Ils nous ont quittés

Rappel du premier message :

John Hillerman, le Higgins de "Magnum", est mort à 84 ans



John Hillerman, qui incarnait Higgins face à Tom Selleck dans la série télé "Magnum" et avait joué dans "Chinatown" de Roman Polanski, est décédé à l'âge de 84 ans, a indiqué son attachée de presse.

Il est mort jeudi "de causes naturelles" chez lui à Houston au Texas, a précisé Lori de Waal, sans plus de détail.

Le rôle le plus célèbre de ce texan qui a dû travailler dur avec un coach pour perdre son accent est donc paradoxalement celui du majordome britannique tiré à quatre épingles et paternaliste Higgins, face à Tom Selleck qui jouait le détective privé décontracté Magnum. Ce personnage sur huit saisons de "Magnum", série parmi les plus populaires des années 80, a valu un Emmy Award et un Golden Globe à John Hillerman, qui avait aussi fait des apparitions dans les séries "Arabesque", "La croisière s'amuse" ou "Kojak".

Il avait commencé sa carrière au théâtre avant d'être repéré par le réalisateur Peter Bogdanovich qui l'a filmé dans "La dernière séance" et "On s'fait la valise, docteur?" au début des années 1970. Il a aussi tourné avec Jacques Deray, Mel Brooks et Clint Eastwood.

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Charly a écrit:(...)
eh oui,il a su se retirer au bon moment

Bien vu, Cher Charly, ce ne fut pas le cas des souverains belges qui ont eu des enfants cachés !

SylvetteB a écrit:Merci Hubert.

bigre
de rien, juste un souvenir, mais bon sans importance, eu égard à ce sujet tellement amusant  !
je me dis parfois, en découvrant certaines perles de "culture", qui me font songer à une loi dont le nom m'échappe, que l'on peut tout interprêter de deux manières, l'une humoristique, à prendre au pied de la lettre, en l'érigeant en principe de pessimisme, à savoir que le pire est toujours certain !
reste l'autre, dieu mercy
heureusement
hub'

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" Anything that can go wrong, will go wrong " Edward A.Murphy Jr. ou loi de l'emmerdement maximum. Il aurait dit à son fils qu'il regrettait que sa loi fut comprise avé humour. Dans le fond, et avé le sourire, c'est la pire chose qui pouvait arriver à sa loi. Pour les Allemands, nation d'ingénieurs, l'on ne rigole pas avé la Loi de Murphy car dans les projets industriels ils exigent que les bureaux d'études étudient toutes les conjectures concernant le projet qui pourraient s'avérer catastrophiques.
Mais bon, ça ne les empêchent quand même pas de parfois se planter. Et nous ça nous fait alors marrer. Finalement, cette Loi de Murphy est bien versatile, drôle et tragique à la fois, selon le point d'où on l'aborde.

diantre et sacrebleu
bon sang, mais c'est bien sûr, Murphy, la mémoire nous joue parfois des tours, ça arrive même "au meilleur", enfin, je blague, hein, je fais pas de complexe de supériorité, dieu mercy !
tiens, à propos de la loi de l'emmerdement maximum (LEM), l'extrapolation de celle de m'sieur M, si on ajoute un "r", ça donne LREM, un sigle qui m'rappelle kekchose !
quand on voit apparaitre l'égérie LOISEAU, on se dit qu'on a pas fini, si jamais cette ex-extrêmiste venait à traverser le Jourdain ou le Rubicon de cette Europe de pacotille et si mal ficelée !
tiens, en profitant de l'occase, et puisque c'est le fil ad'hoc, je salue la mémoire de Dick Rivers, un niçois rockeur que j'ai apprécié, tout môme, du temps des "chats sauvages" le groupe concurrent des "chaussettes noires" de schmoll, m'sieur Eddie !
salut Dick, on t'oubliera pas !
subséquemment
hub'

addendum
oups, m'sieur Eddie, c'est Micthell, hein, (l'autre) alias Claude Moine, qu'a démarré comme "pommeau" (coursier) au Crédit Lyonnais, avant de faire le rockeur !
j'y ai bossé aussi, avant de faire le globe-trotter pour le plus vieux métier du monde, ben non, c'est pas faire la pute, contrairement à la légende urbaine, fallait bien les payer, les péripéties des péripatéticiennes, le pognon avant tout, et le reste, after shave !
phynancièrement
hub'

Condoléances, cher Eddie . Je sais que vous étiez très attaché à votre compatriote niçois . Comme dirait Laurent Gerra : c'était un enfant de la mer...Dick !

Il était l'une des icônes de la Country et du Rock en France.
Grand admirateur d'Elvis Presley et fan des Etats-Unis depuis sa jeunesse.
Ce jour, Dick Rivers a passé le pont pour la dernière fois.

R.I.P Dick ! 

par mon cap
tiens, salut et merci ombreblanche, pour ce coup de chapeau à Dick Rivers !
faire un pont, ça rappelle les jeunes années, la country, et le rock, on a le blues, à l'instant !
bon vent, Dick, enfin, Hervé, et merci encore !
fichtre, j'ai de la rosée qui me monte aux quinquets, tout à coup !
involontairement
hub'

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Coundoleança Babette !

hubert.de.boisredon a écrit:par mon cap
tiens, salut et merci ombreblanche, pour ce coup de chapeau à Dick Rivers !
faire un pont, ça rappelle les jeunes années, la country, et le rock, on a le blues, à l'instant !
bon vent, Dick, enfin, Hervé, et merci encore !
fichtre, j'ai de la rosée qui me monte aux quinquets, tout à coup !
involontairement
hub'

Je l'aimais bien...Les Chats sauvages...souvenirs souvenirs.. 

L'original de "faire un pont":

L'acteur Jean-Pierre Marielle est décédé


Le comédien Jean-Pierre Marielle, inoubliable interprète de Monsieur de Sainte-Colombe dans "Tous les matins du monde" (1991) et grande figure du cinéma et du théâtre français, est décédé mercredi à l'âge de 87 ans, a annoncé sa famille.

"Agathe Marielle a la tristesse d'annoncer que son mari, l'acteur Jean-Pierre Marielle, s'est éteint le 24 avril à 16h24, à l'hôpital des Quatre Villes à Saint-Cloud des suites d'une longue maladie. Les obsèques se dérouleront dans la plus stricte intimité", a annoncé son épouse dans un communiqué.

Les obsèques se dérouleront dans la plus stricte intimité. Avec sa disparition, s'éteint une des dernières figures de "la bande du conservatoire", formée au début des années 50 par des acteurs comme Jean-Paul Belmondo, Claude Rich ou Jean Rochefort, l'ami de toute une vie pour Marielle.

Une centaine de films
Le comédien à la voix caverneuse avait disparu des écrans depuis plusieurs années, après avoir joué dans plus d'une centaine de films (sous la direction notamment d'Audiard, Blier, Molinaro, Mocky, Sautet, Tavernier, Miller) et d'innombrables pièces et téléfilms.

Né à Paris le 12 avril 1932, ce Bourguignon fils d'un industriel de l'agroalimentaire et d'une mère couturière, qui grandira à Dijon, est aiguillé vers le théâtre par son professeur de lettres. Sorti du Conservatoire de Paris dans la même fournée que Jean-Paul Belmondo, Bruno Cremer, Claude Rich, Françoise Fabian et Jean Rochefort, l'ami de toute une vie, il décroche son premier rôle dans "Le mariage forcé" (Molière) en 1953.

Stagiaire à la Comédie-française, il entame une carrière dans le théâtre léger, fait du cabaret avec Guy Bedos. Il en oublie le cinéma. La Nouvelle Vague l'ignore: il est alors catalogué acteur burlesque et de boulevard. Pourtant, avec Claude Régy, Delphine Seyrig et Jean Rochefort, il va contribuer à populariser dans l'Hexagone les auteurs anglo-saxons comme Edward Albee ou Harold Pinter. Et, s'il apparaît dans des comédies de boulevard, il joue aussi, des années 60 aux années 2000, du Claudel, du Tchekhov ou du Pirandello. Au cinéma, après de timides débuts en 1960, il lui faut attendre une décennie et une bonne vingtaine de rôles avant de se faire remarquer.

C'est à partir de 1969 que ses personnages les plus consistants arrivent. On le voit dans "Le diable par la queue" de Philippe de Broca, "Sex-shop" de Claude Berri, "La valise" de Georges Lautner ou "Comment réussir quand on est con et pleurnichard" de Michel Audiard. S'ensuit une intense activité devant les caméras. Il enchaîne (comme par exemple en 1976) jusqu'à cinq films par an, tournant sous la direction de Blier, Labro, Molinaro, Mocky, Sautet, Tavernier, Miller et d'autres.

A son répertoire : "Que la Fête commence", "Dupont Lajoie", "L'imprécateur", "Coup de Torchon", "Tenue de soirée", "Uranus", "Un, deux, trois, soleil", "La Petite Lili", "Les âmes grises" etc. Modeste, il adorait briser le mythe de la vocation du grand acteur : "Je ne suis sensible ni à l'odeur des éponges à maquillage ni à la poussière des coulisses. Je ne suis qu'un amateur défrayé. Je n'ai jamais rien pris au sérieux, je n'ai pas grand-chose à dire et je ne sais pas le dire".

Nommé sept fois aux César
Au cours de sa carrière, il a été nommé sept fois aux César notamment pour son rôle dans "Tous les matins du monde", que beaucoup considèrent comme le sommet de sa filmographie. Mais ne rien obtenir dans les "comices agricoles télévisuels" lui était indifférent, disait-il: "Les César ? J'en ai rien à foutre!" Des récompenses, il en glanera toutefois à la télévision ("7 d'or 1993" du meilleur comédien pour "La controverse de Valladolid", d'après Jean-Claude Carrière) et au théâtre (Molière 1994 du comédien pour "Le retour" d'Harold Pinter).  

salut Jean
j'ai une pensée pour l'acteur fétiche de mon paternel, ce super Jean-Pierre Marielle, jamais césarisé, mais un drôle d'acteur pourtant, avec sa voix grave et caverneuse si caractéristique, une gueule aussi, un ogre sympa !
ce matin n'est donc pas comme "tous les matins du monde", et j'entends pourtant le son de la viole de Gambe, les cinéphiles, et il y en a céans, me traduiront sans peine !
salut l'artiste, on se reverra un jour ou l'autre
nécessairement
hub'

addendum
salut Charly, je découvre votre post au moment où je balançais le mien
merci pour lui et bonne journée
amicalement
hub'

Mon acteur préféré... On pouvait regarder ses films les yeux fermés : sa voix suffisait !

L’actrice Anémone est décédée à l’âge de 68 ans

L’actrice Anémone, inoubliable Thérèse dans «Le père Noël est une ordure», est décédée mardi à 68 ans d’«une longue maladie», a déclaré à l’AFP son agent, Elisabeth Tanner.



César de la meilleure actrice en 1988 pour son rôle dans «Le Grand Chemin» du réalisateur Jean-Loup Hubert, la comédienne «s’est éteinte au petit matin du 30 avril des suites d’une longue maladie», a indiqué l’agent.
Anémone avait démarré sa carrière dans le café-théâtre au sein de la troupe du Splendid.

Le succès de son rôle de Thérèse, acolyte de Thierry Lhermitte à la permanence de SOS Amitié dans «Le père Noël est une ordure», au théâtre en 1979 puis au cinéma en 1982 dans l’adaptation réalisée par Jean-Marie Poiré, en fait une actrice très populaire dans les années 1980.

A l’affiche de nombreuses comédies comme «Viens chez moi, j’habite chez une copine» (1982), elle incarne aussi des rôles plus sensibles comme le personnage de Marcelle dans «Le Grand chemin» (1987), qui lui valut un César l’année suivante.
Ces dernières années, elle avait été à l’affiche de «Jacky au royaume des filles» (2014), «Rosalie Blum» (2016) et «la Monnaie de leur pièce» (2018), son dernier film.

Elle se produisait aussi régulièrement sur les planches jusqu’à sa dernière pièce en 2011, «Grossesse nerveuse», une comédie dans laquelle elle incarnait une grande bourgeoise aussi inattendue que désespérée.

Malade depuis quelques années, elle avait pris du recul et n’avait aucun engagement à venir, ni au cinéma ni au théâtre.

De son vrai nom Anne Bourguignon, elle était la fille du psychiatre André Bourguignon et de Claire Justin-Besançon. Elle était mère de deux enfants.

je l'ai adorée dans "le grand chemin"

Salut Bilou   A bientôt ! Mets une bouteille au frais !

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Pensée émue et reconnaissante à notre Cher Ami Vasco.




LIBRES PROPOS est accessible sur le forum non verrouillé LES ANNÉES PASSENT.
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Voici une triste nouvelle pour les seniors ++ de notre conviviale assemblée, en VO dans le texte :


"Doris Day, Legendary Actress, Dies at 97
 Carmel Dagan  4 hrs ago

Doris Day with collar shirt:copyright: SNAP/REX/Shutterstock




Doris Day, one of Hollywood’s most popular stars of the 1950s and ’60s who was Oscar-nommed for “Pillow Talk” and starred in her own TV show, has died. She was 97.


Though she was marketed as a wholesome girl-next-door type, the comedies for which she was most well-known were actually sexy and daring for their time, and her personal life was tumultuous, with four marriages and a notorious lawsuit.


The vivacious blonde, who also had a successful singing career, teamed with Rock Hudson in “Pillow Talk” and other lighthearted romantic comedies including “Lover Come Back” and “Send Me No Flowers.” Her other significant screen roles included Alfred Hitchcock thriller “The Man Who Knew Too Much” (1956), co-starring James Stewart and featuring Day’s Oscar-winning song “Que Sera Sera (Whatever Will Be, Will Be”); and “The Pajama Game” (1957), based on the Broadway musical. [Avé Rock la next-door-girl ne risquait pas sa vertu...] 


After many successful films, she starred on CBS in “The Doris Day Show” for five years starting in 1968, and soon after retired to Carmel, Calif. She released 29 albums, most recently “My Heart,” which consisted of previously unreleased songs, in 2011.


In her autobiography, “Doris Day: Her Own Story,” she caused something of a stir while promoting the book by rejecting the “girl next door” and “professional virgin” labels so often attached to her. In the 1975 book she remarked: “The succession of cheerful, period musicals I made, plus Oscar Levant’s highly publicized comment about my virginity (‘I knew Doris Day before she became a virgin’), contributed to what has been called my ‘image,’ which is a word that baffles me. There never was any intent on my part either in my acting or in my private life to create any such thing as an image.”


But her rise in popularity coincided with World War II and the Korean War, and she quickly became a favorite with servicemen. Day leapt into the spotlight in 1945 with the release of her hit song “Sentimental Journey,” recorded with Les Brown and His Band of Renown; the song became symbolic for G.I.s returning from WWII to their families. She had also done early vocal work with the big bands of Barney Rapp and Bob Crosby. She had a second hit record with “My Dreams Are Getting Better All the Time.”


After she separated from her second husband, George Weidler, in 1948, Day apparently intended to leave Los Angeles and return to her mother’s home in Cincinnati. Her agent, Al Levy, convinced her to attend a party at the home of composer Jule Styne. There she performed the song “Embraceable You,” impressing Styne and partner Sammy Cahn; they recommended her for a role in “Romance on the High Seas,” on which they were then working for Warner Bros. The main role was to be recast after Betty Hutton exited due to pregnancy, and Day got it.


The Michael Curtiz-directed musical comedy, her debut feature film gig, provided her with another hit recording, the Oscar-nominated “It’s Magic.” Day starred in a number of Curtiz films in the early and mid-’50s, among them “Young Man With a Horn” with Kirk Douglas and Lauren Bacall.


In the early ’50s she made a series of nostalgic period musicals for Warner Bros., including “Tea for Two,” “On Moonlight Bay” and “By the Light of the Silvery Moon,” for Warner Brothers. Attempting to cut loose from her dainty image, Day began accepting more nuanced parts, including her favorite role as Western tomboy Calamity Jane in director David Butler’s 1953 film of the same name.


The New York Times called Day’s performance in the Hitchcock’s “The Man Who Knew Too Much,” in which she was well cast as a retired singer, “surprisingly effective.”


Day was apparently not an immediate fan of “Que Sera Sera” and expressed doubts about the durability of the tune that would become her signature song. It was, however, used again in two more Day films — “Please Don’t Eat the Daisies” (1960) and, in a brief duet, in “The Glass Bottom Boat” (1966) — and was subsequently used as the theme song for her CBS TV show.


Day also teamed with James Garner onscreen in 1963’s “The Thrill of It All” and “Move Over, Darling.”


Her last film, 1968’s  “With Six You Get Egg Roll,” in which she starred with Brian Keith, was released in the same year as the successful Lucille Ball-Henry Fonda comedy “Yours, Mine and Ours,” employing a very similar premise of two people with children from previous marriages coming together.


It was also significant because of the ambiguity of certain scenes that could be interpreted as meaning that the central characters slept together before marriage — a first for a Day character and interesting at a time when comedians were calling her the world’s oldest virgin. She was offered the role of Mrs. Robinson in “The Graduate,” which could have gone a long way to modernizing what had become a square image, but turned it down because she thought the sexual relationship was exploitative.


Born Doris Mary Kappelhoff in Evanston, Ohio, Day was initially interested in dancing but a car accident when she was 13 ended the possibility of such a career. She began singing as a teenager after joining a local dance band, which renamed her Doris Day in honor of her song “Day After Day.” Until her birth certificate surfaced in 2017, she was often reported as having been born in 1924.


Her first marriage was to trombonist Al Jorden in 1941, who she was said to have left because of his abusiveness. They had a son, Terry, who was adopted in 1951 by Day’s third husband, agent Marty Melcher, and later became a successful music producer in the 1960s and ’70s, working with the Beach Boys and Randy Newman. Day’s second marriage to Band of Renown saxophonist Weidler lasted only eight months.


Husband Melcher and his business partner, Jerome Bernard Rosenthal, secretly squandered her earnings, however, and she won a $22 million judgment against Rosenthal in 1974 (Marty Melcher was already dead), though the case dragged on for years. Son Terry Melcher, who died in 2004, is often mentioned in connection to the Manson murders, as Sharon Tate was killed in the house that he had been renting and he had met Charles Manson when he was an aspiring musician.


Day was married to restaurant maitre d’ Barry Comden from 1976-81. In 1985 she briefly hosted her own talkshow, “Doris Day’s Best Friends,” on CBN. She received the Golden Globes’ Cecil B. DeMille Award for lifetime achievement in motion pictures in 1989 and was awarded a lifetime achievement Grammy in 2008, though she did not attend the latter ceremony.


In 2004, Day was awarded the Presidential Medal of Freedom; she opted not to attend the ceremony because of a fear of flying. For the same reason Day did not accept an invitation to be a recipient of the Kennedy Center Honors, she said on her website.


In Carmel, she became an animal rights advocate and created the Doris Day Animal Foundation. While Day was reluctant to speak to the press or travel to Los Angeles for appearances, she was not a recluse despite reports to the contrary.


She is survived by her grandson Ryan."

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C'était donc pour cette raison qu'il fallait sauver le soldat Ryan !!!

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Hommage à DD Doris Day :