Vous ne connaissez rien à la Finance, mais elle vous connaît bien !
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Mab-des-bois
hubert.de.boisredon
EddieCochran+
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Vous ne connaissez rien à la Finance, mais elle vous connaît bien !
Sam 10 Aoû - 8:39
Rappel du premier message :
Le vocable finance est un terme générique décrivant les activités qui sont en relation avec les opérations bancaires, le recours à l'endettement et à ses arbitrages ou leviers, les marchés de capitaux, la monnaie et les investissements.
L'essence de la finance réside dans les opérations portant sur la gestion de l'argent et sur les techniques de recrutement des fonds nécessaires pour lancer ou développer une activité économique.
La finance comprend aussi la surveillance et l'étude de la création de monnaie, de l'activité bancaire, du crédit, des investissements, des actifs, des immobilisations, des dettes et autres engagements qui constituent le domaine de l'analyse financière.
La plupart des concepts financiers procèdent de la micro et de la macroéconomie. Par exemple un de ces concepts qui a pris une importance fondamentale est celui de la théorie de la valeur temporelle de la monnaie, en anglais Time Value of Money (VTM) qui dispose que la valeur d'un €uro plus efficiente aujourd'hui qu'elle ne le sera plus tard. Il s'est ainsi développé un vocabulaire et un langage spécialisés propres à la finance et à ses opérateurs, dont le mode vernaculaire anglais s'est imposé.
Pour vous y retrouver dans ce charabia voici un glossaire très utile :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Comme les individus, les entreprises, l'Etat et des organismes étatiques ont tous besoin de fonds pour assurer leurs activités le champ de la finance se divise en trois sous-ensembles : la finance privée ou personnelle, la finance d'entreprise, la finance publique càd d'Etat ou institutionnelle.
La finance requiert et développe ses propres techniques et les opérateurs sont très diversifiés et spécialisés dans leurs domaines particuliers.
C'est un monde complexe qui impacte directement notre quotidien, la décision managériale des entreprises et institutions, la vie des Nations et des Etats.
Même si académiquement il est fait une différenciation entre Finance et Economie, ces deux domaines sont si intimement liés et imbriqués. qu'il sera ainsi plus commode et utile de discuter sans tenir compte de cette individualisation didactique théorique qui repose plus sur l'ego des protagonistes théoriciens que de la réalité et du vécu prosaïques de chacun.
Ce fil a vocation de recueillir toutes les informations, opinions, questions et réponses qui touchent de près et de loin ce que nous comprenons ici par le vocable forumnesque de PHYNANCE !
Et pour servir de référence et de vue globale, voici un tableau synoptique de la finance piqué sur Wiki:
Avouez que c'est une sacrée usine à gaz !
Le vocable finance est un terme générique décrivant les activités qui sont en relation avec les opérations bancaires, le recours à l'endettement et à ses arbitrages ou leviers, les marchés de capitaux, la monnaie et les investissements.
L'essence de la finance réside dans les opérations portant sur la gestion de l'argent et sur les techniques de recrutement des fonds nécessaires pour lancer ou développer une activité économique.
La finance comprend aussi la surveillance et l'étude de la création de monnaie, de l'activité bancaire, du crédit, des investissements, des actifs, des immobilisations, des dettes et autres engagements qui constituent le domaine de l'analyse financière.
La plupart des concepts financiers procèdent de la micro et de la macroéconomie. Par exemple un de ces concepts qui a pris une importance fondamentale est celui de la théorie de la valeur temporelle de la monnaie, en anglais Time Value of Money (VTM) qui dispose que la valeur d'un €uro plus efficiente aujourd'hui qu'elle ne le sera plus tard. Il s'est ainsi développé un vocabulaire et un langage spécialisés propres à la finance et à ses opérateurs, dont le mode vernaculaire anglais s'est imposé.
Pour vous y retrouver dans ce charabia voici un glossaire très utile :
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Comme les individus, les entreprises, l'Etat et des organismes étatiques ont tous besoin de fonds pour assurer leurs activités le champ de la finance se divise en trois sous-ensembles : la finance privée ou personnelle, la finance d'entreprise, la finance publique càd d'Etat ou institutionnelle.
La finance requiert et développe ses propres techniques et les opérateurs sont très diversifiés et spécialisés dans leurs domaines particuliers.
C'est un monde complexe qui impacte directement notre quotidien, la décision managériale des entreprises et institutions, la vie des Nations et des Etats.
Même si académiquement il est fait une différenciation entre Finance et Economie, ces deux domaines sont si intimement liés et imbriqués. qu'il sera ainsi plus commode et utile de discuter sans tenir compte de cette individualisation didactique théorique qui repose plus sur l'ego des protagonistes théoriciens que de la réalité et du vécu prosaïques de chacun.
Ce fil a vocation de recueillir toutes les informations, opinions, questions et réponses qui touchent de près et de loin ce que nous comprenons ici par le vocable forumnesque de PHYNANCE !
Et pour servir de référence et de vue globale, voici un tableau synoptique de la finance piqué sur Wiki:
Avouez que c'est une sacrée usine à gaz !
- hubert.de.boisredon
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addendum
je pensais attiser la réaction et la thermodynamique induite, en rectifiant le tir prestement !
cela dit, une info qui me vient, et relative aux "gueules cassées" dont cette satanée pub s'est glosée….
le maire d'Harbonnières (dans la Somme-il ferait mieux de dormir-ndlr) a décidé de mettre en vente les concessions funéraires des tombes non entretenues, on s'est aperçu que certaines tombes abandonnées étaient celles de soldats morts pendant la grande guerre (14-18 pour mémoire) !
j'espère qu'un "type bien", (suivez mon regard d'aigle) aura le réflexe ad'hoc pour éviter cet affront "post-mortem" infligé à des gars qui sont morts à 20, 22 ou 25 ans, pour défendre nos valeurs et notre liberté, pas vrai Manu ?
on les traite comme si c'était des "riens" !
faut dire que c'est un épithète qu'il a remis à la mode, notre éphèbe à nous qu'on a !
tristement
hub'
je pensais attiser la réaction et la thermodynamique induite, en rectifiant le tir prestement !
cela dit, une info qui me vient, et relative aux "gueules cassées" dont cette satanée pub s'est glosée….
le maire d'Harbonnières (dans la Somme-il ferait mieux de dormir-ndlr) a décidé de mettre en vente les concessions funéraires des tombes non entretenues, on s'est aperçu que certaines tombes abandonnées étaient celles de soldats morts pendant la grande guerre (14-18 pour mémoire) !
j'espère qu'un "type bien", (suivez mon regard d'aigle) aura le réflexe ad'hoc pour éviter cet affront "post-mortem" infligé à des gars qui sont morts à 20, 22 ou 25 ans, pour défendre nos valeurs et notre liberté, pas vrai Manu ?
on les traite comme si c'était des "riens" !
faut dire que c'est un épithète qu'il a remis à la mode, notre éphèbe à nous qu'on a !
tristement
hub'
- hubert.de.boisredon
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cornegidouille et carabistouille (dans l'ère du temps de Manu)
bonjour, ma mariebé, songeur, je suis, n'étant point giléjone, et par voie de conséquence, pas brut de décoffrage, "gentil maçon" qui s'en dédit, je ne commenterai point ta pensée philosophique !
mais je t'aime bien, et je te rassure, je ne financerai pas l'entretien des pierres tombales, Manu me fait pas assez de cadeaux (euphémisme) !
ah oui, au fait, et après "mûre" réflexion, si personne ne va sur leurs tombes, aux gueules cassées, cabossées, massacrées et oubliées, c'est "peut-être" parce qu'ils n'ont eu ni le loisir, ni la chance, ou encore le bonheur d'avoir le temps de s'assurer une descendance, car on leur a collé un fusil à la place de leur machin à procréer !
et sans leur demander leur avis, de surcroit !
je bois à leur santé, "sans rancune aucune"
et merci de ta présence aussi, et puis de ton humour à part, et tellement décalé parfois (c'est pas un reproche, bien au contraire)
apéritivement
hub'
bonjour, ma mariebé, songeur, je suis, n'étant point giléjone, et par voie de conséquence, pas brut de décoffrage, "gentil maçon" qui s'en dédit, je ne commenterai point ta pensée philosophique !
mais je t'aime bien, et je te rassure, je ne financerai pas l'entretien des pierres tombales, Manu me fait pas assez de cadeaux (euphémisme) !
ah oui, au fait, et après "mûre" réflexion, si personne ne va sur leurs tombes, aux gueules cassées, cabossées, massacrées et oubliées, c'est "peut-être" parce qu'ils n'ont eu ni le loisir, ni la chance, ou encore le bonheur d'avoir le temps de s'assurer une descendance, car on leur a collé un fusil à la place de leur machin à procréer !
et sans leur demander leur avis, de surcroit !
je bois à leur santé, "sans rancune aucune"
et merci de ta présence aussi, et puis de ton humour à part, et tellement décalé parfois (c'est pas un reproche, bien au contraire)
apéritivement
hub'
- Jean Trancène
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Age : 82
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Surtout que:
Et donc
Et donc
- hubert.de.boisredon
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diantre
c'est vrai que l'on s'éloigne du nerf de la guerre, la phynance, hein, Jean, cela dit, ils sont morts pour "rien", un pronom et un adverbe en même temps, ça n'est donc pas "rien", et parfois même ça signifie l'inverse de celui qu'est "kekchose", et qu'a réussi, selon l'incroyable Manu, le "faire" (valoir) de lance de ma chère Mariebé !
d'ailleurs, les anges, qu'évoque ma vestale favorite, n'ont pas de sexe, je n'ai d'ailleurs point capté, sauf à imaginer que Simone "veille", ou alors que mes synapses ont disjoncté because des dendrites en sommeil ou en apnée !
et je n'est pas pigé davantage l'aparté "homo", mais on peut trouver un rapport, en cherchant bien, sans passer par derrière !
obligatoirement (je rigole hein mab')
hub'
c'est vrai que l'on s'éloigne du nerf de la guerre, la phynance, hein, Jean, cela dit, ils sont morts pour "rien", un pronom et un adverbe en même temps, ça n'est donc pas "rien", et parfois même ça signifie l'inverse de celui qu'est "kekchose", et qu'a réussi, selon l'incroyable Manu, le "faire" (valoir) de lance de ma chère Mariebé !
d'ailleurs, les anges, qu'évoque ma vestale favorite, n'ont pas de sexe, je n'ai d'ailleurs point capté, sauf à imaginer que Simone "veille", ou alors que mes synapses ont disjoncté because des dendrites en sommeil ou en apnée !
et je n'est pas pigé davantage l'aparté "homo", mais on peut trouver un rapport, en cherchant bien, sans passer par derrière !
obligatoirement (je rigole hein mab')
hub'
- hubert.de.boisredon
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fouchtra et colère de dieu
lire "je n'ai pas pigé" pour "je n'est pas pigé" !
l'orthographe (ou l'écriture) est bien la science des ânes, un animal pourtant intelligent, son bonnet l'attestant, sauf pour celles et ceux qui entravent (pigent) de travers (je peux développer au besoin)
éventuellement (je blague)
hub'
lire "je n'ai pas pigé" pour "je n'est pas pigé" !
l'orthographe (ou l'écriture) est bien la science des ânes, un animal pourtant intelligent, son bonnet l'attestant, sauf pour celles et ceux qui entravent (pigent) de travers (je peux développer au besoin)
éventuellement (je blague)
hub'
- hubert.de.boisredon
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addendum (bis)
et pour terminer, mab, et pour me faire comprendre, je suis pas "macho", j'ai jamais prétendu que l'humour était une "qualité masculine", tout comme la logique n'est pas l'apanage exclusif de nos compagnes ou moitiés !
certains prétendent même qu'une femme "drôle" n'était pas vraiment sexy, eh bien, je n'en fais pas partie de ces vilains goujats jaloux et bébêtes !
voilà pour éclairer les échanges futurs, pour servir et valoir ce que de droit, comme pourrait l'écrire un juriste intra muros !
éventuellement (si besoin était)
hub'
et pour terminer, mab, et pour me faire comprendre, je suis pas "macho", j'ai jamais prétendu que l'humour était une "qualité masculine", tout comme la logique n'est pas l'apanage exclusif de nos compagnes ou moitiés !
certains prétendent même qu'une femme "drôle" n'était pas vraiment sexy, eh bien, je n'en fais pas partie de ces vilains goujats jaloux et bébêtes !
voilà pour éclairer les échanges futurs, pour servir et valoir ce que de droit, comme pourrait l'écrire un juriste intra muros !
éventuellement (si besoin était)
hub'
- EddieCochran+
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57 -
Certes oui pour la première affirmation, mais Cher Hubert vous vous mettez dans un guêpier avé la seconde affirmation, nos compagnes et moitiés ont l'apanage ésclusif de la LOGIQUE FÉMININE !
(C'est aussi pour ça que je les aime).
hubert.de.boisredon a écrit:addendum (bis)
et pour terminer, mab, et pour me faire comprendre, je suis pas "macho", j'ai jamais prétendu que l'humour était une "qualité masculine", tout comme la logique n'est pas l'apanage exclusif de nos compagnes ou moitiés !
(...)
Certes oui pour la première affirmation, mais Cher Hubert vous vous mettez dans un guêpier avé la seconde affirmation, nos compagnes et moitiés ont l'apanage ésclusif de la LOGIQUE FÉMININE !
(C'est aussi pour ça que je les aime).
- hubert.de.boisredon
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diantre
c'est ma foi vrai, eddie !
je me suis fait avoir, ce n'est ni la première, ni la dernière fois, je m'aperçois que je suis surveillé de près, de surcroit, je vais donc redoubler de méfiance, à l'avenir, pour éviter de me prendre les pieds dans le tapis, comme un débutant !
et me réfugier tout de go dans la résolution des problèmes pratiques, en peaufinant l'étude des principes généraux, des cas similaires aussi, en prenant en considération les particularités des situations étudiées !
je pourrai de la sorte éviter à l'avenir ce genre d'écueil, lequel me remplit d'une honte rétrospective !
je demande donc pardon à ma petite Mariebé, tout en remerciant mon compagnon de route forumesque eddie !
en passant, mon OL l'a emporté à l'instant aux pays des violettes, sur le fil, par 3 à 2, j'en suis tout guilleret, et ça me remonte un moral passablement atteint, du coup !
et sans rancune, eddie, hein, on est là pour se marrer, pour s'informer, s'instruire, et se titiller aussi !
alternativement
hub'
c'est ma foi vrai, eddie !
je me suis fait avoir, ce n'est ni la première, ni la dernière fois, je m'aperçois que je suis surveillé de près, de surcroit, je vais donc redoubler de méfiance, à l'avenir, pour éviter de me prendre les pieds dans le tapis, comme un débutant !
et me réfugier tout de go dans la résolution des problèmes pratiques, en peaufinant l'étude des principes généraux, des cas similaires aussi, en prenant en considération les particularités des situations étudiées !
je pourrai de la sorte éviter à l'avenir ce genre d'écueil, lequel me remplit d'une honte rétrospective !
je demande donc pardon à ma petite Mariebé, tout en remerciant mon compagnon de route forumesque eddie !
en passant, mon OL l'a emporté à l'instant aux pays des violettes, sur le fil, par 3 à 2, j'en suis tout guilleret, et ça me remonte un moral passablement atteint, du coup !
et sans rancune, eddie, hein, on est là pour se marrer, pour s'informer, s'instruire, et se titiller aussi !
alternativement
hub'
- hubert.de.boisredon
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addendum
j'ai tardé à réagir car j'étais en streaming sur mon PC, sur un site extra et gratos sans virus (c'est rare), pour accompagner de visu les boys de mon JMA !
j'ai ponctué la troisième caisse (le but hein) d'un pousse-rapîère de derrière les fagots !
ça va mieux en gonie, même si ça demande confirmation, le rebond !
sportivement
hub'
j'ai tardé à réagir car j'étais en streaming sur mon PC, sur un site extra et gratos sans virus (c'est rare), pour accompagner de visu les boys de mon JMA !
j'ai ponctué la troisième caisse (le but hein) d'un pousse-rapîère de derrière les fagots !
ça va mieux en gonie, même si ça demande confirmation, le rebond !
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- EddieCochran+
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60 -
Allez pour que tout le monde en profite ! (A partir de 2:05, ça vaut le jus)
N'oubliez pas les potos : Depay est un Nhéros !
Allez pour que tout le monde en profite ! (A partir de 2:05, ça vaut le jus)
N'oubliez pas les potos : Depay est un Nhéros !
- hubert.de.boisredon
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cornegidouille
et pour parapher le tout, copie de mon "truc" sur le forum 'aulassien" pour me délasser ou me défouler !
palsambleu
lecture faite des sieurs "je-sais-tout" et autres ganas, pour ne point les nommer, patente et privilège de disserter, jaser et babiller tout leur soûl, sur l'art de gagner balle au pied, sans qu'il soit besoin de manager et de motiver, je leur donne en outre licence de changer d'avis comme de pourpoint, sans avoir à s'en expliquer autrement, les avise toutefois qu'ils aient à obscurcir encore leur jargon, de peur que le vulgaire ne finisse par le comprendre, ce qui leur ferait grand tort !
j'hésite derechef à lever mon verre réfrigéré au préalable, de peur de jeter un froid !
apéritivement
hub'
et pour parapher le tout, copie de mon "truc" sur le forum 'aulassien" pour me délasser ou me défouler !
palsambleu
lecture faite des sieurs "je-sais-tout" et autres ganas, pour ne point les nommer, patente et privilège de disserter, jaser et babiller tout leur soûl, sur l'art de gagner balle au pied, sans qu'il soit besoin de manager et de motiver, je leur donne en outre licence de changer d'avis comme de pourpoint, sans avoir à s'en expliquer autrement, les avise toutefois qu'ils aient à obscurcir encore leur jargon, de peur que le vulgaire ne finisse par le comprendre, ce qui leur ferait grand tort !
j'hésite derechef à lever mon verre réfrigéré au préalable, de peur de jeter un froid !
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- EddieCochran+
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62 -
Pour reprendre le fil de ce fil je colle ici un article copié il y a une semaine sur le site de Bloomberg. C'est juste à titre informatif car cela nous concerne tous en tant que membres de la zone €uro qui vient d'installer une nouvelle cheftaine (je déteste le cheffe des orthographystériques, on dirait de l'espagnol qu'on entend à longueur de journée sur les chantiers du BTP : jeffe, mais c'est en mode macho).
" Christine Lagarde, First Woman to Head the ECB, Faces Peril on All Sides
Mario Draghi’s successor is going to need all her political and technocratic skills to maneuver European monetary policy toward growth, in spite of bureaucracy, nationalism, populism, and just plain parsimony.
Christine Lagarde will inherit two gifts when she takes over the presidency of the European Central Bank, both temporary and both from Mario Draghi. The first is a symbol that will be literally handed to her by the outgoing ECB president: a golden bell used to call the central bank’s policymakers to order. It’s an object that she will ceremonially pass on to her own successor in eight years. The second gift is a fresh round of monetary stimulus, pushed through by Draghi in his final weeks, that should put off the next decision to raise interest rates—always politically fraught—until at least 2022.
That may sound like the promise of a smooth transition, but it’s not. Already, Lagarde’s leadership skills are being tested by two other things Draghi’s leaving behind: rifts among ECB policymakers brought on by unhappiness over his final round of pump priming; and their mounting concern that the central bank’s efforts to revive the euro zone economy are being undermined by stingy national governments.
The 63-year-old starts in Frankfurt—at the ECB’s headquarters overlooking the River Main—on Nov. 1 as the central bank’s first female president. It’s the latest step in a trailblazing career that includes being France’s first female finance minister—significantly, through the global financial crisis—and the first woman to head the International Monetary Fund. Lagarde spent two decades as a lawyer, rising to become chairman of the Chicago-based firm Baker McKenzie. Now she’ll oversee the world’s second-biggest currency in a diverse, 19-nation economy for which a single monetary policy sometimes seems an ill fit. While members of the decision-making Governing Council attend as Europeans, not as representatives of their country, they inevitably bring views rooted in their cultural history.
relates to Christine Lagarde, First Woman to Head the ECB, Faces Peril on All Sides
To this challenge, Lagarde brings a different skill set than her predecessors. She’s the first ECB chief neither trained as an economist nor experienced as a central banker. Indeed, she’s publicly admitted she hates math. Unlike Draghi, who studied under Nobel laureates to gain an economics Ph.D. from Massachusetts Institute of Technology and who used to run the Bank of Italy, Lagarde isn’t likely to dig deep into monetary mechanics and neo-Keynesian theory. Instead, she’ll probably rely heavily on the ECB’s hordes of experts for advice while she crafts diplomatic solutions to vexing problems, according to multiple sources who spoke to Bloomberg on condition of anonymity so they could express themselves openly.
“Throughout her career, Lagarde has been a synthesizer, a moderator, and an arbiter in the way she acted in the international community, and that’s how I’d see she would lead the ECB,” says Nathan Sheets, a former undersecretary for international affairs at the U.S. Treasury. “She’ll be good at finding common ground—also with the political leadership of Europe—and if past performance is any guide, she’ll help the institution shine.”
The ECB needs a bit of shine. A decade of crisis-fighting has pushed it to its limits, and for all Draghi has done to defend the single currency, he’s leaving deep scars behind. Trillions of euros of stimulus failed to lift inflation, opening unprecedented dissent between those colleagues who backed his policies, from negative interest rates to bond purchases, and those losing faith that ever-more easing is the right solution. The policy rift is a good example. Governors from economically conservative economies such as Germany— home to the parsimonious Bundesbank and its hard-currency credentials—the Netherlands, and Austria opposed Draghi’s stimulus package. Southern European nations supported it. The outgoing ECB president contributed to the divisions. His pledge in 2012 to do “whatever it takes” to defend the euro, quantitative easing in 2015, and a final easing push in September were all largely go-it-alone initiatives that irritated some of his peers.
Being the next Super Mario isn’t going to be part of Lagarde’s portfolio. Her style is to come to issues without preconceived ideas and then lean on colleagues to examine every angle of a problem, according to people who know her. Once she’s convinced of an argument or a path by her staff, she goes all-out to defend the position. Her detractors, on the other hand, say she follows that advice to a fault.
Her negotiating virtues were evident during the Greek financial crisis, when Lagarde’s IMF, the European Union, and the ECB formed the so-called troika that would set and enforce bailout terms for Athens. During an eleventh-hour crisis meeting in June 2015—when many participants had lost interest in Greek Prime Minister Alexis Tsipras’s lengthy explications and were distracting themselves on their phones—Lagarde never stopped listening to the Greek side, diligently and determinedly asking questions and taking notes. On another occasion, she defused tensions by handing around bags of M&Ms.
Her willingness to listen isn’t likely to include a tolerance for waffling and pointless long-windedness. “Lagarde runs a very tight and disciplined ship,” says Mark Sobel, U.S. representative at the IMF from 2015-18. “She often told participants to put down their iPhones and pay attention. During her tenure, the Board adopted a presumption that interventions should be no longer than four minutes. She quickly sought to enforce the limit, and would begin to tap her microphone after the four minutes lapsed.”
That kind of discipline and political dexterity could be crucial in persuading governments to do more to support the euro zone economy. She’s built warm relationships with German Chancellor Angela Merkel and former Finance Minister Wolfgang Schaeuble, who has had occasional run-ins with the ECB. Schaeuble’s successor, Olaf Scholz, has welcomed her appointment, and French President Emmanuel Macron is said to trust her.
It’s a tricky balancing act. While the IMF has a remit to advise member states directly and publicly—for example, urging Germany this year to beef up its digital infrastructure—ECB presidents must be careful when stepping on policy terrain that governments are sensitive about. Irk too many member states and they may come back and threaten the independence of the ECB. Both Draghi and his predecessor Jean-Claude Trichet repeatedly urged politicians to deliver structural reforms and fiscal support, to no avail.
At Governing Council meetings, Lagarde will be one of 25 policymakers, each with an equal vote if consensus can’t be reached, and most with far deeper monetary policy experience than she has. Some of her new colleagues were themselves candidates in the race to succeed Draghi. Lagarde told Bloomberg Television last month that she’ll “start with teamwork” in her new role, allowing disagreements but, once a decision is made, moving together. She also said she had hesitated over taking the job but, after consulting people who knew the tasks well, felt she had the diplomatic skills, political sense, and understanding to do it.
If there’s a clue to where she’ll look for inspiration, it might be the leader she says most commands her respect: Pope Francis. The first Latin American to lead the Vatican has pursued a relatively modern papacy engaged with social issues and—perhaps also relevant to Lagarde—has to work with cardinals who see themselves as his rivals and as future pontiffs. The leader that disappoints her most is Aung San Suu Kyi of Myanmar, a Nobel Peace Prize winner who has presided over the persecution of minority Muslims in her predominantly Buddhist nation.
Lagarde is interested in issues like inequality and the economic impact of climate change, which are relevant to the ECB. However, these stray outside the central bank’s narrow mandate of price stability. If Lagarde wants to update the organization, her first step may be to investigate why it’s struggling to achieve even that goal; to that end, she may initiate the first comprehensive review since 2003 of how the organization operates.
While at the IMF, Lagarde went out of her way to bolster her profile and reputation for openness, writing a blog and speaking to all types of journalists, including giving a 2011 interview to Vogue, in which she declared a passion for Chanel. She was known for walking to work in Washington, complete with security detail. Sheets, the former U.S. Treasury undersecretary, says that she played a key role in bringing the IMF into the modern age. “The institution is no longer your father’s IMF,” he says. “It’s more plugged in to the zeitgeist, which is absolutely essential for remaining relevant in the debate.”
The one topic that Lagarde is expected to engage in loudly at the ECB is female empowerment. While the IMF’s track record under her tenure isn’t especially impressive, with women making up about a fifth of the 29 senior managers listed on its website, she did appoint its first female chief economist, Gita Gopinath, in 2018. Still, Lagarde likes to recount that her own interview upon joining the IMF in 2011 took place before an entirely male panel. Her arrival at the ECB will be déjà vu: She’ll be the only woman on the Governing Council, at least until the arrival of Isabel Schnabel, a new German nominee for the Executive Board.
The men who will be her new colleagues, however, should be on notice. Not too long ago, when Lagarde was picked up at the airport during a visit to Europe, she gave one of her official greeters a once-over, inspecting him head-to-toe, and then grumbled that, while wearing jeans was probably acceptable on a Sunday, forgetting to shave was not. —
With Viktoria Dendrinou and Helene Fouquet ""
Espérons que l'on nous comptera pas parmi les rasés!.
Pour reprendre le fil de ce fil je colle ici un article copié il y a une semaine sur le site de Bloomberg. C'est juste à titre informatif car cela nous concerne tous en tant que membres de la zone €uro qui vient d'installer une nouvelle cheftaine (je déteste le cheffe des orthographystériques, on dirait de l'espagnol qu'on entend à longueur de journée sur les chantiers du BTP : jeffe, mais c'est en mode macho).
" Christine Lagarde, First Woman to Head the ECB, Faces Peril on All Sides
Mario Draghi’s successor is going to need all her political and technocratic skills to maneuver European monetary policy toward growth, in spite of bureaucracy, nationalism, populism, and just plain parsimony.
Christine Lagarde will inherit two gifts when she takes over the presidency of the European Central Bank, both temporary and both from Mario Draghi. The first is a symbol that will be literally handed to her by the outgoing ECB president: a golden bell used to call the central bank’s policymakers to order. It’s an object that she will ceremonially pass on to her own successor in eight years. The second gift is a fresh round of monetary stimulus, pushed through by Draghi in his final weeks, that should put off the next decision to raise interest rates—always politically fraught—until at least 2022.
That may sound like the promise of a smooth transition, but it’s not. Already, Lagarde’s leadership skills are being tested by two other things Draghi’s leaving behind: rifts among ECB policymakers brought on by unhappiness over his final round of pump priming; and their mounting concern that the central bank’s efforts to revive the euro zone economy are being undermined by stingy national governments.
The 63-year-old starts in Frankfurt—at the ECB’s headquarters overlooking the River Main—on Nov. 1 as the central bank’s first female president. It’s the latest step in a trailblazing career that includes being France’s first female finance minister—significantly, through the global financial crisis—and the first woman to head the International Monetary Fund. Lagarde spent two decades as a lawyer, rising to become chairman of the Chicago-based firm Baker McKenzie. Now she’ll oversee the world’s second-biggest currency in a diverse, 19-nation economy for which a single monetary policy sometimes seems an ill fit. While members of the decision-making Governing Council attend as Europeans, not as representatives of their country, they inevitably bring views rooted in their cultural history.
relates to Christine Lagarde, First Woman to Head the ECB, Faces Peril on All Sides
To this challenge, Lagarde brings a different skill set than her predecessors. She’s the first ECB chief neither trained as an economist nor experienced as a central banker. Indeed, she’s publicly admitted she hates math. Unlike Draghi, who studied under Nobel laureates to gain an economics Ph.D. from Massachusetts Institute of Technology and who used to run the Bank of Italy, Lagarde isn’t likely to dig deep into monetary mechanics and neo-Keynesian theory. Instead, she’ll probably rely heavily on the ECB’s hordes of experts for advice while she crafts diplomatic solutions to vexing problems, according to multiple sources who spoke to Bloomberg on condition of anonymity so they could express themselves openly.
“Throughout her career, Lagarde has been a synthesizer, a moderator, and an arbiter in the way she acted in the international community, and that’s how I’d see she would lead the ECB,” says Nathan Sheets, a former undersecretary for international affairs at the U.S. Treasury. “She’ll be good at finding common ground—also with the political leadership of Europe—and if past performance is any guide, she’ll help the institution shine.”
The ECB needs a bit of shine. A decade of crisis-fighting has pushed it to its limits, and for all Draghi has done to defend the single currency, he’s leaving deep scars behind. Trillions of euros of stimulus failed to lift inflation, opening unprecedented dissent between those colleagues who backed his policies, from negative interest rates to bond purchases, and those losing faith that ever-more easing is the right solution. The policy rift is a good example. Governors from economically conservative economies such as Germany— home to the parsimonious Bundesbank and its hard-currency credentials—the Netherlands, and Austria opposed Draghi’s stimulus package. Southern European nations supported it. The outgoing ECB president contributed to the divisions. His pledge in 2012 to do “whatever it takes” to defend the euro, quantitative easing in 2015, and a final easing push in September were all largely go-it-alone initiatives that irritated some of his peers.
Being the next Super Mario isn’t going to be part of Lagarde’s portfolio. Her style is to come to issues without preconceived ideas and then lean on colleagues to examine every angle of a problem, according to people who know her. Once she’s convinced of an argument or a path by her staff, she goes all-out to defend the position. Her detractors, on the other hand, say she follows that advice to a fault.
Her negotiating virtues were evident during the Greek financial crisis, when Lagarde’s IMF, the European Union, and the ECB formed the so-called troika that would set and enforce bailout terms for Athens. During an eleventh-hour crisis meeting in June 2015—when many participants had lost interest in Greek Prime Minister Alexis Tsipras’s lengthy explications and were distracting themselves on their phones—Lagarde never stopped listening to the Greek side, diligently and determinedly asking questions and taking notes. On another occasion, she defused tensions by handing around bags of M&Ms.
Her willingness to listen isn’t likely to include a tolerance for waffling and pointless long-windedness. “Lagarde runs a very tight and disciplined ship,” says Mark Sobel, U.S. representative at the IMF from 2015-18. “She often told participants to put down their iPhones and pay attention. During her tenure, the Board adopted a presumption that interventions should be no longer than four minutes. She quickly sought to enforce the limit, and would begin to tap her microphone after the four minutes lapsed.”
That kind of discipline and political dexterity could be crucial in persuading governments to do more to support the euro zone economy. She’s built warm relationships with German Chancellor Angela Merkel and former Finance Minister Wolfgang Schaeuble, who has had occasional run-ins with the ECB. Schaeuble’s successor, Olaf Scholz, has welcomed her appointment, and French President Emmanuel Macron is said to trust her.
It’s a tricky balancing act. While the IMF has a remit to advise member states directly and publicly—for example, urging Germany this year to beef up its digital infrastructure—ECB presidents must be careful when stepping on policy terrain that governments are sensitive about. Irk too many member states and they may come back and threaten the independence of the ECB. Both Draghi and his predecessor Jean-Claude Trichet repeatedly urged politicians to deliver structural reforms and fiscal support, to no avail.
At Governing Council meetings, Lagarde will be one of 25 policymakers, each with an equal vote if consensus can’t be reached, and most with far deeper monetary policy experience than she has. Some of her new colleagues were themselves candidates in the race to succeed Draghi. Lagarde told Bloomberg Television last month that she’ll “start with teamwork” in her new role, allowing disagreements but, once a decision is made, moving together. She also said she had hesitated over taking the job but, after consulting people who knew the tasks well, felt she had the diplomatic skills, political sense, and understanding to do it.
If there’s a clue to where she’ll look for inspiration, it might be the leader she says most commands her respect: Pope Francis. The first Latin American to lead the Vatican has pursued a relatively modern papacy engaged with social issues and—perhaps also relevant to Lagarde—has to work with cardinals who see themselves as his rivals and as future pontiffs. The leader that disappoints her most is Aung San Suu Kyi of Myanmar, a Nobel Peace Prize winner who has presided over the persecution of minority Muslims in her predominantly Buddhist nation.
Lagarde is interested in issues like inequality and the economic impact of climate change, which are relevant to the ECB. However, these stray outside the central bank’s narrow mandate of price stability. If Lagarde wants to update the organization, her first step may be to investigate why it’s struggling to achieve even that goal; to that end, she may initiate the first comprehensive review since 2003 of how the organization operates.
While at the IMF, Lagarde went out of her way to bolster her profile and reputation for openness, writing a blog and speaking to all types of journalists, including giving a 2011 interview to Vogue, in which she declared a passion for Chanel. She was known for walking to work in Washington, complete with security detail. Sheets, the former U.S. Treasury undersecretary, says that she played a key role in bringing the IMF into the modern age. “The institution is no longer your father’s IMF,” he says. “It’s more plugged in to the zeitgeist, which is absolutely essential for remaining relevant in the debate.”
The one topic that Lagarde is expected to engage in loudly at the ECB is female empowerment. While the IMF’s track record under her tenure isn’t especially impressive, with women making up about a fifth of the 29 senior managers listed on its website, she did appoint its first female chief economist, Gita Gopinath, in 2018. Still, Lagarde likes to recount that her own interview upon joining the IMF in 2011 took place before an entirely male panel. Her arrival at the ECB will be déjà vu: She’ll be the only woman on the Governing Council, at least until the arrival of Isabel Schnabel, a new German nominee for the Executive Board.
The men who will be her new colleagues, however, should be on notice. Not too long ago, when Lagarde was picked up at the airport during a visit to Europe, she gave one of her official greeters a once-over, inspecting him head-to-toe, and then grumbled that, while wearing jeans was probably acceptable on a Sunday, forgetting to shave was not. —
With Viktoria Dendrinou and Helene Fouquet ""
Espérons que l'on nous comptera pas parmi les rasés!.
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on va laisser notre sympathique égérie trouver la solution au problème épineux qu'elle a trouvé dans sa hotte en débarquant !
je l'évoque en sujet "courant" outre fil !
mais c'est une anglophile patentée, elle n'y perdra donc pas son latin, pour rester dans le langage des "cygnes" !
ballerinement
hub'
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- EddieCochran+
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Puisque ce jeudi 7 novembre débute la période de souscription de l'introduction en Bourse de la FDJ je colle ici un article de Capital en ligne à fins d'informations générales présentant les contours de cette opération de privatisation des vices contraires aux bonnes mœurs qui rapportent un argent sans odeur, fors de sainteté fiscale.
" ENTREPRISES ET MARCHÉS
FRANÇAISE DES JEUX (FDJ) : LE PRIX DE L’ACTION EST CONNU, FAUT-IL ACHETER ?
FRANÇAISE DES JEUX
NICOLAS GALLANT PUBLIÉ LE 07/11/2019 À 8H50
Française des Jeux (FDJ) : faut-il souscrire des actions à l’introduction en Bourse ?
La période de souscription à l’introduction en Bourse de la Française des Jeux (FDJ) débute ce jeudi 7 novembre 2019. Certains éléments incitent à prudence, mais le dossier ne manque pas d’atouts.
La Française des Jeux (FDJ), à ce jour détenue majoritairement par l’Etat, s’apprête à débarquer en Bourse. Une opération qui sera une des plus importantes de 2019 à la Bourse de Paris, aux côtés de Verallia, l’ex-pôle verre de Saint-Gobain. Les particuliers pourront souscrire des actions dès le début de la période de souscription, à partir de ce jeudi 7 novembre. “Le principe de cette privatisation a été approuvé dans le cadre de la loi Pacte afin d’alimenter le Fonds pour l’Innovation. Comme expliqué par Martin Vial, commissaire aux participations de l’Etat, l’Etat n’a pas besoin de rester majoritaire au capital d’une société ne touchant pas la souveraineté du pays”, relève Nicolas Chéron, responsable de la recherche marchés chez Binck.fr (groupe Saxo Bank).
“Sans compter que la majorité de l’argent collecté par l’Etat ne provient pas des dividendes de la FDJ mais de la taxe sur les jeux de hasard, qui a atteint les 3,3 milliards d’euros en 2018”, ajoute l’expert. Les Français vont ainsi avoir la possibilité de prendre une participation dans cette société héritière de la Loterie Nationale, créée en 1933. L’Etat devrait vendre 52% des parts de la FDJ pour conserver 20% des actions en circulation. Les autres actionnaires - aux profils très variés... et parfois inattendus - verront leurs parts inchangées : l’Union des blessés de la face et de la tête (9,23%), la Fédération André Maginot pour les Anciens combattants (4%) et les salariés (5%).
Une valeur de croissance au profil défensif, avec de solides positions
La n°1 de la FDJ, Stéphane Pallez, a réitéré son ambition de renforcer sa position de premier opérateur de loterie en France et de devenir un acteur international de référence dans le secteur des jeux et des services. Rappelons qu’avec 15,8 milliards d’euros de mises en 2018, la FDJ est déjà la deuxième loterie européenne et la quatrième dans le monde. “En 2019, les résultats ont également été de bonne facture. Sur les 9 premiers mois de l’année, les mises ont augmenté de 8% par rapport à 2018 et les dirigeants prévoient un chiffre d’affaires record d’environ 1,9 milliard d’euros en 2019 pour un total de mises de 16,9 milliards d’euros”, souligne Nicolas Chéron.
La Française des Jeux, dont le monopole sur les jeux de grattage, de tirage et sur les paris sportifs en point de vente physique a été confirmé pour une période de 25 ans, “reversera 80% des bénéfices en dividendes pour ses actionnaires”, rapporte en outre Nicolas Chéron. La FDJ est une entreprise très rentable, avec une marge opérationnelle qui pourrait atteindre 19% cette année et plus de 20% d'ici à 2025, selon le groupe. Son chiffre d’affaires “a augmenté de 5% par an en moyenne au cours des 25 dernières années et le groupe a distribué 130 millions d’euros de dividendes l’an dernier. (...) Les investisseurs considèrent qu’il s’agit de l’opération de privatisation de l’année à la Bourse de Paris”, souligne de son côté Christopher Dembik, responsable de la recherche macroéconomique chez Saxo Bank.
Une opération fructueuse pour l’État français
“Le secteur monopolistique en France, les revenus en hausse régulière, le peu d’endettement ou encore la promesse d’un rendement élevé grâce à un taux de redistribution de dividendes égal à 80% du résultat net (selon le document de base envoyé à l’AMF), sont autant de facteurs qui nous laissent penser que l’opération devrait être un succès pour l’État français”, juge pour sa part Vincent Boy, analyste marché chez le courtier IG France.
Pour l’État français, “l’opération semble très positive car il conservera le versement annuel des taxes et impôts divers à hauteur de 3,5 milliards d’euros ou encore les dividendes sur les 20% du capital qu’il conserve. Par ailleurs, la FDJ devra lui verser 380 millions d’euros d’ici à juin 2020 afin de conserver son monopole. Et la privatisation de la FDJ devrait permettre de lancer les privatisations de l’État français et d’accélérer les dotations au fonds pour l'innovation et l'industrie”, rapporte l’expert. Initié en 2018 avec une enveloppe d’1,6 milliard d’euros, l’État prévoit de le doter de 10 milliards d’euros grâce notamment à ce type d’opération.
Avantages substantiels pour les actionnaires particuliers
“Le gouvernement souhaite que l'opération connaisse le plus grand succès possible”, a souligné le commissaire aux Participations de l’Etat Martin Vial. “Le but est de redonner confiance aux petits porteurs et de rendre de nouveau attrayant les marchés boursiers, desquels les investisseurs se sont détournés ces dernières années. Et de fait, l’opérateur de jeu a essayé de rendre cet investissement attractif sur plusieurs aspects”, indique Nicolas Chéron. Une décote de 2% sera proposée aux petits porteurs et une onzième action sera offerte pour 10 actions détenues pendant 18 mois. Un avantage significatif pour les investisseurs particuliers, s’ils conservent effectivement les titres au-delà de cette période...
Des sujets de préoccupation
Reste que certains aspects sont moins favorables. “Les résultats de 2019 et 2020 pourraient être fortement minorés du fait des coûts liés à l’introduction en Bourse ainsi que du versement des 380 millions d’euros à l’État attendus avant juin 2020”, relève en effet Vincent Boy. Par ailleurs, “ce n’est pas la première fois qu’une société détenue par l’État s’introduit en bourse et les opérateurs ont encore le goût amer du parcours boursier d’EDF, introduite à 33 euros et désormais sous les 10 euros”, rappelle de son côté Nicolas Chéron.
Enfin, les valeurs combinant visibilité et croissance régulière ont été très prisées par les investisseurs en actions ces derniers trimestres, si bien qu’elles affichent des niveaux de valorisation historiquement élevés. D’où le risque d’un ajustement à la baisse pour ce type de valeurs...
Faut-il souscrire ?
“Même si les conditions semblent alléchantes et le groupe solide, il n’est absolument pas certain que l’introduction en bourse de la FDJ soit un succès, ni que les cours de son action s’apprécient dans les mois à venir”, juge Nicolas Chéron. Les conditions de marché à l’heure actuelle sont en effet très particulières. Alors que les indices boursiers flirtent avec leurs plus hauts historiques, seule une poignée de valeurs mène la danse et les autres compartiments comme les petites et moyennes capitalisations sont totalement délaissés.
“Si l’introduction de la FDJ devait correspondre à un haut de cycle boursier à moyen terme, il se pourrait que certains opérateurs sortent par prudence et fassent baisser le titre. D’autre part, le terrain des IPO (introductions en Bourse) est miné ces derniers temps. Que ce soit aux Etats-Unis ou en Europe, le nombre d’actions nouvellement cotées qui évoluent sous leur cours d’introduction bat des records”, souligne l’expert, qui appelle à la prudence. D’autant qu’en cas de chute du cours de Bourse sous le prix d’introduction, ce dernier fait office de résistance, d’obstacle en cas de tentative de remontée de l’action...
“L’investisseur prudent aura peut-être intérêt à laisser passer l’introduction et les premières semaines de cotation pour voir comment la FDJ est accueillie par les marchés”, suggère Nicolas Chéron, qui rappelle qu’il n’est pas inhabituel de voir l’action d’une société évoluer sous son cours d’introduction dans les semaines qui suivent l’opération. Les investisseurs prudents devraient ainsi rester sur le banc de touche et ne pas participer à l’opération, et attendre une configuration intéressante du point de vue de l’analyse technique pour se placer sur l’action.
Les investisseurs moins averses au risque et au long cours pourront quant à eux souscrire des titres en les conservant au moins 18 mois. Interrogée sur la valorisation de la FdJ dans le cadre de cette opération, Stéphane Pallez a indiqué sur BFM Business que "la fourchette est exactement 3,150 à 3,8 milliards", soit 16,50 à 19,90 euros par action - des niveaux de prix globalement conformes aux attentes des analystes (qui s'attendaient à une fourchette de 15-20 euros). Pour Mme Pallez, l'introduction en Bourse "est l'opportunité de se réintéresser à la Bourse sur un produit facile. Quand on est un particulier, il faut investir sur la durée. On a un rendement attractif sur une valeur moins risquée du fait de son profil, de la sécurité de son monopole sur 25 ans". ""
Ça ésiste "réintéresser" ? Encore du francaoui journaleusique ?
Puisque ce jeudi 7 novembre débute la période de souscription de l'introduction en Bourse de la FDJ je colle ici un article de Capital en ligne à fins d'informations générales présentant les contours de cette opération de privatisation des vices contraires aux bonnes mœurs qui rapportent un argent sans odeur, fors de sainteté fiscale.
" ENTREPRISES ET MARCHÉS
FRANÇAISE DES JEUX (FDJ) : LE PRIX DE L’ACTION EST CONNU, FAUT-IL ACHETER ?
FRANÇAISE DES JEUX
NICOLAS GALLANT PUBLIÉ LE 07/11/2019 À 8H50
Française des Jeux (FDJ) : faut-il souscrire des actions à l’introduction en Bourse ?
La période de souscription à l’introduction en Bourse de la Française des Jeux (FDJ) débute ce jeudi 7 novembre 2019. Certains éléments incitent à prudence, mais le dossier ne manque pas d’atouts.
La Française des Jeux (FDJ), à ce jour détenue majoritairement par l’Etat, s’apprête à débarquer en Bourse. Une opération qui sera une des plus importantes de 2019 à la Bourse de Paris, aux côtés de Verallia, l’ex-pôle verre de Saint-Gobain. Les particuliers pourront souscrire des actions dès le début de la période de souscription, à partir de ce jeudi 7 novembre. “Le principe de cette privatisation a été approuvé dans le cadre de la loi Pacte afin d’alimenter le Fonds pour l’Innovation. Comme expliqué par Martin Vial, commissaire aux participations de l’Etat, l’Etat n’a pas besoin de rester majoritaire au capital d’une société ne touchant pas la souveraineté du pays”, relève Nicolas Chéron, responsable de la recherche marchés chez Binck.fr (groupe Saxo Bank).
“Sans compter que la majorité de l’argent collecté par l’Etat ne provient pas des dividendes de la FDJ mais de la taxe sur les jeux de hasard, qui a atteint les 3,3 milliards d’euros en 2018”, ajoute l’expert. Les Français vont ainsi avoir la possibilité de prendre une participation dans cette société héritière de la Loterie Nationale, créée en 1933. L’Etat devrait vendre 52% des parts de la FDJ pour conserver 20% des actions en circulation. Les autres actionnaires - aux profils très variés... et parfois inattendus - verront leurs parts inchangées : l’Union des blessés de la face et de la tête (9,23%), la Fédération André Maginot pour les Anciens combattants (4%) et les salariés (5%).
Une valeur de croissance au profil défensif, avec de solides positions
La n°1 de la FDJ, Stéphane Pallez, a réitéré son ambition de renforcer sa position de premier opérateur de loterie en France et de devenir un acteur international de référence dans le secteur des jeux et des services. Rappelons qu’avec 15,8 milliards d’euros de mises en 2018, la FDJ est déjà la deuxième loterie européenne et la quatrième dans le monde. “En 2019, les résultats ont également été de bonne facture. Sur les 9 premiers mois de l’année, les mises ont augmenté de 8% par rapport à 2018 et les dirigeants prévoient un chiffre d’affaires record d’environ 1,9 milliard d’euros en 2019 pour un total de mises de 16,9 milliards d’euros”, souligne Nicolas Chéron.
La Française des Jeux, dont le monopole sur les jeux de grattage, de tirage et sur les paris sportifs en point de vente physique a été confirmé pour une période de 25 ans, “reversera 80% des bénéfices en dividendes pour ses actionnaires”, rapporte en outre Nicolas Chéron. La FDJ est une entreprise très rentable, avec une marge opérationnelle qui pourrait atteindre 19% cette année et plus de 20% d'ici à 2025, selon le groupe. Son chiffre d’affaires “a augmenté de 5% par an en moyenne au cours des 25 dernières années et le groupe a distribué 130 millions d’euros de dividendes l’an dernier. (...) Les investisseurs considèrent qu’il s’agit de l’opération de privatisation de l’année à la Bourse de Paris”, souligne de son côté Christopher Dembik, responsable de la recherche macroéconomique chez Saxo Bank.
Une opération fructueuse pour l’État français
“Le secteur monopolistique en France, les revenus en hausse régulière, le peu d’endettement ou encore la promesse d’un rendement élevé grâce à un taux de redistribution de dividendes égal à 80% du résultat net (selon le document de base envoyé à l’AMF), sont autant de facteurs qui nous laissent penser que l’opération devrait être un succès pour l’État français”, juge pour sa part Vincent Boy, analyste marché chez le courtier IG France.
Pour l’État français, “l’opération semble très positive car il conservera le versement annuel des taxes et impôts divers à hauteur de 3,5 milliards d’euros ou encore les dividendes sur les 20% du capital qu’il conserve. Par ailleurs, la FDJ devra lui verser 380 millions d’euros d’ici à juin 2020 afin de conserver son monopole. Et la privatisation de la FDJ devrait permettre de lancer les privatisations de l’État français et d’accélérer les dotations au fonds pour l'innovation et l'industrie”, rapporte l’expert. Initié en 2018 avec une enveloppe d’1,6 milliard d’euros, l’État prévoit de le doter de 10 milliards d’euros grâce notamment à ce type d’opération.
Avantages substantiels pour les actionnaires particuliers
“Le gouvernement souhaite que l'opération connaisse le plus grand succès possible”, a souligné le commissaire aux Participations de l’Etat Martin Vial. “Le but est de redonner confiance aux petits porteurs et de rendre de nouveau attrayant les marchés boursiers, desquels les investisseurs se sont détournés ces dernières années. Et de fait, l’opérateur de jeu a essayé de rendre cet investissement attractif sur plusieurs aspects”, indique Nicolas Chéron. Une décote de 2% sera proposée aux petits porteurs et une onzième action sera offerte pour 10 actions détenues pendant 18 mois. Un avantage significatif pour les investisseurs particuliers, s’ils conservent effectivement les titres au-delà de cette période...
Des sujets de préoccupation
Reste que certains aspects sont moins favorables. “Les résultats de 2019 et 2020 pourraient être fortement minorés du fait des coûts liés à l’introduction en Bourse ainsi que du versement des 380 millions d’euros à l’État attendus avant juin 2020”, relève en effet Vincent Boy. Par ailleurs, “ce n’est pas la première fois qu’une société détenue par l’État s’introduit en bourse et les opérateurs ont encore le goût amer du parcours boursier d’EDF, introduite à 33 euros et désormais sous les 10 euros”, rappelle de son côté Nicolas Chéron.
Enfin, les valeurs combinant visibilité et croissance régulière ont été très prisées par les investisseurs en actions ces derniers trimestres, si bien qu’elles affichent des niveaux de valorisation historiquement élevés. D’où le risque d’un ajustement à la baisse pour ce type de valeurs...
Faut-il souscrire ?
“Même si les conditions semblent alléchantes et le groupe solide, il n’est absolument pas certain que l’introduction en bourse de la FDJ soit un succès, ni que les cours de son action s’apprécient dans les mois à venir”, juge Nicolas Chéron. Les conditions de marché à l’heure actuelle sont en effet très particulières. Alors que les indices boursiers flirtent avec leurs plus hauts historiques, seule une poignée de valeurs mène la danse et les autres compartiments comme les petites et moyennes capitalisations sont totalement délaissés.
“Si l’introduction de la FDJ devait correspondre à un haut de cycle boursier à moyen terme, il se pourrait que certains opérateurs sortent par prudence et fassent baisser le titre. D’autre part, le terrain des IPO (introductions en Bourse) est miné ces derniers temps. Que ce soit aux Etats-Unis ou en Europe, le nombre d’actions nouvellement cotées qui évoluent sous leur cours d’introduction bat des records”, souligne l’expert, qui appelle à la prudence. D’autant qu’en cas de chute du cours de Bourse sous le prix d’introduction, ce dernier fait office de résistance, d’obstacle en cas de tentative de remontée de l’action...
“L’investisseur prudent aura peut-être intérêt à laisser passer l’introduction et les premières semaines de cotation pour voir comment la FDJ est accueillie par les marchés”, suggère Nicolas Chéron, qui rappelle qu’il n’est pas inhabituel de voir l’action d’une société évoluer sous son cours d’introduction dans les semaines qui suivent l’opération. Les investisseurs prudents devraient ainsi rester sur le banc de touche et ne pas participer à l’opération, et attendre une configuration intéressante du point de vue de l’analyse technique pour se placer sur l’action.
Les investisseurs moins averses au risque et au long cours pourront quant à eux souscrire des titres en les conservant au moins 18 mois. Interrogée sur la valorisation de la FdJ dans le cadre de cette opération, Stéphane Pallez a indiqué sur BFM Business que "la fourchette est exactement 3,150 à 3,8 milliards", soit 16,50 à 19,90 euros par action - des niveaux de prix globalement conformes aux attentes des analystes (qui s'attendaient à une fourchette de 15-20 euros). Pour Mme Pallez, l'introduction en Bourse "est l'opportunité de se réintéresser à la Bourse sur un produit facile. Quand on est un particulier, il faut investir sur la durée. On a un rendement attractif sur une valeur moins risquée du fait de son profil, de la sécurité de son monopole sur 25 ans". ""
Ça ésiste "réintéresser" ? Encore du francaoui journaleusique ?
- hubert.de.boisredon
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Date d'inscription : 03/01/2019
Localisation : lyon
fichtre
mon cher eddie
no problem, merci pour le digest pas trop indigeste !
aucun risque au prix envisagé, fourchette obligatoire, c'est de bonne guerre, sans "gueules cassées" de pov' mémoire remise bêtement au (mauvais) goût du jour !
cela dit, plus value limitée, conséquemment, si pas aléatoire !
au final, opération aller-et-retour conseillée, bénéf "queue-de-cerise", c'est mieux que rien, mine de …. pas grand' chose !
cela dit, si on veut gagner le gros lot, le choix est vaste parmi la panoplie de ce goinfre absolu !
évidemment
hub'
mon cher eddie
no problem, merci pour le digest pas trop indigeste !
aucun risque au prix envisagé, fourchette obligatoire, c'est de bonne guerre, sans "gueules cassées" de pov' mémoire remise bêtement au (mauvais) goût du jour !
cela dit, plus value limitée, conséquemment, si pas aléatoire !
au final, opération aller-et-retour conseillée, bénéf "queue-de-cerise", c'est mieux que rien, mine de …. pas grand' chose !
cela dit, si on veut gagner le gros lot, le choix est vaste parmi la panoplie de ce goinfre absolu !
évidemment
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Date d'inscription : 15/10/2017
65 -
Je vois les choses comme vous Cher Hubert. Je suis passé sur le site de la FDJ qui présente cette intro (Cf. le lien >CLIC-CLAC< ) qui nous apprend que pour le particulier la mise est limitée à 500 €, qu'il faut garder les actions 10 mois pour bénéficier de la prime d'une action gratuite pour 10 souscrites.
Si le prix d'achat d'une action est de 20 €, avec 5000 € ça fait 250 actions donnant droit à 25 actions gratos soit 500 € de prime. A la limite, si l'action ne bouge pas ou ne baisse pas au cours des 18 mois ces 500 € seront le gain minimum, ou s'il y a baisse, il faudra espérer que les 275 actions ne perdront pas globalement ces 500 €.
Tout dépendra des marchés et des instructions - discrètes - qui pèseront sur les Zinzins*. Soit ils décident d'amorcer une baisse modérée vers le 16ème mois pour inciter le vulgum pecus boursicorum à vendre de peur de perdre la mise de départ et ainsi rafler le maximum d'actions de petits porteurs hors PEA (les banquiers et courtiers et l'Etat ont cependant intérêt à préserver les souscripteurs de PEA à condition de ne pas tomber sur un khôn fini comme JMM qui a foutu le binz à l'époque). Soit les marchés font grimper la cote afin d'honorer - le temps qu'il faudra - le vœu du BOF d'encourager les frileux Gaulois basdelainiers à entrer plus passionnément dans le monde de la Bourse et à investir dans les secteurs de l'innovation francaouis ou européens.
Wait and see.
Pour qui ça intéressera voici d'autres infos très instructives sur FDJ :
" ENTREPRISES ET MARCHÉS
CES ACTIONNAIRES INATTENDUS DE LA FRANÇAISE DES JEUX (FDJ)
FRANÇAISE DES JEUX
PUBLIÉ LE 06/11/2019 À 8H37 MIS À JOUR LE 06/11/2019 À 11H01
Ces actionnaires inattendus de la Française des jeux (FDJ)
Des anciens combattants, une PME marseillaise, une mutuelle de fonctionnaires... A la Française des Jeux, les actionnaires historiques ont des profils très variés... et parfois surprenants.
La période de souscription à l'introduction en Bourse de la Française des Jeux (FDJ) va bientôt débuter : le groupe s'apprête à accueillir de nouveaux investisseurs. Ses actionnaires actuels, au profil éclectique, sont parfois inattendus. Outre l'Etat français, ils se partagent chaque année près de 40 millions d'euros de dividendes. A lui seul, l'Etat détient 72% du capital de l'opérateur de jeux, et doit descendre aux alentours de 20% à l'issue de la privatisation. Les salariés de la FdJ détiennent 5% du capital, et les courtiers-distributeurs de jeux (Soficoma) sont présents à hauteur de 3%. Le reste, soit 20% du capital, est détenu par sept actionnaires historiques, tous des anciens "émetteurs de billets" de loterie.
""
La suite sous le clapet magique :
Il y a fort à parier que si ces gaziers-là arrivent aux 10% qui représentent pour l'heure le plafond fixé par le gouvernement à tous les Zinzins* intéressés, ils sauront tout mettre en œuvre pour que l'action ne "se casse pas la gueule" ! Espérons... Prions aussi que l'Etat avé ses 20% soit un actionnaire à la hauteur contrairement à ce qu'il est d'habitude. Il y va de la crédibilité de cette opération, car l'histoire des privatisations n'est pas un long fleuve tranquille loin s'en fut !
* A l'attention de notre jeune public : Zinzins, diminutif jargonnier de Investisseurs Institutionnels (banques, assurances, fonds de pension, courtiers, Etats, etc...).
Je vois les choses comme vous Cher Hubert. Je suis passé sur le site de la FDJ qui présente cette intro (Cf. le lien >CLIC-CLAC< ) qui nous apprend que pour le particulier la mise est limitée à 500 €, qu'il faut garder les actions 10 mois pour bénéficier de la prime d'une action gratuite pour 10 souscrites.
Si le prix d'achat d'une action est de 20 €, avec 5000 € ça fait 250 actions donnant droit à 25 actions gratos soit 500 € de prime. A la limite, si l'action ne bouge pas ou ne baisse pas au cours des 18 mois ces 500 € seront le gain minimum, ou s'il y a baisse, il faudra espérer que les 275 actions ne perdront pas globalement ces 500 €.
Tout dépendra des marchés et des instructions - discrètes - qui pèseront sur les Zinzins*. Soit ils décident d'amorcer une baisse modérée vers le 16ème mois pour inciter le vulgum pecus boursicorum à vendre de peur de perdre la mise de départ et ainsi rafler le maximum d'actions de petits porteurs hors PEA (les banquiers et courtiers et l'Etat ont cependant intérêt à préserver les souscripteurs de PEA à condition de ne pas tomber sur un khôn fini comme JMM qui a foutu le binz à l'époque). Soit les marchés font grimper la cote afin d'honorer - le temps qu'il faudra - le vœu du BOF d'encourager les frileux Gaulois basdelainiers à entrer plus passionnément dans le monde de la Bourse et à investir dans les secteurs de l'innovation francaouis ou européens.
Wait and see.
Pour qui ça intéressera voici d'autres infos très instructives sur FDJ :
" ENTREPRISES ET MARCHÉS
CES ACTIONNAIRES INATTENDUS DE LA FRANÇAISE DES JEUX (FDJ)
FRANÇAISE DES JEUX
PUBLIÉ LE 06/11/2019 À 8H37 MIS À JOUR LE 06/11/2019 À 11H01
Ces actionnaires inattendus de la Française des jeux (FDJ)
Des anciens combattants, une PME marseillaise, une mutuelle de fonctionnaires... A la Française des Jeux, les actionnaires historiques ont des profils très variés... et parfois surprenants.
La période de souscription à l'introduction en Bourse de la Française des Jeux (FDJ) va bientôt débuter : le groupe s'apprête à accueillir de nouveaux investisseurs. Ses actionnaires actuels, au profil éclectique, sont parfois inattendus. Outre l'Etat français, ils se partagent chaque année près de 40 millions d'euros de dividendes. A lui seul, l'Etat détient 72% du capital de l'opérateur de jeux, et doit descendre aux alentours de 20% à l'issue de la privatisation. Les salariés de la FdJ détiennent 5% du capital, et les courtiers-distributeurs de jeux (Soficoma) sont présents à hauteur de 3%. Le reste, soit 20% du capital, est détenu par sept actionnaires historiques, tous des anciens "émetteurs de billets" de loterie.
""
La suite sous le clapet magique :
- >Clapet Magique<:
- En 1933, lors du lancement de la Loterie Nationale, divers organismes se lancent sur un marché secondaire (mais néanmoins officiel): ils achètent des billets de loterie vendus 100 francs, et les revendent en "dixièmes" pour proposer un prix plus abordable et toucher un plus grand nombre de joueurs. Le premier de ces actionnaires originels, avec 9,2% du capital de la Française des Jeux, est l'Union des Blessés de la Face et de la Tête (UBFT) et sa Fondation des "Gueules cassées". Initialement dédiée aux soldats défigurés lors de la guerre de 1914-18, "l'association est encore bien vivante aujourd'hui et apporte une assistance aux militaires blessés en opérations extérieures, aux gendarmes, pompiers, et policiers. Le dividende de la FdJ, entre 8 et 12 millions d'euros bruts par an, est notre seule ressource", souligne auprès de l'AFP Olivier Roussel, directeur de l'UBFT.
Environ un millier de personnes par an bénéficient d'aides sociales directes, des rentes mais aussi "des allocations pour accéder à une maison de retraite, ou un versement ponctuel pour adapter un logement. On aide aussi les conjoints survivants et les veuves des pensionnés de guerre", détaille-t-il. Au-delà de son "devoir de mémoire", l'association des Blessés de la Face et de la Tête aide aussi les hôpitaux militaires à s'équiper et dédie des fonds à la recherche sur le cerveau et à la traumatologie crânio-maxillo-faciale.
A ses côtés, avec 4,2% du capital, la Fédération Maginot des Anciens combattants regroupe des vétérans de la deuxième guerre mondiale, de la guerre d'Algérie ou de conflits plus récents. Cette association participe à des actions "à caractère mémoriel", comme des voyages scolaires à Verdun ou sur les plages du débarquement, finance des hôpitaux militaires et un Ehpad, et gère un centre de vacances à prix réduit.
Certains petits actionnaires de la FdJ ont encore aujourd'hui un lien avec le secteur des jeux, comme la Comalo (Compagnie marseillaise de loteries, 0,6% du capital), ou encore les Emissions Berger (0,4%), entreprise spécialisée dans les jeux d'argent et de hasard. Les buralistes - qui détiennent 2% du capital via la confédération des bureaux de tabac - sont aussi impliqués dans le réseau de distribution de la Française des Jeux, une grande partie des points de vente étant situés dans des bars-tabac.
Mais d'autres porteurs de titres ont aujourd'hui un lien moins évident avec les jeux d'argent et de hasard, comme la Mutuelle du Trésor - celle des fonctionnaires du Trésor public, aujourd'hui intégrée à la Masfip (Mutuelle d'action sociale des finances publiques) qui détient 1%, ou encore une petite société familiale marseillaise, IDSUD, qui pointe à 2,62%. IDSUD était initialement spécialisée dans le change mais s'est ensuite diversifiée dans les énergies renouvelables et le voyage. Elle perçoit en moyenne 3 millions d'euros de dividendes chaque année, qui "constituent l'essentiel" de ses produits financiers, selon ses comptes.
Après l'entrée en Bourse, ces actionnaires historiques continueront à toucher des dividendes. Leur participation ne devrait pas non plus changer. A part pour ceux qui veulent profiter de l'occasion pour renforcer leur présence au capital. L'Union des Blessés de la Face et de la Tête souhaite ainsi passer de 9,2% à 10%, a-t-elle indiqué à l'AFP.
Il y a fort à parier que si ces gaziers-là arrivent aux 10% qui représentent pour l'heure le plafond fixé par le gouvernement à tous les Zinzins* intéressés, ils sauront tout mettre en œuvre pour que l'action ne "se casse pas la gueule" ! Espérons... Prions aussi que l'Etat avé ses 20% soit un actionnaire à la hauteur contrairement à ce qu'il est d'habitude. Il y va de la crédibilité de cette opération, car l'histoire des privatisations n'est pas un long fleuve tranquille loin s'en fut !
* A l'attention de notre jeune public : Zinzins, diminutif jargonnier de Investisseurs Institutionnels (banques, assurances, fonds de pension, courtiers, Etats, etc...).
- hubert.de.boisredon
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Date d'inscription : 03/01/2019
Localisation : lyon
fichtre
merci eddie, les béotiens auront pigé que les zinzins sont pas leurs voisins de province de naissance !
au-delà de cette "potacherie", le potentiel de gain ou de plus-value court terme est limité, je suis donc ok pour la souscription et donc la revente rapide, sans attendre le délai prescrit pour l'obtention de la gratos d'une pour dix !
c'est une entreprise rentable, c'est sûr, mais la bourse n'est pas qu'un jeu, remember EDF et Air France, ça a pas été probant pour les souscripteurs, hein !
plus value possible, certes, mais de 20 % maxi, soit 1000 euros pour une mise de 5000 dans le mois suivant la souscription, en raison du niveau actuel du CAC, lequel vient de battre des records historiques, et donc prudence supplémentaire, je rappelle pas l'adage boursier classique !
ce n'est que mon avis, et non point une assurance tous risques, me demandez pas de dédommagement en cas de retour de bâtons, ou de crise endémique impromptue !
évidemment
hub'
merci eddie, les béotiens auront pigé que les zinzins sont pas leurs voisins de province de naissance !
au-delà de cette "potacherie", le potentiel de gain ou de plus-value court terme est limité, je suis donc ok pour la souscription et donc la revente rapide, sans attendre le délai prescrit pour l'obtention de la gratos d'une pour dix !
c'est une entreprise rentable, c'est sûr, mais la bourse n'est pas qu'un jeu, remember EDF et Air France, ça a pas été probant pour les souscripteurs, hein !
plus value possible, certes, mais de 20 % maxi, soit 1000 euros pour une mise de 5000 dans le mois suivant la souscription, en raison du niveau actuel du CAC, lequel vient de battre des records historiques, et donc prudence supplémentaire, je rappelle pas l'adage boursier classique !
ce n'est que mon avis, et non point une assurance tous risques, me demandez pas de dédommagement en cas de retour de bâtons, ou de crise endémique impromptue !
évidemment
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- EddieCochran+
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66 -
Y a-t-il un moyen de garder la main pour faire cet aller-retour sur la souscription FDJ ? En France, contrairement à mes cousins helvètes, j'ai l'impression que je suis pieds et poings liés par le monopole des professionnels (banques, courtiers, placiers, etc) par lesquels il est nécessaire de passer pour "accéder à la corbeille".
J'aimerais un truc souple, je suis les cours sur Bloomberg et alii, j'achète, je vends je put et je call à l'envi sans être obligé de m'en référer au Saint-Siège.
Y a-t-il un moyen de garder la main pour faire cet aller-retour sur la souscription FDJ ? En France, contrairement à mes cousins helvètes, j'ai l'impression que je suis pieds et poings liés par le monopole des professionnels (banques, courtiers, placiers, etc) par lesquels il est nécessaire de passer pour "accéder à la corbeille".
J'aimerais un truc souple, je suis les cours sur Bloomberg et alii, j'achète, je vends je put et je call à l'envi sans être obligé de m'en référer au Saint-Siège.
- hubert.de.boisredon
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Date d'inscription : 03/01/2019
Localisation : lyon
fichtre
ben, eddie, c'est quoi ces questions, m'enfin !
monopole, ou que sais je, pour souscrire ou investir, faut passer par un intermédiaire, une banque physique ou en ligne !
une fois les résultats de l'introduction connus, il peut y avoir des surprises, à savoir une réduction des titres alloués en cas de surabondance des souscriptions, ça arrivait de temps en temps, autrefois, il suffit ensuite de passer un ordre de vente correspondant aux quantités obtenues !
juste un bémol, il arrive que les souscriptions ne soient pas incorporées immédiatement en portef' titres, le temps que les codes provisoires soient officialisés, auquel cas, impossible d'opérer en mode "net", il faut traiter directement avec l'agence physique, ou par fil ou web avec une banque "nettesque", mais ça peut s'avérer plus délicat !
rien de trop compliqué, au final, les phynanciers ne vous mettent pas de menottes aux poignets, ils sont ouverts, intelligents et sympas, un peu comme mézigue, d'ailleurs, sans vouloir me jeter des fleurs, c'est pas mon style !
nonobstant
hub'
ben, eddie, c'est quoi ces questions, m'enfin !
monopole, ou que sais je, pour souscrire ou investir, faut passer par un intermédiaire, une banque physique ou en ligne !
une fois les résultats de l'introduction connus, il peut y avoir des surprises, à savoir une réduction des titres alloués en cas de surabondance des souscriptions, ça arrivait de temps en temps, autrefois, il suffit ensuite de passer un ordre de vente correspondant aux quantités obtenues !
juste un bémol, il arrive que les souscriptions ne soient pas incorporées immédiatement en portef' titres, le temps que les codes provisoires soient officialisés, auquel cas, impossible d'opérer en mode "net", il faut traiter directement avec l'agence physique, ou par fil ou web avec une banque "nettesque", mais ça peut s'avérer plus délicat !
rien de trop compliqué, au final, les phynanciers ne vous mettent pas de menottes aux poignets, ils sont ouverts, intelligents et sympas, un peu comme mézigue, d'ailleurs, sans vouloir me jeter des fleurs, c'est pas mon style !
nonobstant
hub'
- hubert.de.boisredon
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Date d'inscription : 03/01/2019
Localisation : lyon
addendum
juste une précision à la relecture !
je m'occupais pas de ce genre de job, eddie, étant donné mon statut de cadre hors classification, j'avais d'autres occupations, pour info, plus "sémillantes" !
mais je maitrise bien le truc pour être un peu addict de la "chose" boursière, call et put inclus (lol) !
nonobstant (bis)
hub'
juste une précision à la relecture !
je m'occupais pas de ce genre de job, eddie, étant donné mon statut de cadre hors classification, j'avais d'autres occupations, pour info, plus "sémillantes" !
mais je maitrise bien le truc pour être un peu addict de la "chose" boursière, call et put inclus (lol) !
nonobstant (bis)
hub'
- hubert.de.boisredon
- Messages : 5036
Date d'inscription : 03/01/2019
Localisation : lyon
par mon cap
je m'aperçois tardivement que le ratio cours-bénéfice est finalement un tantinet élevé, ça réduit de facto le niveau de plus-value potentiel, et j'avais zappé cet élément !
bref, du coup, et eu égard au record battu today par le CAC 40, au plus haut historique, je vais pas souscrire finalement, surtout pour un gain potentiel fort entamé par le contexte dont je fais état !
et puis, entre nous, vendre des actions connotées par l'addiction plus ou moins dangereuse de certains de nos compatriotes, c'est encourager ce vice !
pas bien tout ça !
vraiment
hub'
je m'aperçois tardivement que le ratio cours-bénéfice est finalement un tantinet élevé, ça réduit de facto le niveau de plus-value potentiel, et j'avais zappé cet élément !
bref, du coup, et eu égard au record battu today par le CAC 40, au plus haut historique, je vais pas souscrire finalement, surtout pour un gain potentiel fort entamé par le contexte dont je fais état !
et puis, entre nous, vendre des actions connotées par l'addiction plus ou moins dangereuse de certains de nos compatriotes, c'est encourager ce vice !
pas bien tout ça !
vraiment
hub'
- EddieCochran+
- Messages : 7134
Date d'inscription : 15/10/2017
72 -
Vous me prenez au dépourvu, j'avais appris (il y a longtemps, l'on parlait du Price Earning Ratio ou du Coefficient de Capitalisation des Résultats) que plus le ratio C/B était élevé, plus les investisseurs prévoyaient une forte croissance à venir. Est-ce toujours le cas ?
Je pense que comme moi vous consultez le site Café de la Bourse. Voici un graphique prévisionnel de l'attractivité du titre FDJ en fonction de son niveau capitalisation possible:
Un aller-retour me tente, mais au petit pied, juste 2000 € pour voir, malgré votre alerte sur le CCR élevé (un Coefficient de "Capitulation" de Résultats donc ).
Il me reste le we pour y réfléchir.
Vous me prenez au dépourvu, j'avais appris (il y a longtemps, l'on parlait du Price Earning Ratio ou du Coefficient de Capitalisation des Résultats) que plus le ratio C/B était élevé, plus les investisseurs prévoyaient une forte croissance à venir. Est-ce toujours le cas ?
Je pense que comme moi vous consultez le site Café de la Bourse. Voici un graphique prévisionnel de l'attractivité du titre FDJ en fonction de son niveau capitalisation possible:
Un aller-retour me tente, mais au petit pied, juste 2000 € pour voir, malgré votre alerte sur le CCR élevé (un Coefficient de "Capitulation" de Résultats donc ).
Il me reste le we pour y réfléchir.
- hubert.de.boisredon
- Messages : 5036
Date d'inscription : 03/01/2019
Localisation : lyon
Re: Vous ne connaissez rien à la Finance, mais elle vous connaît bien !
Mer 13 Nov - 20:16
fichtre
juste un encart rapidos !
le montant des souscriptions atteint ce soir 600 millions d'euro, c'est donc carton plein !
je n'en ai pas pris
finalement
hub'
juste un encart rapidos !
le montant des souscriptions atteint ce soir 600 millions d'euro, c'est donc carton plein !
je n'en ai pas pris
finalement
hub'
- EddieCochran+
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Date d'inscription : 15/10/2017
Re: Vous ne connaissez rien à la Finance, mais elle vous connaît bien !
Mer 13 Nov - 20:47
74 -
Piqué sur le site des echas en ligne de ce jour :
"Conditions attractives
Selon le dernier pointage communiqué par le ministère de l'Economie et des Finances, la part réservée aux particuliers, soit l'offre publique ouverte (OPO), a déjà été souscrite pour une valeur de 500 millions d'euros, un montant à comparer à l'objectif théorique de 600 millions. La période de souscription s'achevant le 19 novembre pour le grand public et les salariés, Bercy rassure les particuliers, indiquant que « tout le monde sera servi ».
Les particuliers ont droit à des conditions attractives avec, en premier lieu, une décote de 2 % par rapport au prix de l'action proposé aux actionnaires institutionnels, soit, à ce stade, une « fourchette » de 16,17 à 19,50 euros, à comparer à 16,50-19,90 euros pour les « zinzins ». Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, qui veut faire de la mise en Bourse de la FDJ une opération de relance de l'actionnariat populaire, a également décidé l'octroi d'une action complémentaire, sous certaines conditions, pour dix actions achetées et conservées pendant dix-huit mois.
Appétence
La tendance du premier jour se confirme aussi du côté des investisseurs institutionnels. Alors que le placement global est « très largement » sursouscrit, Bercy souligne la demande d'investisseurs français long terme, ainsi que l'appétence d'acteurs internationaux. La période de souscription pour les investisseurs internationaux s'achèvera le 20 novembre à midi, l'OPO étant close la veille. Le prix de l'action sera fixé le 20 novembre, par arrêté du ministre de l'Economie et des Finances après avis de la Commission des participations et des transferts. La cotation des actions FDJ débutera le 21 novembre. Au vu du succès du placement global, le prix de l'action proposé aux institutionnels pourrait être dans le haut de la fourchette. "
--------------------
C'est énervant cette siglomania désordonnée : OPO once upon in the time signifiait Opération Portes Ouvertes. L'on ne respecte plus rien!
" tout le monde sera servi" à commencer par Madame je suppose dans le pays autoproclamé de la galanterie qui enregistre son 133ème muliericide.
Piqué sur le site des echas en ligne de ce jour :
"Conditions attractives
Selon le dernier pointage communiqué par le ministère de l'Economie et des Finances, la part réservée aux particuliers, soit l'offre publique ouverte (OPO), a déjà été souscrite pour une valeur de 500 millions d'euros, un montant à comparer à l'objectif théorique de 600 millions. La période de souscription s'achevant le 19 novembre pour le grand public et les salariés, Bercy rassure les particuliers, indiquant que « tout le monde sera servi ».
Les particuliers ont droit à des conditions attractives avec, en premier lieu, une décote de 2 % par rapport au prix de l'action proposé aux actionnaires institutionnels, soit, à ce stade, une « fourchette » de 16,17 à 19,50 euros, à comparer à 16,50-19,90 euros pour les « zinzins ». Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, qui veut faire de la mise en Bourse de la FDJ une opération de relance de l'actionnariat populaire, a également décidé l'octroi d'une action complémentaire, sous certaines conditions, pour dix actions achetées et conservées pendant dix-huit mois.
Appétence
La tendance du premier jour se confirme aussi du côté des investisseurs institutionnels. Alors que le placement global est « très largement » sursouscrit, Bercy souligne la demande d'investisseurs français long terme, ainsi que l'appétence d'acteurs internationaux. La période de souscription pour les investisseurs internationaux s'achèvera le 20 novembre à midi, l'OPO étant close la veille. Le prix de l'action sera fixé le 20 novembre, par arrêté du ministre de l'Economie et des Finances après avis de la Commission des participations et des transferts. La cotation des actions FDJ débutera le 21 novembre. Au vu du succès du placement global, le prix de l'action proposé aux institutionnels pourrait être dans le haut de la fourchette. "
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C'est énervant cette siglomania désordonnée : OPO once upon in the time signifiait Opération Portes Ouvertes. L'on ne respecte plus rien!
" tout le monde sera servi" à commencer par Madame je suppose dans le pays autoproclamé de la galanterie qui enregistre son 133ème muliericide.
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