Pour les passionnés d'automobiles

Une Ferrari pour le prix d’une F-16

Un crédit pour votre Ferrari


Cette Ferrari 290 MM de 1956 est une voiture de course d’origine carrossée par Scaglietti. Elle a effectué sa première sortie en piste dans une épreuve alors peu connue, où elle terminera à la deuxième place : les Mille Miglia.

Par la suite, elle concourra lors de courses aussi célèbres que les 24H du Nürburgring, la Targa Florio, les 100 km de Buenos Aires, et s’illustrera également lors du Grand Prix de Suède et aux 12h de Sebring. C’est d’ailleurs dans la livrée qu’elle arborait lors de l’édition 1957 de cette épreuve d’endurance, la dernière effectuée pour le compte de la Scuderia Ferrari, que son précédent propriétaire l’a entièrement rénovée.

Précisons encore que ce modèle ne fut fabriqué qu’à quatre exemplaires, dont seuls trois subsistent, ce qui peut également expliquer le montant ahurissant atteint.

Les 5 modèles préférés de la rédaction en 2018

Peugeot 508
Belle et racée, la Peugeot 508 a plu à nos journalistes grâce à ses excellentes qualités dynamiques. Elle insuffle un vent de fraicheur au sein du segment des berlines familiales. Tout juste peut-on regretter certains défauts d’ergonomie et une habilité limitée à cause de ses proportions qui s’inspirent de celles d’un coupé.


Suzuki Jimny
Décidemment, il aura marqué les esprits celui-là ! Sa cote d’amour est au plus haut grâce à sa bouille craquante, ses vraies aptitudes en tout-terrain et son petit prix. Land Rover a intérêt à s’en inspirer pour son nouveau Defender ! Attention, il convient de ne pas le prendre pour ce qu’il n’est pas : le Jimny est un vrai 4×4, pas un SUV de ville.

Ford Fiesta ST
Dans la grande tradition des berlines épicées de Ford, la Fiesta ST fait merveille avec son excellent châssis, son moteur 1.5 l à 3 cylindres développant 200 chevaux et son prix de départ de 23.000 €. Joueuse et prévenante comme une GTI des années 80, la ST bénéficie toutefois des dernières technologies de 2018. Un régal !

BMW Série 8
A la fois Docteur Jekyll et Mister Hyde, la BMW Série 8 peut être sauvage comme très docile, surtout dans sa version M850i. On aime la ligne ravageuse de cette voiture qui offre un confort digne d’une GT. Attention toutefois au poids élevé de la bête et de sa consommation qui peut vite grimper en flèche. Une digne héritière de la Série 8 des années 90.

Bentley Continental GT
Sculpturale, tel est le qualificatif qui lui convient le mieux. Rares aujourd’hui sont les voitures qui font un tel effet. A l’instar de sa carrosserie, l’habitacle est traité avec énormément de goût et les très nombreuses possibilités de personnalisation permettent de créer une ambiance ultra-luxueuse ou sportive. Le moteur W12, unique en son genre, est phénoménal. Il arrive à faire oublier le poids conséquent de la voiture qui, aidée par sa transmission intégrale, ne se révèle jamais piégeuse. Un chef d’œuvre, on vous dit !

Lawrence aussi (en sus de la Smart) a un Coupé Continental mais le modèle 2004, il est presque identique et me convient toujours très bien !!!

Faut-il encore acheter une voiture ?

Certains se posent sans doute la question, en ces temps où l’automobile fait face à de nombreuses critiques et à de nouveaux défis pour son avenir. En fait, tout cela dépend de nombreux facteurs, dont votre usage et votre positionnement géographique.



En effet, aujourd’hui on peut tout à fait envisager de se passer de voiture, à condition d’habiter Bruxelles ou une autre grande ville très bien desservie par les transports en commun et les nouveaux services de mobilité. Si l’on réside et travaille dans ces grandes agglomérations, il est alors possible de prendre le tram et le bus pour se rendre au boulot, d’emprunter un vélo partagé pour aller au restaurant avec des amis le soir, et de rentrer en Über ensuite. Et pour rendre visite à Mamie à la campagne ou pour les grosses courses du weekend, une voiture partagée louée sur une plateforme en ligne fait l’affaire !
L’usage de ces solutions multimodales offre de nombreux avantages. En termes financiers tout d’abord : l’achat d’une voiture, son entretien, ses assurances, son carburant, etc. représentent un montant financier important. En termes de facilité ensuite : plus besoin de chercher une place de parking pendant de longues minutes en rentrant chez soi. Et avec moins de voitures, la circulation dans les grandes villes s’en trouverait fluidifiée.
A lire aussi 5 raisons d’acheter une voiture électrique
Malheureusement, ces éventualités ne concernent qu’une partie de la population, et pour beaucoup, surtout en Wallonie où la densité de population est faible et les distances plus longues, posséder une voiture reste un impératif de mobilité incontournable. L’offre de transports est souvent famélique dans les petites et moyennes communes, et les solutions alternatives… rares ou carrément inexistantes.

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Et il faut aussi une tire pour frimer. Dans ce cas, louer une caisse de luxe pour une journée en vue d'arpenter la Croisette ça se conçoit aisément.

N’allez surtout pas croire qu’il s’agit d’une vieille Mustang !

C’est l’histoire d’un projet délirant : la nébuleuse société russe Aviar vient de présenter sa vision du « muscle car » électrique, la R67. Bien que ressemblant à une Ford Mustang Fastback de 1967, il s’agit en fait d’une Tesla Model S recarrossée !

Délirante
Encore à l’état de projet virtuel, la R67 présente des caractéristiques qui font rêver : avec ses 840 ch et ses quatre roues motrices, elle est censée abattre le 0 à 100 km/h en seulement 2,2 sec ! Son couple est tout aussi impressionnant : 966 Nm !
Shelby
En l’absence de tout bruit mécanique, l’Aviar pourrait décevoir les puristes. Heureusement, ses concepteurs ont prévu un système audio qui imitera le son du V8 de la Shelby GT 500. Encore à la recherche de financement pour concrétiser son projet, Aviar donne très peu de détails à propos d’une éventuelle commercialisation de ce véhicule. Peut-être ne s’agit-il là que d’un délire, l’avenir nous le dira !

LAWRENCE 45 a écrit:

N’allez surtout pas croire qu’il s’agit d’une vieille Mustang !

C’est l’histoire d’un projet délirant : la nébuleuse société russe Aviar vient de présenter sa vision du « muscle car » électrique, la R67. Bien que ressemblant à une Ford Mustang Fastback de 1967, il s’agit en fait d’une Tesla Model S recarrossée !

Délirante
(...)

Ou comment marier l'électrique à l'éclectique ! Pour la voiture électrique, la R67 d'Aviar c'est du caviar.

Les 5 Golf les plus étonnantes jamais produites

Elektro Golf
Faisant suite à la crise pétrolière de 1973, l’Elektro Golf a vu le jour trois ans plus tard. A cette époque, la technologie électrique n’en était qu’à ses balbutiements et la voiture ne développait que 27 ch ! Avec une vitesse de pointe d’à peine 80 km/h et une autonomie de 50 km, elle était avant tout destinée à la ville. Produite à 20 exemplaires qui furent principalement utilisés sur le site de l’usine VW ou confiés à des collaborateurs, l’Elektro Golf se transformera en Citystromer électrique sur les Golf 2 et 3.


Golf Harlequin 
A l’instar de la Polo, la Golf 3 a été également déclinée en version Harlequin en 1996. Produite à seulement 264 exemplaires pour les Etats-Unis et le Canada, elle était disponible en 4 couleurs différentes. Aujourd’hui, ces raretés font l’objet d’un culte et les exemplaires survivants sont répertoriés !

Golf VR6
Déclinée à toutes les sauces, la Golf 3 avait sa version exclusive, la VR6. Sous son capot, on retrouvait un V6 avec un angle très fermé (14 degrés) qui présentait l’avantage d’être particulièrement compact et d’avoir l’allonge d’un 6 en ligne. D’une cylindrée de 2.8 litres, ce VR6 développait 174 ch. Une version Synchro à quatre roues motrices a également vu le jour ; elle reprenait le bloc 2.9 de la Corrado fort de 190 ch.

Citi Golf
Lancée en 1984 en Afrique du Sud, la Citi Golf est un pur produit local. Pour satisfaire la demande d’un véhicule simple et meilleur marché que la Golf 2, l’usine locale de Volkswagen a récupéré l’outillage qui avait été utilisé pour assembler la Golf 1 et a créé de toutes pièces la Citi Golf. C’est bien le cas de le dire puisqu’elle s’apparentait à une Golf 1 dont on avait greffé l’avant d’une Golf 2 et qui utilisait des pièces de bon nombre de modèles du groupe VW ! L’opération a connu le succès puisque sa commercialisation ne s’est arrêtée qu’en 2009 !

Golf McDrive Edition
En tant que première voiture électrique au monde conçue spécialement pour aller au McDrive, cette Golf électrique à la teinte spécifique rehaussée d’un liseré jaune cher à l’enseigne de fast food, possède quelques caractéristiques hors du commun. Sa boite à gants chauffante est prévue pour garder les hamburgers à la bonne température tandis que les portes-gobelets sont réfrigérants. Cette voiture restera (heureusement ?) un exemplaire unique crée en partenariat avec Volkswagen et destinée à être vendue aux enchères au profit de la fondation caritative Ronald McDonald.

Skoda passa aussi à l’électricité

Skoda, comme les autres, doit préparer un plan stratégique pour la mobilité électrique. D’ici 2025, la gamme comptera 10 véhicules de ce type et le départ sera donc donné dès 2019 avec la Citigo E, version 100% électrique de la citadine, qui bien sûr est étroitement liée techniquement à la Volkswagen e-Up de la marque mère.
Cette Citigo E promettrait une autonomie de 300 kilomètres, ce qui est amplement suffisant pour une utilisation de proximité. Les modèles électriques suivants reposeront sur la plateforme MEB du groupe Volkswagen, spécialement conçue pour les modèles électriques.
Skoda avait déjà présenté le Vision E, un concept-car de SUV électrique qui entrerait en production en 2020. Peu de temps après, l’offre serait complétée par d’autres modèles électriques de différentes tailles et gammes de prix. Parallèlement, plusieurs modèles hybrides plug-in viendront s’ajouter à la gamme.

Hyundai présente le concept Kite à Bruxelles

A côté de ce concept car, Hyundai mettra surtout en avant ses modèles “verts” à motorisation hybride ou électrique (véhicules à batteries ou à pile à combustible). Hyundai sera par ailleurs présent au Heysel avec une première mondiale. Il ne s’agit pas d’un tout nouveau modèle mais bien de l’i40 restylisée qui inaugure une toute nouvelle motorisation.
L’i40 remaniée se reconnaît à sa nouvelle calandre “cascading grille” et à ses nouveaux coloris intérieurs. La berline, comme le break, peut également compter sur des équipements de sécurité supplémentaires avec, entre autres, l’aide au freinage d’urgence.
Sous le capot, l’i40 à droit à un nouveau 1.6 diesel qui remplace l’ancien 1.7. Cette mécanique, baptisée Smartstream CRDi, satisfait aux normes Euro 6dTemp. Elle délivre 115 ch pour un couple de 280 Nm et est associée de série à une boîte manuelle 6 vitesses. Il existe aussi une version plus puissante, forte de 136 ch et 320 Nm, qui a droit d’office à une boîte de vitesses robotisée à double embrayage et 7 rapports. L’i40 est aussi commercialisée avec un moteur essence 1.6 GDi de 135 ch.

Je viens d'apprendre que, même sans séparation d'un terre-plein central, on peut rouler à 90 km/h sur une route limitée à 80 km/h.

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Je le savais, j'emprunte très souvent une telle configuration de route et j'ai eu la désagréable surprise hier de lire une annonce officielle que des travaux de réaménagements vont être diligentés le premier trimestre 2019 pour remettre cette 3 voies en deux voies sans terre-plein central mais flanquée de voies cyclables et pédestres.
Tous les moyens sont bons pour donner du boulot aux petits copains des TP et ramener les automobilistes dans les clous des 80 km/h. On va voir si un joli rond-point va venir clore le bout de cette nouvelle route. Pour l'instant les GJ anti 80 km/h ne semblent pas avoir lu l'annonce.

Extrait d'un blog.....Ça fait réfléchir !



 Un écologiste forcené (un "yaka" comme on en connait tous) me disait 
> > récemment que la solution était simple:
> >>> "yakaplu" fabriquer du gazole.
> >
> > Lui aussi croyait qu’on « fabriquait » du gazole à la demande.
> >
> > Je m’en vais donc éclairer votre lanterne et vous expliquer comment on 
> > obtient les différents produits issus de la distillation du pétrole. He 
> > oui, une raffinerie n’est ni plus ni moins qu’une distillerie et on 
> > distille le pétrole comme la lavande pour la parfumerie ou le raisin pour 
> > la gnôle.
> >
> > Pour faire simple et en schématisant beaucoup (car en vérité c’est un tout 
> > petit peu plus complexe):
> >
> > 1) On verse du pétrole brut dans une immense cuve et on allume le feu 
> > dessous, très doucement au début: 20°c
> >
> > 2) La cuve commence alors à « dégazer », et on récupère les gaz: propane, 
> > butane, GPL.
> >
> > 3) On augmente le feu vers 150 à 200°c, sortent les vapeurs qui, une fois 
> > condensées donnent les essences de pétroles. D’abord les naphtes, pour la 
> > pétrochimie, puis l’essence pour nos voitures.
> >
> > 4) On augmente encore la température jusque vers 300°c. Montent alors les 
> > huiles: le kérosène pour les avions, le fameux gazole pour nos moteurs 
> > diésel, et le fioul domestique et ainsi de suite.
> >
> > Il ne reste à la fin plus que les résidus: Les bitumes avec lesquels nous 
> > faisons nos routes.
> >
> > Rien ne se perd dans le pétrole.
> >
> > CONCLUSION: On ne fabrique pas du gazole à la demande. Qu’on le veuille ou 
> > pas, qu’on le consomme ou pas, il sort des cuves au cours du process. Et 
> > ce gazole représente 21% de la masse du pétrole brut, ce qui est loin d’être 
> > négligeable. (45% pour l’essence).
> >
> > La question c’est: Qu’est-ce qu’on en fait si on ne le consomme plus?
> >
> > Vers la fin des années soixante, seuls les camions, des bateaux pas trop 
> > gros et quelques rares voitures étaient équipés de moteurs diésel. On ne 
> > consommait pas tout le gazole issu des raffineries. Le surplus était 
> > rejeté à la mer.
> >>> Les compagnies pétrolières, devant ce manque à gagner, se sont alors 
> >>> tournées vers les constructeurs automobiles pour leur demander de 
> >>> développer les moteurs diésel, et c’est ce qu’on fait les constructeurs.
> >
> > Avec de nouveaux alliages acceptant des hautes température de 
> > fonctionnement, des taux de compression plus élevés et l’intégration de 
> > système de suralimentation (les turbos) ils ont obtenus des moteurs diésel 
> > aussi performant que les moteurs à essence, plus fiables, avec une 
> > meilleure longévité et qui consommaient moins. Le succès des moteurs 
> > diésel, aidé par une fiscalité moins âpres sur le gasoil, a donc été 
> > fulgurant.
> >
> > Je me souviens qu’à l’époque, des panneaux publicitaires de 4m sur 3, 
> > faisaient l’apologie du moteur diésel, et la presse vantait dans tous les 
> > articles « l’écologie » du moteur diésel, affirmant qu’il polluait moins 
> > que le moteur à essence.
> >
> > Le problème aujourd’hui, c’est qu’on a inversé la tendance, et qu’il 
> > existe, surtout en France, un gros déséquilibre de la demande entre l’essence 
> > et le gazole. Il faut donc impérativement pour les pétroliers revenir à l’équilibre, 
> > et contrairement ce que croient les gens, il n’est pas question d’éradiquer 
> > les moteurs diésel, au risque de retourner aux années soixante.
> >>> Comment résoudre ce dilemme?
> >>> Sachant qu’entre deux moteurs, les gens choisirons toujours le plus 
> >>> performant, il faut donc faire une campagne de dénigrement du moteur 
> >>> préféré des usagers. On mobilise donc les politiques et la presse, on 
> >>> prend une poignée de fous furieux intégristes écologistes à qui « on 
> >>> bourre le crâne », et c’est parti pour façonner l’opinion publique, et 
> >>> fabriquer le consentement.
> >>> Et vous verrez que quand on sera revenu à l’équilibre (2 véhicules 
> >>> essence pour 1 véhicule diésel) comme par magie, on retrouvera des 
> >>> vertus au gazole. D’autant que le gros problème du diésel c’est le rejet 
> >>> des particules, et qu’il a été résolu par l’adjonction de filtres à 
> >>> particules qui piègent 99% des émissions.

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Kalawasa a écrit:Extrait d'un blog.....Ça fait réfléchir !

 Un écologiste forcené (un "yaka" comme on en connait tous) me disait 
récemment que la solution était simple:
"yakaplu" fabriquer du gazole.
(...)

J'ai trouvé ce rappel à la réalité technique de la distillation (cracking pour les Francaouis) des hydrocarbures très salutaire.

J'ai fureté pour savoir la provenance du billet. J'ai trouvé le bloc-note de uncitoyenindigné qui semble être l'original bien qu'il y est fait référence au chroniqueur du site slate.fr  Gilles Bridier.

Pour qui voudrait lire uncitoyenindigné :
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Pour qui voudrait lire Gilles Bridier sur slate.fr, voici un article sur un  sujet connexe:
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Pour poursuivre dans cette veine, le site de Charles Sannat "Insolentiae Décryptage impertinent, satirique et insolent de l'actualité économique", dans lequel je vous ai sélectionné ceci : « Préférer taxer le carburant plutôt que le travail revient à taxer… le travailleur !! » L’édito de Charles SANNAT""
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La Morgan V8, c’est fini et une révolution se prépare !

Morgan clôture donc son histoire d’amour avec le V8 BMW qui était installé dans plusieurs modèles depuis des années. Non sans avoir oublié de créer deux séries spéciales avec la Plus 8 50^th Anniversary et l’Aero GT.

Pour la suite, le petit constructeur annonce travailler sur une nouvelle carrosserie et une nouvelle plate-forme en aluminium. Ce modèle plus moderne devrait aussi utiliser « un groupe motopropulseur jamais installé auparavant dans une Morgan », selon le constructeur. Celui-ci reste encore mystérieux mais on peut déjà écarter la piste électrique car la firme a déjà annoncé l’EV3. Il pourrait s’agir d’un V6 turbo si Morgan suivait la tendance du marché, à moins que la surprise ne vienne d’un plus gros moteur ! Verdict l’année prochaine.

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Si je comprends bien il y aura une greffe de moteur, càd une "transplantation de Morgan".

Salon de l’auto : Devez-vous vraiment éviter le diesel ?

Nicolas Joannès



La période entourant le Salon représente généralement entre 20 et 25% du chiffre d’affaires annuel de nombreuses marques en Belgique ! Nombreux seront donc les visiteurs du Heysel ou des concessions automobiles à se demander s’il faut opter pour le diesel ou l’éviter avant de signer le bon de commande.
Il est vrai que les arguments contre ce carburant se multiplient : son prix augmente à la pompe ; de plus en plus de villes, de régions ou de pays veulent l’exclure ; son image a souffert du « dieselgate » ; des constructeurs automobiles songent à l’abandonner. Surtout, il est considéré (parfois à tort) comme plus polluant que l’essence.
A lire aussi Salon de l’auto de Bruxelles : Toutes les infos indispensables

Gros rouleurs
Pourtant, il faut rappeler qu’à puissance et cylindrée équivalente, un moteur diesel rejette moins de CO2 qu’un moteur à essence. Un moteur diesel consomme également moins qu’un moteur essence équivalent. Ce carburant pourrait donc encore être privilégié par les gros rouleurs mais le seuil de rentabilité dépasse maintenant les 35.000 km annuels.
Plus de couple
Le diesel se distingue aussi de l’essence par un couple généralement plus important que l’essence à cylindrée équivalente. Il intéressera donc encore les personnes qui apprécient avoir de bonnes reprises, celles qui envisagent l’achat d’un gros SUV, d’un 4×4 ou d’un utilitaire, ou encore celles qui ont besoin de tirer de lourdes remorques ou caravanes.

ESSAI Mercedes-AMG A35 4Matic : Vieux, moi !?

AMG a en effet créé une « entrée de gamme ». Elle s’appelle A35 et a sous le capot un 4 cylindres essence 2.0 turbo de “seulement” 306 chevaux. Le moteur est associé à la boîte 7 double embrayage d’AMG toujours aussi obéissante, et à la transmission intégrale 4Matic toujours aussi efficace. Le look est évidemment à la sauce Affalterbach et à l’intérieur, on retrouve les derniers gimmicks d’AMG. Par exemple, les petits satellites de volant découverts sur la dernière AMG C63, par lesquels on choisit parmi les modes de conduite allant de Slippery (glissant) à Sport+. Comme de coutume, ces modes influencent  tout : moteur, boîte, direction, sonorité et, si l’option fut cochée, suspensions pilotées.

Vraie AMG

Toute entrée de gamme qu’elle soit, l’A35 reste une AMG. Sur les routes de montagnes de notre essai, nous avons pris un pied pas possible, comme d’habitude. L’A35 est forcément moins explosive que sa devancière, mais soyez sûrs que le moteur envoie le jus et le son bien comme il faut. La direction est sublime, la transmission intégrale est calibrée au poil et avec tout cela, on obtient des vitesses de passages en courbes complètement déraisonnables, comme on aime. Seule mauvaise nouvelle pour les plus exigeants : le train arrière est vissé au sol, il est pratiquement impossible de provoquer sa dérive.

Tous les jours
Performante, l’A35 l’est donc. Mais au-delà de ça, on retient que les suspensions pilotées, tout en conservant une certaine fermeté qui participe à l’ambiance sportive, ne sont plus les parpaings de jadis. En mode Confort, on peut vraiment vivre avec la voiture tous les jours. Vous dites ? Le Zilli se fait vieux, il supporte plus les sportives ? Hé, ho ! D’abord, je suis un gamin de 43 ans à peine, et non, j’adore toujours les sportives radicales. Mais seulement quand c’est l’heure du fun. Quand la fête est finie, pour la vraie vie, j’aime aussi un minimum de confort. OK, je suis vieux…
Conclusion
Qu’on soit vieux ou pas, on a avec l’A35 une voiture qu’on peut vraiment cravacher et qui aimera ça. Mais on a aussi une voiture plus “réaliste”. A mon humble avis, on n’a guère besoin de plus…

L’A35 en quelques chiffres
Moteur : 4 cyl. turbo, essence, 1.991cc, 306ch de 5.800 à 6.100tr/min, 400Nm de 3.000 à 4.000tr/min.
Transmission : aux 4 roues
Boîte : auto double-embrayage 7 rapports
L/l/h (mm) : 4.436/1.797/1.405
Poids à vide (kg) : 1.480
Volume du coffre (l) : 320 – 1.210
Réservoir (l) : 51
0 à 100 km/h (sec.) : 4,7
Prix : 51.909 € TVAC
Puissance : 306 ch
V-max : 250 km/h
Conso. mixte : 7,3 l/100km
CO2 : 167 g/km

TOP 5 des sportives en 2018

Alpine A110

La sportive française a reçu l’unanimité des votes de la rédaction ! Apparue au début de l’année 2018, elle n’a pas été oubliée, loin de là. Pour son grand retour, Alpine a fait fort avec un modèle parfaitement abouti, une auto de caractère mais utilisable au quotidien. Renault a visé juste et les longs délais de livraison en témoignent.

McLaren Senna

En 2018, McLaren a encore fait battre le cœur des passionnés que nous sommes à la rédaction. Avec la 720S, et surtout la Senna. Malgré un physique disgracieux, cette hypercar a marqué les esprits par sa fiche technique (800 chevaux pour 1.198 kg), ses performances et son efficacité !

Ford Fiesta ST

Dans un segment beaucoup plus modeste, la nouvelle Ford Fiesta ST a aussi reçu les faveurs de la plupart des membres de la rédaction. Malgré un tarif contenu, elle offre un immense plaisir de conduire en se montrant très amusante, qui plus est avec une belle sonorité. Assurément, la meilleure petite GTI du moment !

Ford Mustang Bullit

Avec sa gueule inimitable, son gros V8, son meilleur comportement et son prix raisonnable, on adorait déjà la dernière génération de Mustang. Mais cette Bullitt qui rend hommage au célèbre film qui a fait de la Mustang une légende est une édition spéciale au look parfait. Malgré seulement 10 chevaux de plus qu’une version « normale », elle est peut-être un futur collector.

Porsche 911

Ce mythe roulant n’a pas cependant été cité par tous les membres de la rédaction car la dernière génération a seulement été présentée en novembre dernier et que personne ne l’a encore essayée. Pourtant, elle marque déjà certains d’entre nous car la Porsche 911 est considérée comme l’icône des sportives. Pour d’autres, c’est la 911 GT2 RS de génération précédente qui a marqué en 2018 avec ses 700 chevaux et ses records sur piste.

Cette Cox’ guerrière ne plaira pas à tout le monde

Tant la New Beetle que son successeur, la Beetle (sans le « New ») sont en quelque sorte, considérées comme des voitures féminines. Il n’y a rien de mal à cela, bien sûr, bien qu’un sujet britannique soit clairement en désaccord. Sa Coccinelle ressemble à une version moderne de la Kübelwagen d’antan, avec le pare-brise typique. Et en effet, il y a même une mitrailleuse par-dessus. Une fausse, soyez rassuré. Pour un Britannique, cette modification n’en reste pas moins étrange…

Cet Über-Beetle d’occasion est à vendre pour 750 £, soit un peu moins de 830 €. Détail important : elle ne peut rouler, même si on retrouve un moteur essence de 2 litres et 115 ch sous le capot de cette VW cabriolet de l’an 2000.

Que choisir : VW T-Cross, T-Roc ou Golf ?

Design

On ne la présente plus tant elle est omniprésente dans le paysage automobile belge. La Golf est intemporelle et extrêmement classique. Plus originaux, les derniers SUV de Volkswagen se parent de la nouvelle identité stylistique de la marque. On aime le dynamisme et l’originalité du T-Roc et on apprécie le côté compact du T-Cross. À côté de ceux-ci, la Golf se montre plus datée.

Hum.....Temps de charge 1 min ?  Après tout, pourquoi pas ?

A 5 millions d’euros, cette Ferrari serait encore une bonne affaire !

Le temps de quelques minutes, mettez-vous dans la peau d’un grand collectionneur de Ferrari historiques. Vous avez bien réussi dans la vie et vous avez les moyens de vous offrir ce que vous voulez. Tout, sauf la Ferrari 250 Tour de France Berlinetta que vous désirez depuis des années et que vous ne trouvez pas sur le marché. Votre sang ne fait qu’un tour lorsque vous apprenez que la prestigieuse Maison Gooding and Company va en proposer une à sa prochaine vente de Scottsdale. Estimée entre 5.7 et 6.5 millions de dollars, ce somptueux cadeau est tout de même une bonne affaire !
Vendue neuve en 1958 au Venezuela, cette Ferrari était une version compétition-client basée sur le châssis de la 250 GT. Avec sa carrosserie en aluminium dessinée par Scaglietti et son mythique V12 de 3 litres, c’était l’arme absolue pour briller en compétition à l’époque. Elle doit son nom à la participation et aux 4 victoires consécutives de la marque dans cette épreuve sélective, entre 1956 et 1959. Produite à seulement 78 exemplaires, dont 36 dans cette variante, cette 250 TDF a connu tout de même 12 propriétaires, tous identifiés, depuis 1958.

Si à 50 ans tu n'as pas une Ferrari 250 TDF, t'as loupé ta vie !