Violences policières

Violences policières : une vidéo montre un tir de LBD à bout portant et un coup de pied sur un homme au sol à Limoges
23 avril

Les habitants des quartiers sont de plus en plus nombreux à dénoncer les violences policières depuis le début du confinement. La dernière en date a eu lieu à Limoges où un homme a reçu un tir de LBD à bout portant avant de recevoir un coup de pied au sol alors qu’il ne représentait aucun danger.
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Arrestation violente à Marseille : Jusqu’à quatre ans de prison pour les policiers

le 07/05/20

Un réfugié afghan avait été arrêté mi-avril sur le Vieux-Port puis abandonné dans un terrain vague

Spoiler:

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Un jeune à vélo renversé puis tabassé par la police !

Hier dans le quartier Nansouty à Bordeaux, un cycliste a été renversé par une voiture de police avant d’être violemment interpellé. Alors qu’il était tranquillement sur la route, il s’est fait klaxonné par une voiture située derrière lui, et sans se retourner, le jeune homme leur aurait fait un doigt avant de découvrir qu’il s’agissait d’un véhicule de police. C’est alors que les policiers lui ont fait une queue de poisson avant de le percuter. En témoigne l’état de son vélo, dont la roue avant a été visiblement voilée par le choc.

Il a ensuite été violemment plaqué sur le capot de la voiture, puis de nouveau au sol, comme nous pouvons le constater sur la vidéo. Selon une des témoins « il a été roué de coups, on l’a écrasé, il s’est fait tordre les bras avec des matraques » Le tout devant de nombreux passants indignés par le traitement que la police lui a infligé, et qui ont tenté de le défendre.

Lors de son interpellation par plusieurs policiers non masqués, ces derniers lui ont craché dessus, ils l’ont écrasé et même étranglé dans la voiture. Les témoins de ces violences policières ont également été violemment repoussés par la police, et même menacés de se faire gazer s’ils continuaient de filmer.

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Témoignage de La Bas Si J'y Suis, qui a reçu cette vidéo :
Lundi soir dans le 18ème un homme encerclé par 4 policiers s’est fait frapper au visage à plusieurs reprises par un agent.

La scène s'est déroulée à 17h54 au 14 avenue de la porte de clignancourt.

Le témoin qui a filmé et nous a transmis ces images explique que l'homme qui s'est fait frapper n'était pas agressif et ne présentait aucun danger pour l'agent en question. Plusieurs automobilistes ont notamment klaxonné pour protester contre les coups donnés par le policier.

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VIOLENCES POLICIERES ENCORE ET TOUJOURS

Les violences policières continuent, ce mercredi 6 mai à Asnières, un jeune s’est violemment fait interpeller par la police municipale alors qu’il ne représenter aucune menace.
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Younes Terre a écrit:

« Mais lui il s’est jeté direct à la seine ce con », « Un bicot comme ça, ça nage pas », « Il va passer un mauvais moment ».

“Lettre au policier qui m’a tiré dessus : j’ai perdu mon œil, mon cerveau et la personne que j’étais”
Publié le 25/05/2020.

Elle est allée à Paris pour la deuxième fois afin de manifester avec les Gilets jaunes. Grièvement blessée au visage par un tir de LBD40, Vanessa Langard, 36 ans, raconte sa mutilation dans le documentaire “Ma blessure d’âge adulte”, disponible sur France.tv. Elle s’adresse aujourd’hui au policier qui lui a tiré dessus.
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"Violences policières" et "police raciste" : des termes que le gouvernement refuse en bloc. A tort parce que ces locutions recouvrent plusieurs réalités
Le gouvernement ne peut effectivement pas accepter l’idée que la police serait intrinsèquement violente, au-delà bien sûr de la fameuse violence légitime dont l’Etat serait dépositaire, selon Max Weber. Ce serait valider la théorie selon laquelle la police ne serait que le bras armé d’un système de domination.

Il en va de même pour l’idée selon laquelle la police serait, là encore, par nature, raciste. C’est ce que pense le nouvel antiracisme dit ‘politique’ ou ‘systémique’. Le racisme serait avant tout un aspect du système de domination, résidu de l’esclavage aux Etats-Unis et de la colonisation en France. Les blancs seraient les dominants, privilégiés de ce système, les autres, dits ‘racisés’, en seraient les dominés. Cette théorie, venue des Etats-Unis (en vogue dans une partie de la jeunesse étudiante française) a pour inconvénient de nier la responsabilité individuelle. C’est une théorie qui défie l’universalisme, base de l’antiracisme humaniste, notamment de la gauche des années 1980/90.
Les termes de ‘violences policières et ‘racisme policier’ ne sont pas à proscrire pour autant

Tout dépend de l’article que vous mettez devant. ‘LA violence policière’, ‘LE racisme policier’ suggère donc que la police est violente ou raciste parce qu’elle est la police, alors que ‘LES violences policières’ désignent simplement des dérives récurrentes, quasi permanentes.

Et il est difficilement concevable que le ministre de l’Intérieur refuse ces locutions, lui qui dit maintenant vouloir améliorer la déontologie policière.

Ce n’est pas simplement une question de déontologie. La disparition totale de toutes idées et crédits de prévention, les effets de la ghettoïsation, de la ségrégation spéciale de fait, une pente répressive toujours accrue depuis le passage de Nicolas Sarkozy à l’intérieur en 2002, les lois anti-terroristes utilisées au-delà de leur domaine et la fin de la police de proximité donnent des arguments aux antiracistes systémiques.

L’idée fausse selon laquelle il y a un racisme ou une violence d’Etat se renforce à chaque étape de la ‘roboco-pisation’ de l’accoutrement des policiers… et surtout tant que les jeunes, noirs ou maghrébins, ressentent, par expérience quotidienne, les discriminations, par exemple, du contrôle au faciès ; l’engrenage de la défiance mutuelle détruit tous les jours le principe idéalisé de la police républicaine.

Comment peut perdurer une telle différence entre ce que vivent ceux qui se font contrôler et ce que rapportent les autorités ? Pourquoi, contrairement aux autres ministres avec leurs fonctionnaires, le ministre de l’Intérieur ne peut pas assumer un conflit avec les policiers qui salissent leur mission ? De quoi a-t-il peur ?

La police n’est pas raciste ni violente en elle-même, mais elle est maintenant rongée par ces deux fléaux. Il y a peut-être un contexte social qu’il faut mieux comprendre, des missions inadaptées qu’il faut déceler, des réalités de terrain qu’il faut admettre… Mais le fait est : la façon dont est recrutée, formée, équipée et surtout commandée la police, pose un grave problème pour la cohésion en France…
Thomas Legrand
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@quantat a écrit:Cet article est de la propagande au service des nantis néo libéraux : quand on choisit le métier de policier c'est forcément pour casser du noir et de l'arabe et promouvoir le suprémacisme blanc anti-humaniste capitalisto-fasciste.

@quantat a écrit:J'ai pas regardé la vidéo mais elle est géniale et dit que des vérités (que le pouvoir capitalo-fasciste essaye vainement de nous dissimuler)

@quantat a écrit:y'a pas de violence non policière : ces gens sont des VICTIMES de l'oppression capitalisto-fasciste et ne font que protéger leur Vie ainsi que la Vérité de l'Humanisme de gôche des BAIZUO

Jean Trancène a écrit:

@quantat a écrit:y'a pas de violence non policière : ces gens sont des VICTIMES de l'oppression capitalisto-fasciste et ne font que protéger leur Vie ainsi que la Vérité de l'Humanisme de gôche des BAIZUO

Il est vrai que contrairement aux pays communistes où la liberté de manifester est bien mieux admise, la France est un pays où les marges de manoeuvre des  contestataires antifa ou autres sont affreusement bridées..Comme en Chine ou en Corée du nord, la police tue aveuglément ....

@quantat a écrit:Quelle misère ce décalage entre le langage des anciens et celui des djeun's comme Jean-Côme ... on comprend rien de ce qu'il dit ...

"On dirait que c'est extrait d'un seule en scène"

Y'a quelqu'un qui peut me traduire ?