va durer, même si le gros sera en 2018-2019. J'ai une équivalence avec Jacques Brel : on reçoit encore de temps à autres des demandes pour aller voir sa tombe aux Îles Marquises." Pour ceux qui n'auraient pas envie de chercher un logement ni de booker des billets d'avion, un tour-opérateur a tout prévu. Moyennant 2.100 euros, il propose une semaine complète avec vols, hôtel sur la plage et visite au cimetière de Lorient.
Plusieurs tour-opérateurs proposent des formules aux fans de Johnny Hallyday, qui voudraient s'envoler à Saint Barth pour se recueillir sur la tombe de la star.
Pour aller se recueillir sur la tombe de Johnny Hallyday, il faudra mettre le prix. Depuis l'enterrement de la star à Saint Barthélémy, l'Office du tourisme de l'île croule sous les demandes. "On en reçoit chaque jour", explique Nils Dufau, président du comité territorial du tourisme, à l'AFP. Pour rendre hommage à Johnny Hallyday, il conseille "de venir pendant l'été, période moins chère et plus calme, plus propice au recueillement, et qui serait comme un prolongement de la saison touristique sur l'île". L'AFP explique que les voyagistes installés en Métropole doivent aussi faire face à des demandes accrues.
"J'ai facilement une demande par jour qui se concrétise pour aller se recueillir à Saint-Barthélemy, confie un responsable de l'agence Mojito Spirit à l'AFP. Je pense que c'est un phénomène qui va durer, même si le gros sera en 2018-2019. J'ai une équivalence avec Jacques Brel : on reçoit encore de temps à autres des demandes pour aller voir sa tombe aux Îles Marquises." Pour ceux qui n'auraient pas envie de chercher un logement ni de booker des billets d'avion, un tour-opérateur a tout prévu. Moyennant 2.100 euros, il propose une semaine complète avec vols, hôtel sur la plage et visite au cimetière de Lorient.
- Rumba
- Messages : 3135
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Localisation : ça dépend :)
Re: Concours de conneries
Lun 15 Jan - 12:42
je ne suis pas certaine que les habitants de l'île huppée se réjouissent de cet afflux de fans.
- InvitéInvité
Re: Concours de conneries
Lun 15 Jan - 15:14
Il y a de fortes chances effectivement qu'il y ait opposition..
- Kalawasa
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Date d'inscription : 15/10/2017
Re: Concours de conneries
Mer 17 Jan - 16:06
Quatre avocats, qui estiment que leurs clientes subissent une détention arbitraire, ont déposé plainte mercredi afin de pousser l'État à prendre position sur leur sort. La ministre de la Justice a admis qu'elles pourraient être rapatriées sous certaines conditions.
La question des femmes djihadistes tombées aux mains des Kurdes syriens n'a pas fini d'empoisonner l'exécutif français. Mercredi, quatre avocats, dénonçant le refus de la France de les rapatrier, ont décidé de déposer des plaintes contre l'État. Selon eux, la France est coupable de les laisser en détention arbitraire au lieu de leur assurer un procès équitable, et se rend coupable de non-assistance à personne en danger concernant les enfants en bas âge et les nourrissons. Les femmes qu'ils représentent ont le même profil: jeunes, elles sont parties faire le djihad, ont eu des enfants sur place et sont aujourd'hui détenues dans des prisons des Kurdes syriens. Elles souhaitent aujourd'hui faire face à la justice française.
La question des femmes djihadistes tombées aux mains des Kurdes syriens n'a pas fini d'empoisonner l'exécutif français. Mercredi, quatre avocats, dénonçant le refus de la France de les rapatrier, ont décidé de déposer des plaintes contre l'État. Selon eux, la France est coupable de les laisser en détention arbitraire au lieu de leur assurer un procès équitable, et se rend coupable de non-assistance à personne en danger concernant les enfants en bas âge et les nourrissons. Les femmes qu'ils représentent ont le même profil: jeunes, elles sont parties faire le djihad, ont eu des enfants sur place et sont aujourd'hui détenues dans des prisons des Kurdes syriens. Elles souhaitent aujourd'hui faire face à la justice française.
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Qu'elles continuent à pondre leurs moutards là-bas pour regonfler le stock de djihadistes : je m'en fous ! Mais pas question qu'elles reviennent dans le pays qu'elles vomissent et qu'elles ont combattu . Et je ne parle pas du coût de l'opération, immédiat et futur (allocs, aides, RSA, logements, assistance psychologique....)
- InvitéInvité
Re: Concours de conneries
Mer 17 Jan - 16:36
Shamrocky a écrit:Elles souhaitent aujourd'hui faire face à la justice française.°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Tu parles !
Elles ont les chocottes, sont aussi peteuses que leurs maquereaux decerebrés qui faisaient bruler les gens vivants ou leur coupaient joyeusement la tete, et leurs familles depuis la France geignent avec elles.
On peut rapatrier les petits s'ils sont français, apres tout, separés de leurs genetrices toxiques, ils ont, eux, une chance de s'en sortir.
Ce n'est meme pas une question de sous, c'est une question de sauvegarde et de bon sens.
Quand on soutient et participe à la barbarie, alors qu'on a connu autre chose, la jeunesse n'est ni une excuse ni une raison.
Mab
- Kalawasa
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Re: Concours de conneries
Mer 17 Jan - 19:23
On peut rapatrier les petits s'ils sont français :
Petit djihadiste deviendra grand !
Ce n'est meme pas une question de sous
Si, également !
- EddieCochran+
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Re: Concours de conneries
Jeu 18 Jan - 1:05
45 -
Il n'y a pas que les daeschiens et chiennes sur le chemin back to the sweet home qui représentent un terreau de terroristes sur le sol du Cher & Vioque Pays, il y a aussi nos institutions judiciaires qui sont à la manœuvre de terribles destructions du génie architectural francaoui.
Voici un chef d'œuvre du travail artisanal de France qu'un Proc estrémiste à fait condamner à la démolition par le TGI de Grasse en réponse aux jérémiades d'un couple de Britanniques qui occupent 6 mois par an une maison sans cachet du voisinage lointain (1 km à vol d'oiseau) et qui se lamentent que l'horizon de la cime des arbres qu'ils apercevaient il y a 15 ans quand ils ont acheté soit aujourd'hui souligné par des toits de tuiles romaines vieillies du plus bel effet en lieu et place de vertes canopées :
Cela ne vous révolte-t-il pas ?
Il n'y a pas que les daeschiens et chiennes sur le chemin back to the sweet home qui représentent un terreau de terroristes sur le sol du Cher & Vioque Pays, il y a aussi nos institutions judiciaires qui sont à la manœuvre de terribles destructions du génie architectural francaoui.
Voici un chef d'œuvre du travail artisanal de France qu'un Proc estrémiste à fait condamner à la démolition par le TGI de Grasse en réponse aux jérémiades d'un couple de Britanniques qui occupent 6 mois par an une maison sans cachet du voisinage lointain (1 km à vol d'oiseau) et qui se lamentent que l'horizon de la cime des arbres qu'ils apercevaient il y a 15 ans quand ils ont acheté soit aujourd'hui souligné par des toits de tuiles romaines vieillies du plus bel effet en lieu et place de vertes canopées :
Cela ne vous révolte-t-il pas ?
- InvitéInvité
Re: Concours de conneries
Jeu 18 Jan - 9:26
Eddie a écrit:
Cela ne vous révolte-t-il pas ?
Non, "Dura lex, sed lex" (et n'y voyez aucune incitation à courir apres les dames toutes nues et parfumées de la Promenade des gens qui veulent faire detruire le batiment illegal).
Il a l'air bien sympathique, ce monsieur Diter, mais on fait construire APRES l'autorisation, pas en esperant l'obtenir.
Et puis il s'agit de mettre à bas la partie qui a effrontement negligé le droit, pas celle d'origine.
Croyez-moi, il m'en coute de donnez raison aux brexitiens. Mais sur ce coup la, et quelques soient leurs vilaines raisons...
Mab
(Et puis le montage youtube avec la musique de Gladiator, vous trouvez ça bien judicieux ? Esprit Toscane ou pas, la baraque finit brulée et les gens pendus).
- InvitéInvité
Re: Concours de conneries
Jeu 18 Jan - 9:31
Shamrocky, qui n'aime ni les sangliers ni les enfants, a écrit:On peut rapatrier les petits s'ils sont français :
Petit djihadiste deviendra grand !
On se calme, Madame Irma, le gene djihadiste n'a pas encore été reconnu.
Ne me dites pas qu'un nourrisson elevé hors du contexte delirant de ses parents reproduira obligatoirement leurs tendances malsaines, ce n'est pas vrai.
Limite, en recuperant le gosse, on se donne une chance de ne pas le voir un jour revenir avec un couteau entre les dents et trois slips les uns sur les autres (le ridicule ne tue peut-etre pas, mais il est important).
De toutes façons, ce sera traité au cas par cas et pas par vous.
Mab -ni par moi d'ailleurs -
- Kalawasa
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Re: Concours de conneries
Jeu 18 Jan - 9:42
D'après une étude de chercheurs de l'Université de Yale, il y a 86% de chances que les gosses imitent les vieux !
Donc: pas de pitié bisounoursique ! Hugh !
Donc: pas de pitié bisounoursique ! Hugh !
- InvitéInvité
Re: Concours de conneries
Jeu 18 Jan - 11:31
Shamrocky, bisounours stormtrooper, a écrit:D'après une étude de chercheurs de l'Université de Yale, il y a 86% de chances que les gosses imitent les vieux !
Donc: pas de pitié bisounoursique ! Hugh !
Vous me faites honte, un garçon cultivé comme vous qui fait semblant de ne pas savoir lire : comment voulez-vous singer ce que vous ne connaissez pas, si on vous retire à des geniteurs nuisibles ?
Et ne me sortez pas les conneries psychomachins à la mode, où je vous mets un coup de pelle.
Mab
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