Pour les passionnés d'automobiles

Le groupe PSA mise gros sur les véhicules d'occasion....


Une "terre de conquête". C’est ainsi que le groupe PSA a décrit mercredi 12 septembre le marché du véhicule d’occasion, lors d’une conférence organisée à Paris. Depuis l’annonce du plan stratégique "Push to pass" en 2016, le constructeur voit dans l’occasion "une solution pour aller chercher de nouveaux clients et élargir sa base", résume Marc Lechantre, le directeur de l’unité créée spécialement en 2016 pour appréhender ce marché.
Objectif pour PSA? Devenir un opérateur multi-marques présent sur tous les canaux (C2C, B2B ou encore C2B) et parvenir, d’ici 2021, à 800 000 ventes, pour un profit multiplié par quatre dans le véhicule d’occasion. Pour l’année dernière, le groupe estime ses ventes de véhicules d’occasion à 480 000 unités, et vise une progression à environ 600 000 en 2018. Une montée en puissance rendue notamment possible par l’intégration des résultats de la nouvelle marque Opel-Vauxhall.

"Le véhicule d’occasion est un moyen d’accompagner, voire d’anticiper l’internationalisation du groupe PSA au global", justifie Marc Lechantre, ex-directeur stratégie et planification corporate du groupe au Lion.

 Marc Lechantre reste confiant sur la capacité de son unité à capter une partie du marché chinois dans l’occasion, qui devrait "doubler d’ici à 2021 à presque 25 millions de véhicules".

ESSAI Tesla Model 3 : Si elle arrive un jour…

L’avantage d’avoir de la famille au Canada, c’est que l’on peut souvent essayer des modèles non importés en Europe. Malheureusement pour moi, la plupart de mes cousins n’apprécient pas les voitures américaines. Ils préfèrent les japonaises ou les coréennes, considérées là-bas comme plus fiables. Cela dit, cette année, j’ai eu une merveilleuse surprise en débarquant à Ottawa, l’épouse de l’un d’eux ayant récemment acquis une Tesla Model 3. Il ne m’a donc pas fallu longtemps pour la convaincre de me prêter non pas sa clé, mais bien son Smartphone, seul outil nécessaire pour réveiller la berline californienne !


Inspiration « S »
Evidemment, avant de partir pour un essai digne de ce nom, impossible d’échapper au tour de la propriétaire et à ses nombreuses explications et recommandations ! Ces dernières ne seront pas vaines. Car cette berline se distingue à bien des égards de sa grande sœur Model S. La première chose qui saute aux yeux est bien sûr la ligne. Si cette Tesla – dans sa robe rouge vermeil – reprend le profil général du Model S, elle se révèle un rien plus courte (4.694 mm contre 4.978), a droit à une malle quelque peu rabotée et s’offre un regard distinct.
Cela dit, l’ensemble des codes esthétiques confère à cette berline une certaine sportivité qui n’a rien à envier à son aînée. En plus, cette Tesla occupe une belle surface sur la route grâce à ses roues repoussées aux quatre coins de la carrosserie et à un empattement s’élevant à 2.875 mm. Bref, elle devrait faire tourner bien des têtes si elle débarque bien sur le Vieux Continent en 2019.

Centre de contrôle
Une fois à bord, l’ambiance Tesla, plus que jamais minimaliste, fait son effet. A l’avant, à l’exception d’un écran tactile de 15,4 pouces, des commandes des vitres et du volant entouré par un levier de boîte et un autre pour activer les clignotants, il n’y a aucune commande directe à portée de main. La raison ? Tous les réglages (essuie-glaces, rétroviseurs, ouverture des portes ou encore de la boîte à gants, activation des phares…) se font à partir de l’écran qui est situé à bonne hauteur sur la console centrale (ce qui est profondément débile NDLR).

Cet écran est bien sûr aussi le centre de contrôle de toutes les autres fonctions liées à la conduite en elle-même. Dans l’onglet « Driving », on peut ainsi choisir entre trois modes pour la direction, deux pour la réponse à l’accélérateur et  deux autres pour la récupération d’énergie. Intéressant, non ? Par contre, on regrettera amèrement l’absence d’un tableau de bord « classique », le conducteur étant amené à quitter la route des yeux pour se référer à l’écran central. Il faudra donc savoir évaluer la vitesse à laquelle on évolue.

Douceur de vivre
Question « vie à bord », on est loin d’être déçu. L’habitacle se dote d’une finition qui ne craint pas trop la critique (seuls quelques plastiques sont moins flatteurs à l’œil)  et accueille sans stress le conducteur et trois passagers.

A l’arrière, l’espace aux jambes est correct et la garde au toit est loin d’être ridicule. Tous les gabarits devraient donc s’y retrouver. Un quatrième passager pourra éventuellement s’installer sur la place du milieu à l’arrière, mais se sentira vite à l’étroit. Berline premium oblige, cet intérieur s’apparente aussi à un salon cosy. Et ce, surtout si l’on opte pour une sellerie en cuir et pour un toit panoramique, une dernière option qui renforce le sentiment d’espace à bord. Enfin, d’un point de vue purement pratique, il faut noter que les dossiers de la banquette arrière se rabattent selon le principe 1/3 – 2/3 et que le coffre bien dessiné dispose d’un volume utile d’environ 500 litres. Véhicule électrique oblige, on peut aussi compter sur un second coffre pour des petits bagages. Celui-ci est logé sous le capot avant.
Agile et vive !  
Alimenté par une batterie de 75 kWh, le moteur électrique de notre Model 3 développe une puissance de 306 chevaux (et 563Nm), une puissance envoyée aux seules roues arrière. Considérée comme la version « autonomie étendue », cette Model 3 peut donc en théorie parcourir entre 450 et 500 km sur une seule charge. Et en rechargeant cette variante sur un Superchargeur, on peut logiquement récupérer 270 km d’autonomie en 30 minutes. Pas mal !

Lors de notre prise en main, nous n’avons bien sûr pas eu l’occasion de vérifier cette donne. Par contre, nous n’avons pas pu remettre en question le dynamisme de cette berline. Grâce aux batteries logées dans le plancher, on dispose en effet d’un centre de gravité bas et d’une bonne répartition des masses. Bref, dès que les virages commencent à s’enchaîner, on réalise que la berline de 1.741 kg est plaquée au sol certes, mais surtout que la direction offre un retour d’informations correct.

Les accélérations, pour leur part, sont vives, conducteur et passagers pouvant même être cloués à leur siège en cas de pression vive de l’accélérateur. Tesla, pour sa part, laisse entendre que le 0 à 100 km/h est expédié en 5,1 secondes et que la vitesse de pointe s’élève à 225 km/h. En outre, quelle que soit la configuration choisie, la récupération d’énergie ne se veut pas « brutale » lorsqu’on lève le pied de l’accélérateur. Pour couronner le tout, le conducteur et ses passagers ne souffrent pas trop des imperfections de la route, les suspensions de la Model 3 offrant un bon compromis entre souplesse et fermeté. Cette Tesla apparaît donc comme une invitation à un voyage paisible, le silence de fonctionnement en étant la cerise sur le gâteau.

Le modèle essayé a coûté à sa propriétaire environ 43.000€, prix final incluant quelques options et la déduction de la prime de l’Ontario (14.000 dollars canadiens, soit un peu moins de 10.000 €). Evidemment, comme cette Tesla ne laisse pas indifférent, on se dit que son arrivée en Europe pourrait quelque peu troubler la concurrence avec un rapport « prix / design / prestations » plus que favorable. Mais les problèmes de Tesla ne sont pas un très bon signe : que feront les propriétaires de ces autos en cas de faillite de l’entreprise ?
Conclusion
Une fois de plus, Tesla produit là une voiture très intéressante même si elle n’est pas exempte de défauts. De là à prendre le risque de prévoir de l’acheter alors qu’on ne sait pas quand (et si) elle va arriver en Europe…

Le Model 3 en quelques chiffres…  

Moteur : Electrique à induction sans balais,  306 chevaux, 563 Nm

Transmission : roues arrière motrices

Boîte : automatique à 1 rapport

L x l x H (en m) : 4,67 × 1,82 × 1,42

Volume du coffre (l) : 500

Poids à vide (kg) : 1.741

0 à 100 km/h (sec.) : 5,1

Prix : +/- 53.000€ TVAC  

Puissance : 306 ch

V-max : 225 km/h

Conso. mixte : 0 l/100km

CO₂ : 0 g/km

J'ai vu un tas de chiffres, mais rien sur l'autonomie, le temps de charge, la durée de vie des batteries....

Bilan carbone ? Zéro ? Ça m'étonnerait !

SCOOP : Bentley passe à l’électrification !

La Bentley Continental GT hybride rechargeable devrait reprendre la motorisation de la Porsche Panamera Hybrid : un moteur V6 essence assorti d’un module électrique qui libère la puissance modique de 462 chevaux. C’est en tout cas ce qu’il délivre sous le capot de l’Allemande. A moins que Bentley préfère opter pour la solution la plus musclée de la Panamera Turbo SE-Hybrid forte de 680 ch ? Dans les deux cas, comme le Bentayga hybride déjà présenté, le coupé devrait être capable de rouler durant 50 kilomètres en mode zéro-émissions.

Les changements esthétiques seront en tout cas mineurs, et les tests de l’auto sans camouflage confirment une présentation imminente.

Vous cherchez un job dans l'automobile ? Il suffit de traverser la rue !

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SCOOP : la 911 Turbo tombe le toit

Sur ce prototype, le camouflage est important mais on peut déjà deviner les premiers éléments de style. Le plus flagrant est probablement le bandeau lumineux qui réunit les feux arrière à la manière de la 911 coupé déjà repérée par nos photographes depuis quelques mois. On trouve aussi un aileron arrière ainsi qu’une aérodynamique retravaillée pour cette version Turbo.

La puissance viendra bien sûr d’un 6 cylindres à double turbo. Porsche n’a évidemment pas encore communiqué sur le nombre de chevaux de ce nouveau modèle mais cette nouvelle 911 Turbo comptera sur une cavalerie supérieure au modèle actuel et devrait atteindre les 600 chevaux.

Voici une multitude de RTA classées par marques de véhicules :
il y a même certains véhicules anciens pour les collectionneurs . servez vous ...

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Cette MGB vous paraît classique ? Elle ne l’est pas du tout !

Après notamment Jaguar et sa Type E électrique, c’est donc au tour de RBW de ressusciter une ancienne en l’électrisant. Entouré de fournisseurs spécialisés, RBW va produire trente exemplaires de ces MG très spéciales.




Animé par un moteur de 70 kW (94 chevaux), ces modèles effectuent le 0 à 96 km/h en huit secondes et pointent à 169 km/h. Quant à l’autonomie, elle est annoncée à 250 km.


Le prix du modèle est fixé à 83.000 livres sterling (soit environ 93.000€) et les clients intéressés devront d’abord s’acquitter d’un chèque de 10% de la valeur de la voiture.

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Renault pour sa pub pourrait offrir cette Mégane au prince Harry, ça lui en ferait deux de bien fougueuses.

Eddie a écrit:...fougueuses....

Vous prononcez à l'anglaise, cher Eddie . En français : fugueuses ! 

Pub des Pompes Funèbres...

Que reste-t-il comme vrais 4×4 sur le marché ?

Parmi ceux-ci, il y a bien évidemment le Jeep Wrangler, figure intemporelle du tout-terrain. Le nouveau modèle a consenti à quelques arrangements avec la modernité, mais conserve une adorable rusticité et une boîte de transfert mécanique avec blocage de différentiel qui lui permet de « grimper aux arbres ». Son tout aussi célèbre pendant allemand, le Mercedes Classe G, n’a plus grand-chose de rustique, dans son comportement routier en tout cas. Il n’en reste pas moins un redoutable franchisseur, notamment parce qu’il est toujours équipé de trois différentiels verrouillables individuellement, chose unique sur le marché.

Le tout nouveau Suzuki Jimny est de la même trempe. Sa construction simple, ses solutions mécaniques éprouvées et sa compacité en font un excellent choix pour les garde-forestiers (entre autres). D’autant qu’il remise les boutons de commande de sa boîte courte pour en revenir à un bon vieux levier. Il devrait ainsi continuer à ravir le cœur des utilisateurs ruraux orphelins du Lada Niva, et qui n’ont pas la nécessité d’un encombrant pick-up. Ces derniers, bien que désormais civilisés, restent redoutables en conditions difficiles, notamment car ils sont (quasi-)systématiquement équipés d’une transmission intégrale qui leur permet de passer partout.
A lire aussi Top 5 des SUV compacts de la rédaction
Plus luxueux, le nouveau Ssanyong Rexton rend lui aussi bien des services hors du bitume. Sa construction à châssis séparé est un gage de robustesse, mais cela ne l’empêche pas de se montrer très luxueux et confortable sur route. Il se pose ainsi en alternative au Toyota Land Cruiser, véhicule favori des missions difficiles depuis que les Mitsubishi Pajero et Nissan Patrol ont déposé les armes. Et puis bien sûr, lorsqu’on évoque le tout-terrain, impossible de ne pas citer les Range Rover et Land Rover Discovery… en attendant le retour de l’indestructible Defender !

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LAWRENCE 45 a écrit:

Que reste-t-il comme vrais 4×4 sur le marché ?

(...)

La Jeep, ça c'était mon 4x4 de prédilection once upon a time ! J'en ai fait des kilomètres avé. Et qu'est-ce qu'on tombait comme filles au volant de ce mythique joujou estra crac boum hue...

Cette Peugeot futuriste ne vous rappelle rien ?

Baptisé e-Legend Concept, le modèle reprend le dessin de la Peugeot 504 Coupé produite entre 1969 et 1983. Les traits sont fins, élégants, et la voiture se profile comme un véritable coupé trois volumes, chose devenue rare. Les doubles optiques avant, désormais à LED, et la lunette verticale sont autant de références au passé. Peugeot a même poussé le détail jusqu’à retravailler son logo d’époque !



Point de nostalgie en revanche à bord ou sous le capot. Taillé pour quatre personnes, l’habitacle se veut épuré et futuriste, et un mode « autonome » permet d’escamoter le volant pour gagner en espace. Sous le plancher, les batteries de 100 kWh alimentent un moteur de 340 kW pendant 600 kilomètres en cycle WLTP ! La fonction de charge rapide permettrait de récupérer 500 km en 25 minutes seulement !


Avec un tel concept, Peugeot rend la voiture électrique terriblement attirante !

Voici la nouvelle limousine de Donald Trump

Avant de profiter de ce nouveau modèle, Trump utilisait le modèle qui était destiné à Obama. Celui-ci, livré il y a 10 ans, portait la douce appellation de “The Beast”.

Le poids du colosse est estimé à 8 tonnes, ce qui est principalement dû au lourd blindage ainsi qu’aux autres équipements de sécurité dont est équipé le véhicule.

Cette limousine résiste, entre autres, aux attaques de gaz toxiques et de grenades antichars. Même les mines ne lui font pas peur !

La construction de ce bolide a duré environ 5 ans et GM (General Motors) a pu facturer la somme de 12,5 millions de dollars à la Maison Blanche. La voiture serait “inébranlable”. De plus, ils ont tout prévu, y compris une “poche” de sang en cas d’accident. Sait-on jamais…

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Il me semble que j'ai vu à la BBC cette limousine arriver dans une résidence de la Couronne britannique où  le Donuts était attendu pour dîner avé le PM britannique lors de sa dernière visite officielle au R-U. J'avais été impressionné par la largeur de la porte quand un gazier du Secret sévices l'a ouverte. Selon le commentateur , elle serait si lourde qu'on ne peut pas l'ouvrir de l'intérieur, sauf à être Schwarzy des années Conan. Il faut également une carte à puce électronique codée pour déloquer la porte de l'estérieur.

Cette bagnole est vraiment une bête. Je me demande si l'on arriverait à draguer sur la Croisette avé. Si la nana n'arrive pas à ouvrir la porte c'est foutu dès le départ.

Nos 5 Porsche préférées de tous les temps

Voilà en tous les cas les modèles que nos journalistes aimeraient avoir dans leur garage !



Porsche 911 « 991 »

Quoi de plus logique de retrouver la 911 tout en haut de la hiérarchie ? La dernière génération a récolté un véritable plébiscite. Il faut dire qu’avec 24 variantes différentes, la « 991 » en offre pour tous les goûts. Parmi les variantes les plus citées, on trouve la Targa et son original toit rétractable, la GT2 RS et la GT3 RS.



Porsche 911 « 993 »

La génération « 993 » représente pour beaucoup la quintessence de l’espèce 911. Non seulement par son design d’une grande pureté dont le charme reste intact 25 ans après le lancement du modèle. Mais aussi parce qu’elle est la dernière génération à avoir été équipée de moteur six-cylindres à plat refroidis par air. Et tant qu’à faire, une Targa ou une GT2 nous plairaient bien.



Porsche Cayman

Fort du succès du Boxster, Porsche en dévoilera une version coupé quelques années plus tard. Et ce sera un carton ! Il faut dire que le Cayman reprend tous les attributs de la 911 et y ajoute une touche de fun bienvenue. Cette « baby 911 » se montre en outre aussi plaisante et efficace à conduire que sa grande sœur. Alors pourquoi se priver ?



Porsche 928

Invitée surprise de ce classement, la 928 charme une partie de notre rédaction. Produite de la fin des années 70 à 1995, la 928 est la première voiture de la marque à s’équiper d’un moteur V8. Cette « mal aimée » des Porschistes en fait aujourd’hui une voiture injustement méconnue… et un véritable collector !



Porsche Carrera GT

La Carrera GT, c’est la supercar de Porsche des années 90. Produite à 1.270 exemplaires seulement, elle incarnait tout ce que la marque proposait de meilleur, que ce soit en termes de design ou de technologie. Son moteur V10 de 612 chevaux faisait d’elle l’une des premières voitures de série à dépasser les 300 km/h en vitesse de pointe.

Cette sportive espagnole a fait trembler Ferrari !

La Pegaso Z-102 intrigue et charme grâce à diverses caractéristiques. Tout d’abord, elle n’a été produite qu’à très peu d’exemplaires entre 1952 et 1958 : 84 seulement et il n’en reste qu’une soixantaine aujourd’hui. Ensuite, il faut savoir que ses très riches clients avaient la possibilité de l’habiller en passant par 4 carrossiers différents, dont Touring Superleggera : coupé, cabriolet ou encore Spider en compétition. Car oui, sa mécanique était digne des voitures de course de l’époque. Avec son V8 à compresseur le plus élaboré de la gamme, elle était capable d’atteindre 243 km/h ! Pas mal pour l’époque, qu’en dites-vous ?

À l’origine, son V8 de 2,5 litres, dont la fiche technique impressionnait, développait 140 chevaux. Mais au fil des évolutions, celui-ci n’a cessé d’être plus puissant pour atteindre jusqu’à 260 chevaux.

Ma participation à ce sujet éminemment masculin porté par d'éminents membres du forum, ne me remerciez pas.

Ah ce fil est autorisé aux filles aussi ?

J'en profite alors

(je l'ai déjà postée sur LP mais je ne m'en lasse pas)