Pour les passionnés d'automobiles

Jean Trancène a écrit:Je ne sais pas si c'est le bon fil pour mettre ce lien, mais tant pis, il mérite d'être lu:

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Kalawasa a écrit:La réalisation de la sellerie d'une Bugatti Chiron nécessite ....15 vaches...autrichiennes !
Pourquoi autrichiennes ? Parce qu'il faut des vaches élevées en altitude où les piqûres d'insectes sont plus rares . Elles sont également élevées dans des enclos sans barbelés...

Why electric cars won't save us: There are not enough resources to build them

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Les scientifiques britanniques font le calcul et constatent que nous sommes à court de cobalt, de lithium et de cuivre.
TreeHugger a déjà couvert le rapport du Comité britannique sur le changement climatique et s'est plaint qu'il s'agissait d'un statu quo, en particulier avec sa suggestion que les voitures électriques pourraient remplacer toutes les voitures à moteur à combustion interne (ICE) au Royaume-Uni, et son manque d'intérêt pour les alternatives.
Aujourd'hui, une lettre du directeur des sciences de la Terre du Muséum d'histoire naturelle, le professeur Richard Herrington, ainsi que d'autres experts, souligne l'ampleur du problème de la construction de tant de voitures électriques. Ils calculent que, même avec les batteries les plus efficaces disponibles, l'électrification complète du parc automobile d'ici 2035 nécessiterait beaucoup plus d'exploitation minière.
L'impact mondial : Si cette analyse est extrapolée à l'estimation actuellement projetée de deux milliards de voitures dans le monde, sur la base des chiffres de 2018, la production annuelle de néodyme et de dysprosium devrait augmenter de 70 %, celle de cuivre devrait plus que doubler et celle de cobalt devrait augmenter au moins trois fois et demi d'ici 2050 pour couvrir la demande.
Il faudrait aussi beaucoup d'énergie pour fabriquer ces voitures :
Les coûts énergétiques pour la production de cobalt sont estimés à 7000-8000 kWh pour chaque tonne de métal produite et pour le cuivre à 9000 kWh/t. Les coûts de l'énergie des terres rares sont d'au moins 3350 kWh/t, ce qui correspond à l'objectif des 31,5 millions de voitures qui ont besoin de 22,5 TWh d'électricité pour produire les nouveaux métaux destinés au parc britannique, soit 6% de la consommation électrique annuelle actuelle du Royaume-Uni. Extrapolée à 2 milliards de voitures dans le monde, la demande d'énergie pour l'extraction et le traitement des métaux est presque 4 fois supérieure à la production électrique annuelle totale du Royaume-Uni.
Et puis, bien sûr, il y a l'électricité nécessaire pour alimenter tous ces véhicules électriques. La construction de parcs éoliens pour produire autant d'énergie nécessiterait plus de cuivre et plus de dysprosium, et la construction de parcs solaires nécessite encore plus de silicium, d'indium, de tellure et de gallium de haute pureté. Le professeur Herrington note :
"La nécessité urgente de réduire les émissions de CO2 pour assurer l'avenir de notre planète est évidente, mais il y a d'énormes implications pour nos ressources naturelles, non seulement pour produire des technologies vertes comme les voitures électriques, mais aussi pour les maintenir chargées." Comme je l'ai mentionné dans un article précédent sur le cuivre, nous devons cesser de parler de la façon dont les voitures électriques nous feront économiser ; il faut trop de choses pour les fabriquer toutes, trop de carbone à l'avance, et personne ne va en produire assez rapidement. Tout ce cuivre, le lithium, le nickel, l'aluminium et l'acier doivent venir de quelque part. Nous devons nous efforcer de faire sortir les gens des voitures, de faciliter l'utilisation des bicyclettes électriques et des bicyclettes cargo, du transport en commun et des pieds.
Encore une fois, c'est la raison pour laquelle nous continuons à parler de suffisance tout le temps. Quel est le meilleur outil pour le travail ? Les voitures sont pratiques pour certains, mais nous ne pouvons pas nous contenter de construire des boîtes électriques de deux ou trois tonnes pour déplacer une personne sur quelques kilomètres. Nous devons examiner des solutions de rechange qui utilisent moins de produits de façon plus efficace. Les voitures électriques ne nous sauveront pas.
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Kalawasa a écrit:

ON NE NOUS DIT PAS TOUT !

2h30 de charge et 23 euros pour faire 300 km …
(...)
Ce coût porte l’usage de la Kia e-Niro 64 kWh au même niveau que son équivalent thermique essence, pour une source énergétique pourtant pas encore frappée de fiscalité.(...)

Kalawasa a écrit:Cher Eddie, je n'ai pas eu votre courage pour sortir la calculette ...
Je pense que le journaliste voulait dire une taxe spéciale pour automobilistes (peut-être en gestation ) )

Eddie a écrit:Faites comme moi Cher Kalawasa, placez la calculette W10 dans la barre des tâches, elle sera prête à bondir sur l'écran au premier clic.

Kalawasa a écrit:(...)

Ma calculette figure déjà dans la barre des tâches, mais elle est trop rustique pour les problèmes de taxes à la française...

Quand la Bugatti Chiron frôle les 500 km/h

Kalawasa a écrit:Bien sûr, JT, mais ces voitures sont très peu vendues en France...( à part chez qques footballeurs )

Les connards conduisent-ils des Mercedes, ou bien les Mercedes transforment-elles en connard?


Une étude finlandaise a exploré les ressorts psychologiques des comportements irrespectueux fréquemment observés chez les conducteurs de grosses cylindrées allemandes. Verdict: les hommes égoïstes ont un faible pour ces voitures. Tout comme les personnes les plus consciencieuses

La littérature scientifique a son lot de pépites, dont l’une d’elles a été découverte dans l’International Journal of Psychology par des journalistes du Nouvel Obs. Menée auprès d’automobilistes finlandais, une étude conclut que les hommes conducteurs de grosses voitures allemandes BMW, Mercedes ou Audi sont plus souvent des «connards» («assholes», dans la langue de Boris Johnson, est le terme employé dans l’étude).

Les travaux datent de décembre et ont été relayés le 29 janvier dans un communiqué de presse de l’Université d’Helsinki. Ils affirment que «quel que soit leur niveau de richesse, les hommes détenteurs d’une voiture de luxe expriment davantage les traits de personnalité suivants: égocentriques, narcissiques, désagréables, têtus, manquant d’empathie et moins enclins à la gentillesse», écrit le Nouvel Obs.

Le questionnement initial de l’auteur principal Jan-Erik Lönnqvist, professeur de psychologie sociale à l’Ecole suédoise de sciences sociales à Helsinki, était le suivant: «Est-ce que les connards conduisent des Mercedes, ou bien est-ce que conduire une Mercedes vous transforme en connard?»

Une interrogation qu’il dit avoir eue après avoir remarqué que les personnes qui «grillent les feux rouges, ne respectent pas la priorité des piétons et roulent de manière générale trop vite, trop agressivement, sont souvent au volant de voitures allemandes rapides».
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